Rochdale, Rotherham et Telford, maintenant Huddersfield : la litanie des petites villes anglaises où les jeunes filles de souche, issues de la classe ouvrière blanche, abandonnées par les services sociaux soucieux de ne pas « stigmatiser » le multi-culturalisme ambiant et une police aux ordres de l’immigrationnisme, étaient violentées par des gangs pakistanais s’allonge.
Cela dure depuis des décennies : des jeunes Anglaises et Galloises sont les victimes de choix de réseaux de pédophiles très majoritairement d’origine indo-pakistanaise. “L‘existence des gangs [de pédophiles] est liée à la culture pakistanaise” avait notamment souligné Lucy Allan, une député conservatrice élue en 2015 à Telford. Affirmation corroborée par une enquête de The Independent montrant que les agresseurs pakistanais de Rotheram étaient persuadés que leurs sévices avaient un sens religieux – ils récitaient notamment des sourates du Coran lorsqu’ils battaient leurs victimes.
Dans l’affaire de Huddersfield , vingt hommes ont été condamnés au cours de trois procès successifs, dont le dernier vient de se conclure ce 8 octobre à Leeds. Entre 2004 et 2011 à Hurddersfield, 22 viols ont été commis envers 11 adolescentes, dont les plus jeunes avaient 11 ans. Les filles étaient souvent droguées, puis violées par plusieurs membres du gang ; d’autres étaient amenées dans des endroits isolés où elles étaient menacées et forcées à satisfaire les requêtes sexuelles de leurs agresseurs.