par Andrei Martyanov
Absolument ! L’OTAN ne peut projeter, excusez mon français, que dalle. Quand on parle de la guerre moderne du XXIe siècle, c’est une affaire d’hommes, pas de ces gigolos de luxe que sont Starmer et Macron.
Dans le mille, colonels. Mais pour étayer le propos :
«La plus haute diplomate européenne, Kaja Kallas, avait de grands espoirs de pouvoir mobiliser jusqu’à 40 milliards d’euros d’aide militaire pour soutenir la position de l’Ukraine sur le champ de bataille et renforcer sa position dans les négociations à venir avec la Russie. Mais lorsque les dirigeants de l’UE ont mis fin à leur réunion à Bruxelles jeudi, le plan était en lambeaux – pas tout à fait mort, mais considérablement revu à la baisse par rapport à son ambition initiale. Selon plusieurs diplomates de l’UE, les problèmes ont commencé dès le début du plan, lorsque l’ancien Premier ministre estonien n’a pas réussi à obtenir l’adhésion préalable des parties prenantes essentielles. Le processus a été «bâclé», a résumé l’un des diplomates».
Kallas n’est pas une «diplomate de haut niveau», c’est une garce estonienne dérangée avec des traits de Waffen SS en elle. Elle EST le type de personne dont Bruxelles a besoin pour s’accrocher aux dernières lueurs du projet mondialiste européen conçu par des amateurs d’économie et de militaire qui n’ont jamais eu de vrai travail de leur vie. Les châteaux de sable finissent toujours par s’écrouler ou, dans ce cas précis, sont détruits par les blindés et l’artillerie russes et tous les autres moyens de violence organisée dans lesquels les Russes sont les meilleurs au monde. L’histoire les a formés pendant des milliers d’années.
Et nous y voilà : au dernier acte du principal passe-temps géopolitique de l’Occident, une fois tous les cent ans, l’Occident marche vers la Russie pour se faire botter le cul. Plus les choses changent, plus elles restent les mêmes… Quelqu’un pour virer les crétins diplômés en lettres qui enseignent des conneries sous le nom ambitieux d’Histoire et de Stratégie à Sandhurst, au King’s College ou au US Naval War College, entre autres, et embaucher des personnes qualifiées qui connaissent la vérité ? Ah, oui, la vérité fait mal. Mais les États-Unis ont invoqué leur privilège de superpuissance et utilisent la voie de garage réservée aux superpuissances, du moins pour l’instant. L’Europe ? Ne lui ai-je pas dit qu’elle serait laissée avec un sac de substances plutôt déplaisantes ? Je crois que je l’ai fait, à plusieurs reprises.
Pendant ce temps, regardez ce que le «régime de Poutine» a fait au centre de l’industrie spatiale en Russie (entre autres). Que quelqu’un explique à Sarah Paine ce qui se passe en Russie ou ce qui arrive aux routes russes.
Ce régime dictatorial de Poutine, vous savez.
source : Reminiscence of the Future
https://reseauinternational.net/les-russes-ne-viendront-pas/