
Vous connaissez les « chemtrails », un truc de complotistes qui s’imaginent qu’on leur pulvérise des produits chimiques depuis le ciel ? Bien sûr que ça n’existe pas, ça se saurait. Le problème est que ces pulvérisations ne se font même pas en cachette et que les entreprises qui les pratiquent ont pignon sur rue, que rien n’est secret du tout, mais qu’en parler c’est du complotisme, allez comprendre ? Sauf que le Département de la Santé américain, sous la direction de Robert Kennedy Jr, a pris acte de la décision de trente et un États américains venant de voter des lois interdisant les pulvérisations stratosphériques, l’injection d’aérosols et la manipulation du rayonnement solaire.
Ce mouvement pour contre carrer quelque chose qui « n’existe pas », porte même un nom : la « législation ciel clair ». Ces États se sont engagés à interdire la géo-ingénierie climatique, qui consiste à asperger les citoyens, les cours d’eau et les paysages de toxines, dans le cadre du large projet de Kennedy « Make América Healphy Again », visant à restaurer la santé des américains en général, Robert Kennedy en ayant dressé un constat accablant. Le même a commencé à mettre également en évidence les ravages des effets secondaires des vaccins, ce dont il ne faut toujours pas parler en France, même si dans toutes les familles et tous les cercles d’amis, depuis deux à trois ans, crises cardiaques et cancers inopinés surgissent partout. Mais bien entendu, en France, rien à voir avec les suites du traitement de la pandémie de Covid grâce à un vaccin sorti d’un très cher chapeau.
Ces activités de géo-ingénierie existeraient depuis plus de 70 ans, s’intensifiant au fil du temps et provoquant des phénomènes climatiques dévastateurs. Sans compter de possibles produits toxiques. Traînées blanches qui persistent anormalement dans le ciel, brumes, apparition soudaine de maladies respiratoires et neurologiques après des jours d’intense activité atmosphérique, interrogent les Américains, mais les autorités, médias et scientifiques, les qualifient de théories du complot. Elles ont été dernièrement mises en évidence par des analyses de particules atmosphériques menées notamment par GeoengineeringWatch.org qui a sorti un documentaire démontrant ces opérations météorologiques mondiales observées par les traînées persistantes. Puis de nombreuses analyses environnementales ont identifié des pics de concentration d’aluminium, de baryum, de strontium et autres toxiques dans des échantillons d’eau de pluie et de sol, aux États-Unis.
Et pour la France, qu’en est-il ? Y a-t-il aussi des cocktails toxiques qui tombent régulièrement du ciel ? Pour certains cela ne fait aucun doute. Mais comme toujours, nous allons être, sur ce sujet là, comme sur beaucoup d’autres, à la remorque des Etats-Unis, de ce qui s’y dira, s’y fera… et encore. On se souvient que quasiment tous les pays d’Europe avaient étudié les effets de l’explosion de Tchernobyl quand nos autorités étaient restées accrochées au célèbre nuage radioactif qui s’était arrêté à la frontière française.