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Selon BV, Jean-François Copé, maire LR de Meaux et ancien ministre, est l’avocat de la société allemande WindStrom, qui poursuit la commune rurale de Puyrolland (Charente-Maritime) pour 44 millions d’euros. Cette somme record est réclamée après que la municipalité a refusé d’accorder des servitudes de passage pour l’installation de sept éoliennes, autorisées en 2019 mais contestées depuis en raison de leur gigantisme et des conséquences sur les chemins et les terres agricoles.
Dans une Europe obsédée par son image verte, la face sombre de cette électrification débridée est totalement occultée par les dirigeants. Citons d’emblée un des chiffres que personne ne veut entendre, et il est loin d’être exhaustif : avant même que la voiture électrique ne quitte l’usine, elle aura à elle seule nécessité l’extraction de 75 tonnes de minerais pour une batterie de 75 kWh sans oublier l’émission de 20 tonnes de CO₂ émises. Et ce n’est là que la première dissimulation d’une technologie prétendument propre car derrière ce vernis vert se cache une logistique planétaire destructrice, une industrie minière exploitant les enfants et un modèle économique au-delà du bon sens.
A l’approche de la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union africaine (UA) et de l’Union européenne (UE) prévue le 21 mai, les évêques catholiques d’Europe et d’Afrique ont élevé la voix et critiqué sévèrement les récents développements de la coopération entre les deux continents. L’Europe utilise l’Afrique comme dépotoir.
La problématique actuelle de cet Antarctique qui a gagné de la glace ces dernières années, fait tache dans le narratif du réchauffement climatique de la planète, causé par l’homme évidemment. Et donc une étude parue dernièrement dans la revue Science China – Earth Sciences, distingue deux types de glace, celle de mer qui recule d’année en année et celle d’eau douce formant la calotte glaciaire et qui, elle, augmente. Et l’étude d’expliquer que ce rebond de la glace d’eau douce observé par satellite n’est que temporaire et qu’il s’explique justement par le changement climatique. L’atmosphère réchauffée retient davantage d’humidité, engendre donc de fortes chutes de neige, qui provoquent un gain de glace. Mais ça ne va pas durer, que l’on se rassure. En résumé, si la masse de glace augmente au pôle sud, c’est parce qu’il y fait plus chaud. L’étude en question vient donc araser un pic contradictoire au discours ambiant et tombe à point nommé, comme souvent des études, qui viennent étayer une volonté politique.
Ursula Von-der-Leyen veut-elle la peau des automobilistes ? On peut se poser la question au vu de son acharnement à vouloir leur sécurité à tout prix. Elle impose, suggère plutôt, même si à l’usage on a compris que ses suggestions valaient des ordres, des normes les unes derrière les autres, n’ayant de cesse de contingenter, de surveiller, de punir. Au point que de grands responsables de l’industrie automobile européenne commencent à trouver qu’il devient de plus en plus compliqué de fabriquer une voiture. Les engins, plombés par les normes, pèsent trop lourd, sont devenus trop complexes et c’est à se demander si les acheteurs sont vraiment preneurs de tous ces bidules électroniques qui prennent les commandes de la voiture à votre place pour un oui ou pour un non, si tous les trucs qui sonnent en permanence dès que vous ne faites pas tel ou tel geste, sont vraiment utiles ? Elle fait cela pour notre sécurité, dit-elle, mais est-on vraiment en danger quand on est dans notre voiture ? Non. La France totalise environ 650 000 morts par an, dont un peu plus de trois mille dues aux accidents de la route, soit moins de 1 % et même, moins de 0,5 %, donc l’argument de la sécurité ne tient pas. A titre de comparaison, on a plus de chances de mourir dans un accident domestique que dans un accident de voiture. Et encore, dans le total des accidents de la route, la voiture et le conducteur ne sont pas tout le temps en cause.
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les propos de Trump concernant les poupées…
En effet le président américain a reconnu que la guerre commerciale qu’il a lancée pourrait engendrer une diminution du nombre de produits vendus et perturber les chaînes d’approvisionnement et vider certains rayons.
Alors que le gouvernement prépare le décret PPE3, une étude d’experts dénonce les fausses vérités qui sabotent un débat rationnel sur l’avenir énergétique de la France.
Le projet de troisième Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE3), censé dessiner le futur du mix énergétique français, repose-t-il sur des postulats erronés ? C’est ce qu’affirme une étude percutante du Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique, qui démonte, point par point, plusieurs assertions répétées à l’Assemblée nationale et dans le débat public.
Selon Europe 1, l’enquête sur l’attaque mortelle perpétrée dans un lycée de Nantes par Justin P., 16 ans, s’oriente vers une piste idéologique : le manifeste envoyé par le jeune assaillant avant son passage à l’acte évoquerait des idées proches du mouvement radical Anti-Tech Résistance (ATR), fondé en 2022 en Bretagne. Cette mouvance, marquée par l’écologie extrême, l’anti-modernisme, voire le survivalisme, s’inspire de Theodore Kaczynski, alias Unabomber, auteur d’attentats anti-technologie aux États-Unis dans les années 1990.
Plus nous installons de sources de production d’énergies renouvelables plus nous fragilisons le réseau électrique qui doit être en tout temps équilibré.
Peut-être qu’un jour la science et les nouvelles technologies nous permettront de pallier à ces problèmes structurels qu’occasionnent les renouvelables, mais pour le moment ce n’est pas le cas.