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« Tant que les Blancs n'agiront pas ensemble, ils seront dominés »

Tant que les Blancs n'agiront pas ensemble, ils seront dominés.jpegPrésident de la New Century Foundation(1) éditeur de la revue American Renaissance(2) Jared Taylor est une des personnalités qui comptent dans le débat public aux États-Unis. Né en  1951 au Japon au sein d'une famille de missionnaires protestants, il parle le français à la perfection, et pour cause diplômé de Yale, il l'est aussi de Sciences Po Paris. Il est un des rares à contester les mythes de la société multiraciale.

Entretien avec Jared Taylor

Le Choc du mois : Vous dirigez American Renaissance, un de ces think tanks qui contribuent à façonner les politiques publiques. Quel est le sens de votre engagement ?

Jared Taylor : Tout le monde trouve normal aux États-Unis que les groupes ethniques minoritaires se battent pour défendre ouvertement leurs intérêts raciaux alors même que cette démarche est interdite aux Blancs. En d'autres termes, tous les non-Blancs sont encouragés à analyser chaque décision politique ou intervention publique en fonction des intérêts de leurs groupes respectifs. Au même moment, les Blancs ne sont pas censés avoir des intérêts collectifs et ne peuvent agir qu'en tant qu'individus.

Prenons un exemple. Un pompier de couleur prétend être victime de discrimination. Il peut faire intervenir en sa faveur toute sorte de groupes qui défendent les intérêts des Noirs sans que quiconque ne trouve à redire. En revanche, dans la même caserne, un pompier blanc qui se plaint lui aussi d'une discrimination comparable ne peut que porter l'affaire devant la justice. S'il a le malheur de faire appel à une des rares associations de défense des Blancs, il sera accusé de racisme, traîné dans la boue et ostracisé par ses propres collègues blancs.

« La notion de race est une catégorie biologique tout à fait légitime »

Cette attitude conduit à une autre injustice alors que les groupes non-blancs peuvent ouvertement se féliciter de l'accroissement de leur nombre dans la population américaine, les Blancs ne peuvent célébrer leurs origines communes et ils ne sont autorisés qu'à se réjouir du déclin de leurs effectifs alors que d'autres races peuvent glorifier leurs héritages. Les Mexicains sont tous dans la rue le 5 mai à l'occasion de leur fête nationale, les Noirs fêtent Kwanzaa, une sorte de Noël noir exclusivement réservé aux Noirs. Il serait impensable pour les Blancs de célébrer leur rôle dans l'histoire américaine de la même manière. Tant que les Blancs ne commenceront pas à agir ensemble pour défendre leurs propres intérêts, ils seront dominés par d'autres groupes raciaux qui n'hésitent pas en revanche à agir en tant que groupes constitués pour la défense de leur pré carré.

Parvenez-vous à intervenir dans le débat public ?

Quand il s'agit de vanter les mérites de la « diversité » et de la « tolérance », le discours public aux États-Unis ne s'éloigne jamais de la langue de bois. Mais en dépit des apparences, sous la surface du consensus mou, de plus en plus de Blancs prennent conscience de la crise que traverse notre peuple.

Je suis souvent invité à la radio et à la télévision. Des étudiants courageux sollicitent même mon intervention sur des campus universitaires en dépit de l'opposition féroce et parfois violente des défenseurs de la « diversité » et de la « tolérance ». À chaque fois que j'entends un de ces énergumènes me refuser le droit à la parole au nom de la « tolérance », il me vient à l'esprit ce bon mot d'un écrivain français, Paul Claudel je crois « La tolérance ? ll y a des maisons pour cela. » Malheureusement, cette citation est intraduisible ici.

Je suis frappé, à l'occasion de ces débats, par le fait que les non-Blancs en général, et les Noirs en particulier, sont bien plus ouverts que les Blancs à l'idée d'examiner sans a priori les questions raciales. En règle générale, les activistes les plus violents contre moi sont des jeunes Blancs issus des milieux aisés qui n'ont jamais eu à se frotter à cette fameuse « diversité » avant d'entrer à l'Université.

Les scientifiques américains commencent-ils à admettre la validité du concept de races humaines ?

Même s'il est encore très à la mode parmi les journalistes et les intellectuels de gauche (deux variétés de l'humanité très présentes en France comme aux États-Unis), d'affirmer haut et fort que les races humaines ne sont pas un concept biologique valide, qu'il s'agit en réalité d'une sorte d'illusion sociologique, la notion de race fait un retour en force grâce aux progrès réalisés dans deux domaines : la médecine et la génétique.

Les résultats des recherches en génétique comparative viennent aussi valider la vision traditionnelle des races humaines. Au cours des premiers temps de l'étude du génome humain, nombre de scientifiques ont affirmé que les différences de groupes n'avaient pas d'importance, mais aujourd'hui plus personne n'oserait affirmer de pareilles âneries.

Plus nous avançons dans la connaissance du génome humain, plus il devient évident qu'il existe des structures de différences génétiques qui distinguent les races les unes des autres. Certains généticiens tendent de désamorcer les controverses en utilisant l'expression « groupes de populations » plutôt que races, mais le sens de leurs travaux est clair comme de l'eau de roche : la notion de race est une catégorie biologique tout à fait légitime qui regroupe d'importantes différences entre des groupes humains.

« Certains imaginent déjà les Etats-Unis devenir un gigantesque Zimbabwe »

Ces recherches sont-elles popularisées ?

Aux États-Unis, l'Américain ordinaire est désormais confronté à l'existence des races humaines chaque fois qu'il se rend chez son médecin. De plus en plus, les médecins comprennent que de nombreuses maladies se soignent de manière différente selon les races et que des traitements qui peuvent se révéler efficaces au sein de certains groupes seront inopérants pour d'autres. Il existe même un journal médical entièrement consacré aux rapports entre les races et la médecine.

Comment réagissez-vous à l'élection de Barack Obama ?

Cette élection a été décrite par les éditorialistes politiques comme une avancée cruciale en direction d'une Amérique « post-raciale ». Il n'en est rien. N'oublions pas que 95 % des Noirs ont voté pour Barack Obama et que plus des trois quarts des Noirs qui se considèrent de droite ont quand même voté pour lui. Ce soutien massif révèle un mécanisme évident de solidarité raciale. On est bien éloignés d'une Amérique « post-raciale ».

De même, 55 % des Américains blancs ont voté pour le candidat blanc John McCain et cela alors même qu'il s'agissait d'un candidat manquant particulièrement de charisme, au cours d'une campagne électorale où l'Amérique a été frappée de plein fouet par une récession économique dont son prédécesseur a été rendu responsable par les médias. Il est impossible de savoir combien d'Américains ont voté pour McCain parce qu'il est blanc, mais sans aucun doute un certain nombre l'a fait.

Il est indéniable que le déclin de la présence des Blancs dans la population américaine s'accompagnera d'une plus grande conscience raciale des Blancs à l'heure de glisser leur bulletin dans l'urne, de la même manière que les Américains d'autres races le font.

Pourtant, le jour de l'accession au pouvoir de Barack Obama, la télévision a montré des foules enthousiastes où l'on voyait de nombreux visages blancs.

Il est exact que Barack Obama a bénéficié d'une frange jeune et radicale de la jeunesse blanche américaine, notamment des étudiants. Ils ont été très actifs et on les a beaucoup vus à la télévision. Détail amusant durant les réunions de campagne, les organisateurs plaçaient les Blancs devant le champ des caméras de la télévision pour donner l'illusion que les Blancs s'étaient déplacés en masse pour acclamer le candidat noir.

Il n'empêche que de nombreux Blancs viennent de comprendre qu'ils n'ont pas le président qu'ils souhaitaient avoir. Voici vingt ans, le nombre d'électeurs non-blancs ne pesait pas assez lourd pour qu'un candidat réunissant 55 % des votes des électeurs blancs ne puisse l'emporter. Désormais, le nombre croissant d'électeurs non-blancs conduit une minorité de Blancs à comprendre qu'ils perdent chaque jour davantage le contrôle des affaires de leur propre pays. Certains imaginent déjà les États-Unis devenir un gigantesque Zimbabwe à l'échelle d'un continent. Cette prise de conscience nous garantit que l'on ne se dirige pas vers une Amérique « post-raciale ».

« Les inconvénients d'une Amérique de plus en plus "diverse" sont évidents »

Mais n'êtes-vous pas étonné par la réaction enthousiaste d'une bonne partie des Blancs des « classes supérieures » ?

Non, pas du tout. En lisant le New York Times, j'ai été frappé par cette phrase du prix Nobel d'économie Paul Krugman. « Si l'élection de notre premier président afro-américain ne vous a pas émus, si elle ne vous a pas mis la larme à l'œil et [rendus] fiers de votre pays, c'est que quelque chose cloche chez vous. »

Cette citation reflète l'opinion majoritaire des intellectuels américains de la côte Est, mais c'est un point de vue que bien des Américains blancs ne partagent pas. Les Américains les plus éduqués, ceux qui collectionnent les diplômes des universités les plus prestigieuses, sont ceux qui parlent avec le plus d'enthousiasme d'égalité raciale. Ces brillants esprits ne trouvent pas d'accents assez lyriques pour célébrer la « diversité » qui réduit leur nombre et leur influence. Ce conditionnement est le produit de l'éducation secondaire et de l'université où une partie de l'effort pédagogique vise à formater leur opinion au sujet des non-Blancs. La récompense de leur intériorisation de l'idéologie dominante est qu'ils sortent de là avec le diplôme leur permettant de décrocher un boulot suffisamment bien payé pour vivre le plus loin possible des non-Blancs !

C'est pourquoi une bonne partie de l'Amérique vit dans le non-dit le plus absolu et dans une hypocrisie la plus totale. Je suis sûr que Paul Krugman vit dans un quartier à majorité blanche et que ses enfants fréquentent des écoles où les Noirs ne sont présents qu'à des doses homéopathiques. Et pourtant, cet homme va nous affirmer la bouche en cœur que les Blancs n'ont aucune raison de s'opposer à l'immigration actuelle et aux évolutions démographiques qui vont réduire les Blancs au statut de minorité aux États-Unis en 2040.

Je me souviens d'une étude du journaliste Peter Brown de l'Orlando Sentinel concernant ses collègues du Washington Post, des professionnels des médias qui comptent parmi les partisans les plus décidés du multiculturalisme et de l'intégration raciale. Il a découvert que plus du tiers d'entre eux se concentrent dans quatre quartiers blancs et chics à l'extérieur de Washington où ils ne croisent des Noirs que par hasard.

Peut-on parler d'une Amérique riche acquise à la cause du multiculturalisme et d'une Amérique pauvre qui résiste encore ?

Sans être aussi simple que cela, heureusement, il y a du vrai dans cette affirmation. Les riches peuvent se permettre de défendre le multiculturalisme parce qu'ils ont assez d'argent pour acheter leur tranquillité. Ils n'ont pas à vivre à côté de Mexicains qui élèvent des poules et un cochon dans leur arrière-cour et qui louent leur garage à des familles de huit enfants. Ce sont des Américains pauvres qui envoient leurs enfants dans des écoles dépensant la moitié de leur budget à enseigner l'anglais à des Hispaniques ou recrutant à prix d'or des vigiles pour empêcher les Noirs d'introduire des armes à feu pour tirer sur les Mexicains. Ces Blancs ne se font aucune illusion sur les avantages du multiculturalisme.

Dans le même temps, les inconvénients découlant d'une Amérique chaque jour plus « diverse » et non-blanche sont si évidents que de plus en plus d'Euro-Américains appartenant à la classe moyenne le voient clairement.

Quel est l'état des relations raciales en Amérique au lendemain de l'arrivée d'un Noir à la Maison Blanche ?

Elles sont inchangées. Un élément révélateur est la partie de bras de fer en coulisse pour les nominations au cabinet d'Obama. On voit bien où sont les vraies lignes de partage. Les Noirs sont furieux parce qu'il n'y a pas assez des leurs. Les Hispaniques et les Asiatiques sont fâchés pour les mêmes raisons. Seuls les Blancs n'osent pas dire qu'ils sont mécontents de ne pas avoir reçu assez de portefeuilles ministériels. Certains observateurs prédisent déjà que les Noirs vont être amèrement déçus par Obama. Beaucoup en attendent monts et merveilles. Certains croient sincèrement que le nouveau Président est doté de pouvoirs magiques qui vont les tirer de la misère et de la dégradation. Il va sans dire que la vie des Noirs ne va pas changer du jour au lendemain. À moins que les Noirs eux-mêmes ne changent radicalement. Je peux vous prédire avec une absolue certitude qu'étant donné les temps de crise que nous traversons, les choses vont probablement empirer pour les Noirs. Cette dégradation de leur situation va les conduire à en vouloir davantage aux Blancs.

« Le discours racial de Barack Obama a été très habile »

La discrimination positive ne commence-t-elle pas à reculer ?

C'est vrai. Le système de préférences raciales mis en place depuis les années soixante s'écroule enfin. Des initiatives citoyennes ont interdit la discrimination positive dans de nombreux États tandis que la Cour suprême a accepté de juger des affaires très importantes et l'on s'attend à des arrêts qui vont réduire considérablement la portée de ce racisme à rebours. Au même moment, on ressent une grande colère dans tout le pays au sujet d'une immigration illégale dont en Europe vous n'avez aucune idée de l'impact sur la vie des Américains ordinaires. On parle dans les milieux de gauche liés à Obama d'une régularisation massive des immigrants en situation irrégulière. Mais je peux vous assurer qu'elle ne sera jamais adoptée par le Congrès. La levée de boucliers serait générale, notamment en ces temps de crise économique quand tant d'Américains se retrouvent au chômage.

Quel a été le discours de Barack Obama sur la question raciale ?

Le discours racial de Barack Obama a été très habile. On connaît son engagement en faveur de la cause noire et même, par moments, ses positions nettement hostiles aux Blancs. Or, depuis qu'il est devenu sénateur pour l’État de l'Illinois, il a proclamé haut et fort qu'il est l'homme en mesure de réunir tous les Américains, qu'ils soient Blancs, Noirs ou de toute autre race. Cette mise en scène a été gobée avec délectation par les Blancs qui attendaient avec impatience la venue d'un homme politique noir qui n'affecte pas en permanence d'être en colère contre eux et qui prétende parler, non plus seulement pour les Noirs, mais pour les Américains dans leur ensemble. Grâce à ses discours calibrés au millimètre près, Barack Obama a été en mesure de capter la confiance de ces Blancs un peu naïfs. Mais j'insiste, ils ne constituent pas la majorité de la communauté blanche.

Il reste à voir s'il va persister dans son rôle de gentil unificateur ou s'il va revenir vers sa nature profonde, celle du militant racial en faveur des intérêts noirs. Toutefois, ses nominations pour constituer son cabinet laissent à penser qu'il est assez malin pour coller encore un peu au rôle qu'il a endossé pour conquérir le pouvoir.

« Notre pays est un très mauvais exemple à suivre pour l'Europe »

Les conflits entre minorités ne vont-ils pas compliquer les choses ?

Il suffit de se rendre dans les zones où ces populations cohabitent pour se rendre compte de la xénophobie des Noirs et de la haine que ressentent les Hispaniques à leur égard. Dans bien des cas, par exemple à Los Angeles, il a fallu l'intervention des unités anti-émeutes pour éviter un massacre en règle. Ces affrontements ont été une énorme déconvenue pour les progressistes qui, croyant que les Latinos étaient un « peuple de couleur », affrontant la même « discrimination » que les Noirs, pensaient que ces deux groupes devaient naturellement faire alliance contre les Blancs. Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Les Black Panther et le parti La Raza Unida ont organisé des actions communes. Ces tentatives ont culminé en 1968 avec l'organisation de la marche des Peuples pauvres à Washington. Depuis cette date, Noirs et Latinos ne perdent pas une occasion de s'affronter. Quant aux Juifs, ils sont bien mal payés en retour pour le soutien qu'ils ont apporté aux Noirs depuis plus de cinquante ans. Les organisations juives découvrent avec horreur que les Noirs les plus militants sont des antisémites rabiques.

Nous avons désormais des lycées qu'il faut fermer parce que les Arméniens et les Hispaniques se bagarrent ou encore, à Minneapolis, parce que les immigrants somaliens se battent avec tous ceux qui passent à leur portée. La diversité ethnique et raciale va se révéler un défi de plus en plus difficile à relever pour tous les Américains.

Une des conséquences de ces tensions raciales est que les médias sont obligés de rabâcher le slogan : « La diversité est notre force », dans une sorte d'exercice hypocrite d'autosuggestion, car il devient de plus en plus évident que bien loin de constituer un atout pour l'Amérique, la « diversité » est une faiblesse qui détruit notre société de l'intérieur, sape sa paix sociale et mine son économie.

Selon vous, l'Europe ne commence-t-elle pas à suivre l'exemple américain ?

C'est une évidence. Mais les Européens ne devraient pas se laisser abuser par des idéologues démonétisés comme Paul Krugman. Ils seraient mieux inspirés d'observer la triste réalité des États-Unis et la lente dégradation à laquelle nous conduit l'immigration massive en provenance du tiers-monde. Quelques rares Européens commencent à comprendre où ce processus nous mène. Le Parti de peuple danois ou le Vlaams Belang reflètent, chacun à sa manière, l'aspiration d'Européens ordinaires à vivre dans des sociétés dans lesquelles leurs valeurs sont respectées et dans lesquelles leur propre nationalité se trouve en claire majorité.

Les Européens devraient se demander de quel modèle démographique et économique ils souhaitent s'inspirer. Les faits sont là. quand les non-Blancs deviennent une majorité, la vie sociale telle que nous l'entendons disparaît. Elle est remplacée par un autre jeu de rapports sociaux que la majorité d'entre nous trouve insupportable. C'est ce qui motive tant de familles françaises à quitter des quartiers où elles ne se sentent plus en sécurité. Cette réalité a été dénoncée par Yazid Sabeg, votre tout nouveau commissaire à la Diversité, lequel a déclaré voici quelques jours « On ne peut pas accepter que la France devienne un pays d'apartheid […] Aujourd'hui, on est en train de creuser un sillon qui nous conduit tout droit à l'apartheid On est une société qui est en train de se fractionner. C’est un vrai trouble à l'ordre public […] C'est un sujet dont il faut qu'on s'empare. »

Les Européens doivent comprendre que les États-Unis qu'ils croient connaître ne sont qu'une fiction diffusée à longueur de journée par les films d'Hollywood et par les feuilletons de la télévision. La classe dominante cherche à imposer le mythe selon lequel les États-Unis sont un exemple de société qui peut fonctionner harmonieusement sur une base multiraciale. Il n'en est rien.

Notre pays est un très mauvais exemple à suivre pour l'Europe, laquelle devrait s'inspirer davantage de sa propre tradition plutôt que d'adopter à son tour comme modèle la société multiraciale qui conduit les États-Unis droit dans le mur.

Propos recueillis par Thomas Moberg Le Choc du Mois février 2009

1. www.nc-f.org

t2. www.amren.com 13.

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