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Les 12 gros mensonges sur le CO₂ (arch 2009)

À la veille de l'ouverture du sommet de Copenhague dont la couverture médiatique sera aussi tonitruante qu'univoque, il est bon de rappeler, comme l'a fait Joseph d'Aleo, météorologue américain renommé et l'un des premiers à avoir contesté sur son site Icecap le Réchauffement Climatique anthropique, les « 12 faits concernant la Réchauffement Climatique que taisent les media de masse ».

1°) Depuis 2002 et bien que le dioxyde de carbone ait continué à augmenter, les températures globales n'ont cessé de baisser. 
2°) Par lui-même le gaz carbonique (CO₂) produit peu de réchauffement. D' ailleurs, plus il y a de CO₂ et moins il y a de réchauffement.
3°) Durant la dernière décennie, on n'a décelé aucun lien entre CO₂ et températures.
4°) Le CO₂ n'est pas un polluant Avec la chlorophylle, il est un élément essentiel de la photosynthèse. Indispensable aux plantes.
5°) La concentration de CO₂ actuelle est la plus basse que la terre ait connue depuis le Cambrien, il y a 550 millions d'années. Il y en avait alors vingt fois plus dans l'atmosphère et pas d'« effet de serre ».
6°) Les changements climatiques précèdent les changements de CO₂ et non l'inverse.
7°) Contrairement à ce que prétendent les modèles climatiques, la vapeur d'eau agit en rétroaction négative qui tend à réduire tout effet de serre induit par le dioxyde de carbone.
8°) La modélisation de l'effet de serre sur lequel se base toute l'idéologie actuelle exagère considérablement le réchauffement réel.
9°) Les cycles solaires ont une durée d'au moins onze ans. Lorsque l'activité solaire est intense, les températures montent. C'est ce qui est arrivé dans les années 1930 et à la fin du XXe siècle. L'activité solaire est actuellement au point mort, ce qui annonce un cycle long de refroidissement global qui pourrait durer plusieurs décennies.
10°) Les cycles multidécennaux océaniques correspondent aux périodes d'activité solaire et aux variations des températures. L'océan Pacifique a commencé à se refroidir à la fin des années 1990, un processus qui s'est accéléré l'an dernier. L'Atlantique a commencé à se refroidir depuis son pic de réchauffement de 2004.
11°) Les cycles océaniques correspondent à des variations de la couverture de glace des pôles. Dans les années 1930 puis 1950 ainsi que dans la décennie 1980 et au début des années 2000, celle-ci, en même temps que les océans se réchauffaient, diminuait. En Arctique, la durée de la saison estivale de fonte se réduit depuis deux ans.
12°) La glace en Antarctique a connu l'année dernière sa plus large extension depuis que le contrôle satellitaire existe. Cette année, elle battra probablement le record établi l'an dernier.
Contrairement aux affirmations du GlECC et à ses projections alarmistes pour le siècle à venir, toutes les études sérieuses montrent que les gaz à effet de serre n'ont absolument aucune influence sur les variations climatiques de ces dernières décennies.
Quant aux anticipations catastrophistes, Dominique Guillet les a balayées de belle façon sur son site Kokopelli : « N'est ce pas le summum de l'arrogance, et de la démence, que de prétendre prévoir, à échéance de dix ans, d'un siècle ou de deux siècles, les climats de la Planète Terre à partir d'un super-ordinateur, fût-il du GIECC, et des quelques miettes de "données" partielles et passagères dont il aura été nourri ? Un tel super-ordinateur n'est qu'un simulacre lamentable de la planète authentique, le jouet virtuel et pathétique d'une poignée de scientistes capricieux. »

René BLANC. Rivarol du 4 déc 2009

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