De 1997 à 2012, la température moyenne mondiale est restée stable, puis de 2012 à 2022 elle a légèrement diminué. Pendant ce temps, les médias menteurs se sont déchaînés pour convaincre les peuples de l’imminence d’une catastrophe, justifiant taxes et pertes des libertés.
Utilisant pour leur propagande la courbe en crosse de hockey de Mann rejetée par tous les scientifiques qu’on n’invite jamais à la télé, et condamnée pour fraude par la justice canadienne en 2019.
Mais les climato-déniaisistes ont été trop optimistes en écrivant : « Ce jugement pourrait s’avérer fatal à ceux qui affirment que nous vivons un réchauffement sans précédent. » Les escrolos n’en ont rien à foutre de la science. Ils défendent une idéologie qui rapporte des places et des subsides, et ne feront jamais amende honorable.
L’important c’est de terroriser les mougeons
Les escrocs du climat racontent que la banquise a fondu. Faisant monter le niveau des mers et modifiant les courants. Or l’Atlantique compte 354.700.000 km3 d’eau et la banquise arctique seulement 1.370.000 km3 soit 0,38 %. Un ratio négligeable.
Lors de chaque vague de froid hivernale ou printanière, normale dans l’évolution des cycles saisonniers, le GIEC a trouvé une explication : la fonte d’une partie des glaces à défaut de faire déborder l’océan aurait commencé à modifier la circulation du Gulf Stream, refroidissant les rivages d’Europe.
Or les courants marins circulent depuis la zone équateur-tropiques en direction de la zone polaire par un effet de circulation thermohaline. C’est la résultante d’échanges dynamiques provenant des écarts de température et de densité des masses d’eau à l’échelle océanique qui provoque ces mouvements, véritables fleuves dans la mer orientés selon la force de Coriolis. L’eau plus salée et plus chaude remonte en latitude, perd du sel et des degrés, et redescend.
Quelques icebergs qui fondent au passage ont autant d’influence que la pluie sur ce phénomène planétaire qu’on connaît mieux depuis la guerre froide grâce au SOSUS (Sound Surveillance System) un réseau américain d’hydrophones destiné à repérer les sous-marins russes naviguant dans l’Atlantique Nord.
Le Groenland trouble fête
Pour contrer l’image du glaçon qui n’a jamais fait déborder un verre en fondant, les réchauffistes s’étaient rabattus sur le Groenland. Or après avoir gagné du terrain depuis 2017, les glaciers de ce mini-continent sont stables. Quelques rares médias mainstream en ont rendu compte. Expliquant cette « anomalie » qui dément la doxa par les courants. Cet enfumage n’a pas résisté aux climato-réalistes malgré les dénégations des fact checkers appointés pour désinformer, et la cenSSure compulsive de Facebook.
Pour apitoyer les foules, il ne restait plus qu’à se rabattre sur les ours blancs, ces féroces carnassiers si mignons quand ils sont bébés. Parmi les fake news les plus abjectes véhiculées, en toute connaissance de cause, il y eut ces photos de pauvres animaux légendées comme mourant de faim à cause du réchauffement Ces image jouent sur l’émotion des foules et reviennent régulièrement dans la propagande réchauffarde.
L’une montre un vieil ours cachectique malade du cancer des os. L’autre un animal grièvement blessé à une patte arrière qui a des difficultés à chasser. Des vétérinaires, des biologistes, des naturalistes ont essayé d’expliquer cela, croyant avoir affaire à des gens de bonne foi. Le déchaînement contre ces « complotistes » fut à la hauteur de leurs crimes de lèse-réchauffisme.
Dans l’affaire, pour avoir dénoncé l’instrumentalisation des ours blancs par le GIEC, Suzan Crockford, docteur en zoologie, a été virée de l’université de Victoria, allongeant l’interminable liste des profs de fac et de chercheurs mis à pied pour avoir osé douter de la doxa. Tout cela n’empêche pas la population des ours polaires de s’accroître régulièrement.
Tim Ball le géo-climatologue qui a fait condamner Mann pour sa courbe bidonnée qui avait tout simplement effacé l’optimum médiéval, concluait ainsi une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs « les températures de l’air printanier autour du bassin de la baie d’Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et en conséquence, la disparition annoncée de l’ours polaire est infondée. »
Poles Positions
Puisque la climatologie se veut planétaire, on ne peut négliger l’hémisphère austral. Les experts du GIEC affirment que 7,8 millions de litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, « ça fout la trouille » (c’est d’ailleurs le but recherché). Mais 7800 mètres cube par an multipliés par 31.536.000 secondes/an, cela fait 246 milliards de m3 fondant chaque année.
Or le volume total de glace des pôles est de 24 millions de milliards de m3 selon l’Ifremer. Donc le chiffre annoncé représente 0,001 % du total des glaces polaires. En outre la NASA en 2015 affirmait que « les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes ».
Si on rétablit la balance pour la planète, la perte annuelle représente dans l’hypothèse la plus défavorable 246 km3 de glace. C’est du même ordre de grandeur que les calculs d’une autre étude de la NASA chiffrant à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 45 milliards de tonnes de glace annuels.
Or la surface totale des océans est de 360 milliards de km2. Le volume brut de glace fondue serait de 0,68 mm par an, soit 7 cm par siècle. Mais pour la NASA, la fonte polaire actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm, soit 4 cm par siècle. Pas de quoi engloutir le rivages bas et les atolls comme prédit par les astrologues du GIEC. D’autant que le léger réchauffement est un phénomène qui a commencé à s’inverser.
Le refroidissement climatique a déjà commencé dans l’hémisphère austral
Sur l’Antarctique, les données satellites confirment les relevés in situ depuis plus de 30 ans : les vallées du « continent blanc » sont de plus en plus froides, et les glaciers de plus en plus épais augmentent en surface et en volume. Débordant loin dans l’océan, les courants marins et les vents froids qu’ils produisent entraînent une baisse sensible des températures dans tout l’hémisphère austral.
Ainsi en 2019 a-t-on relevé à Tahiti des températures inédites de 16 °C le matin au bord de l’eau. Et on commence à trouver des otaries sur les plages de Polynésie depuis 2012 ! À Tubuaï, Rurutu, Raivavae, Rapa…
On notera qu’entre 2013 et 2015, la baisse notable d’activité solaire amorcée en 1998 fut confirmée par les astrophysiciens de la NASA et des astronomes du monde entier. Tandis que s’ensuivait une lente inversion de la courbe moyenne des températures.
Si cette tendance perdure, on peut envisager un refroidissement planétaire de type minimum de Maunder aux alentours de 2030. Ce phénomène avait déjà touché notre planète entre 1645 et 1715, en plein petit âge glaciaire commencé en 1460 et terminé en 1850. Concrètement, une modulation des tâches solaires avait fait chuter notablement l’activité de notre étoile, entraînant une baisse globale des températures terrestres. Selon la Royal Astronomical Society, ce phénomène pourrait avoir lieu à partir de 2030 ou dans sa décennie. Marquant le début d’une nouvelle ère glaciaire.
L’astrophysicienne russe Valentina Zharkova confirme les travaux de ses collègues britanniques à l’origine de l’information, qui donnent une probabilité de 97 % au refroidissement. Pour ce faire, ils s’appuient sur l’analyse de la circulation des champs magnétiques du soleil qui, selon eux, permettent des extrapolations extrêmement précises.
Alors si vous trouvez les dystopies distrayantes, regardez du côté du film Snowpiercer plutôt que de Waterworld.
Christian Navis
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