Un communiqué de la Coordination Partout Callac :
Nous assistons en ce moment en France à une formidable opération politico-médiatique. Son objectif est des plus simples : faire céder ceux qui se battent pour défendre leur identité, leur culture, leur pays et leur civilisation face à une invasion migratoire qui ne cesse d’amplifier.
Dans ce combat, ceux qui se prétendent du côté du « bien » ne reculent devant rien pour imposer leur point de vue. Mensonges, calomnies, pressions en tous genres, campagnes de presse honteusement mensongères, procédures judiciaires abusives, tout est bon pour faire taire les patriotes.
Ainsi, pour ne prendre que deux exemples :
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À Saint-Brevin, le collectif qui combat contre un CADA est traîné dans la boue, accusé de tout et n’importe quoi, convoqué chez les gendarmes alors qu’ils n’ont rien fait de mal ni commis aucun délit. Leur seul crime c’est de vouloir protéger leurs enfants alors que des inconscients veulent construire un CADA juste à côté de l’école. Est-ce un crime de vouloir protéger ses enfants ? À Saint-Brevin, on est en droit de se poser la question vu le traitement réservé à ceux qui veulent protéger les gosses. D’ailleurs, la nouvelle maire de Saint-Brevin a déposé 4 plaintes en moins de 15 jours.
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À Callac, la présidente de l’Association « Les Amis de Callac et ses environs » a été convoquée à la gendarmerie et traitée comme une délinquante, alors qu’elle ne fait que défendre la population de son village. Son crime ? Dire « il faut d’abord aider les Français qui en ont besoin. Les abandonner pour aider des gens venant de l’autre bout de la terre est une faute et même une trahison de nos compatriotes ». C’est parce que pour certains Français, leurs compatriotes ne sont pas prioritaires que de malheureux Français doivent dormir dans les rues. Parce qu’elle a osé dire cela, et défend cette opinion, la présidente de l’association « Les Amis de Callac et ses environs » a de nombreuses plaintes déposées contre elle.
Et puis il y a la campagne incroyable menée par la presse nationale et régionale pour salir et combattre tous ceux qui entendent résister. Ces journaux bien-pensants nous accusent, sans aucune preuve, des pires violences et exactions. Toutes imaginaires. Mais lorsque des violences bien réelles ont lieu comme récemment à Brest lors d’une réunion de dédicace d’Éric Zemmour, là aucun bien-pensant ne dénonce les coupables qui sont invariablement les mêmes : l’extrême gauche et les antifas.
Pour les sites qui dénoncent ces faits, tels Riposte Laïque et les animateurs comme Pierre Cassen, ils sont très souvent poursuivis devant les tribunaux afin de leur faire rendre gorge. C’est d’ailleurs le cas en ce moment pour Pierre qui est à Montpellier pour comparaître au tribunal à cause d’une plainte de la responsable locale de la Ligue des Droits de l’Homme à qui l’une de ses productions n’a pas plu.
Quant aux auteurs d’articles, telle ma petite personne, le même sort nous est non moins souvent réservé. Allez hop, au tribunal parce que l’un de vos articles n’a pas plu à un membre du camp du bien. Moi ce sera à Lorient, certainement au moment de la rentrée de septembre.
On pourrait tirer de tout cela que les choses vont très mal et qu’il y a des raisons de s’inquiéter.
Moi, j’en tire la leçon inverse. Pour de plus en plus de Français, les masques tombent. Mais au lieu de baisser les bras, ils se disent : «Ce n’est pas possible d’accepter cela», et donc cela produit l’effet inverse.
Au lieu de se coucher, de plus en plus de gens se «réveillent» et se mobilisent.
Pour moi, c’est sûr, ceux qui veulent nous faire plier sont très loin d’avoir gagné la partie.
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