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La Dernière est le nom d’une émission diffusée sur Radio Nova, tous les dimanches entre 18 heures et 20 heures. Aux manettes du programme : Guillaume Meurice, Juliette Arnaud, Aymeric Lompret et Pierre-Emmanuel Barré. Tous se veulent drôles et irrévérencieux. Le dimanche 9 novembre, le dernier nommé a surtout été franchement répugnant.
De la crise des missiles cubains à la crise des drogues vénézuéliennes
par Adrian Severin
Récemment, un petit bateau de pêche, naviguant sous pavillon vénézuélien dans la région des Caraïbes, a été coulé par les forces armées américaines, au motif qu’il aurait été impliqué dans le trafic de drogue.
L’Armée c’est la grande muette et pourtant on évoquerait des « on dit »… Alors, l’Armée française et le front de l’Est, hein ? Tout le monde n’y serait pas d’accord pour se foutre dans la merde comme ça, à la manière de Macron et de sa bande de copains, du pays légal. Parce qu’à force de courir derrière des bla-bla et de prêter main-forte à la cause impérialiste européenne, on n’en finit plus de se vautrer dans l’indignité.
Au-delà des chiffres sempiternellement rassurants des organismes officiels comme l’INSEE, l’enquête des directeurs d’achats dresse un autre panorama de l’économie française, selon le graphique habituel, qui veut que la barre soit à 50, qu’en dessous, c’est la récession et au dessus, la croissance. Le chiffre en octobre, pour la France, s’établit à 46,8, autant dire que la barre des cinquante est très loin, non pas en décimales mais en traduction réelle en terme d’activité industrielle et autres. Si l’INSEE n’affiche pas de perte de PIB, on peut se gratter la tête, comment est-ce possible avec un score de 46,8 ? Mais bon, c’est un organisme d’État et on peut imaginer qu’il a des consignes. Ce qui est bien réel par contre, c’est la chute vertigineuse du PIB par habitant, une logique au vu des politiques actuelles en matière d’immigration, étant donné qu’on laisse entrer des gens qui statistiquement travaillent moins, que les Français, voire pas du tout pour une bonne part d’entre eux, tout en absorbant quantité d’aides. Egalement, le vieillissement de la population est en cause, cela se traduit par plus de personnes entre lesquelles partager un gâteau qui non seulement ne grossit pas mais aurait même tendance à diminuer. Cela fait dire que la récession est là, parfaitement palpable et corrélée aux records de faillites d’entreprises de ces derniers mois.
Etats-Unis – Le service des Marshals américains a localisé et ramené une centaine d’enfants disparus au cours d’opérations spéciales menées à Memphis, dans le Tennessee, durant les dernières semaines, a annoncé l’agence des forces de l’ordre.
« Retrouver des enfants disparus et en danger est l’une des choses dont nous sommes le plus fiers »
A la une de cette édition, la situation ukrainienne qui continue à se dégrader, entre scandale de corruption, risque d’effondrement économique et difficultés sur la ligne de front.
On voudrait nous faire croire que la France vit depuis plusieurs jours suspendue à un vote de nos députés, comme si son avenir en dépendait. Cette dramatisation permanente devient lassante et le fossé qui nous sépare de notre élite dirigeante s’élargit de jour en jour. Hier, jour de commémoration du 11 novembre 1918, tout avait été mis en œuvre pour que le public soit tenu à l’écart, comme si cela ne le concernait pas. Pourtant, combien d’entre-nous ont ils déploré la perte d’aïeuls dans cette guerre épouvantable ? Ce spectacle d’un tout petit nombre de personnes dûment autorisées à assister à la cérémonie, cet « entre-soi » de plus en plus provocateur que d’aucuns veulent justifier par une menace d’attentats terroristes, m’a révolté.
La France se souvient. Ce jeudi 13 novembre, anonymes et officiels ont rendu hommage aux 132 victimes des attentats de 2015. Tandis que des cérémonies commémoratives se déroulaient au Stade de France, au Bataclan et devant les terrasses visées par les terroristes il y a dix ans, en présence d’invités triés sur le volet, de nombreux autres responsables commentaient le triste anniversaire sur les réseaux sociaux. Les têtes de file de la gauche ont ainsi exprimé leur émotion, louant la résilience de la République et la beauté de ses valeurs. Mais un élément manquait cruellement à leurs éloges funèbres. Un certain terme semblait, en effet, avoir été banni de leur vocabulaire. Jean-Luc Mélenchon, Manon Aubry, Manuel Bompard, Mathilde Panot,Fabien Roussel, Antoine Léaument ou encore David Guiraud ont tous évoqué les affres du « terrorisme », mais aucun n’a eu le courage de nommer cette idéologie qui nous a déclaré la guerre : l’islamisme. Histoire de verrouiller le débat et censurer la parole encore un peu plus, Manon Aubry a profité de son tweet d’hommage pour marteler son refus des « amalgames ».