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L’arnaque climatique est terminée ?

par Robert Malone

Le 21 mars 2025, la revue Science of Climate Change a publié une étude révolutionnaire utilisant l’IA (Grok-3) pour réfuter le discours sur la crise climatique d’origine humaine.

Réévaluation critique de l’hypothèse du réchauffement climatique dû au CO2 anthropique :

Article sur le changement climatique

Cette étude évaluée par des pairs et une revue de la littérature non seulement réévaluent le rôle de l’homme dans le discours sur le changement climatique, mais révèlent également une tendance générale à l’exagération du réchauffement climatique.

De plus, cet article démontre que l’utilisation de l’IA pour l’analyse critique des données scientifiques deviendra bientôt la norme en sciences physiques et médicales.

Après la débâcle du changement climatique d’origine humaine et la corruption de la médecine factuelle par les grandes entreprises pharmaceutiques, l’utilisation de l’IA pour la recherche financée par l’État se normalisera et des normes seront élaborées pour son utilisation dans les revues à comité de lecture.

L’utilisation de l’IA dans le développement et l’analyse des essais cliniques stimulera l’innovation en médecine occidentale de manière inédite. La FDA doit adopter l’IA pour analyser la recherche et la conception des essais précliniques et cliniques afin de suivre les tendances actuelles. Le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité des CDC (MMWR), un condensé épidémiologique hebdomadaire, constitue le principal canal d’information de santé publique et de recommandations gouvernementales. Pour rester pertinent, le MMWR doit mettre en œuvre ces nouveaux outils d’IA en utilisant les données générées par l’industrie médicale. De même, le système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) des CDC et le système de déclaration des effets indésirables de la FDA (FAERS) sont désormais obsolètes. Ces systèmes doivent être fusionnés et un nouveau système doit être développé rapidement grâce à des solutions basées sur l’IA. Je suis convaincu que le secrétaire du HHS, M. Kennedy, veillera à ce que ces changements fondamentaux se produisent rapidement, car l’IA représente désormais l’avenir de la science et de la médecine.

Mais revenons à la question du changement climatique.

Pour ceux qui pensent que tout cela semble futuriste, veuillez lire le communiqué de presse ci-dessous concernant la nouvelle étude sur le changement climatique. Ce communiqué de presse a été rédigé par Grok-3, qui en est également l’auteur principal.

Une nouvelle étude menée par Grok 3 beta et des scientifiques remet en question le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique

21 mars 2025 – Lexington, MA, États-Unis – Une nouvelle étude provocatrice menée par l’intelligence artificielle Grok 3 beta (xAI) et ses co-auteurs Jonathan Cohler (Cohler & Associates, Inc.), David R. Legates (retraité, Université du Delaware), Franklin Soon (Marblehead High School) et Willie Soon (Institut de physique de la Terre et des sciences spatiales, Hongrie) remet en question la réelle implication des émissions de dioxyde de carbone (CO2) d’origine humaine dans le réchauffement climatique.

Publié aujourd’hui dans la revue Science of Climate Change, l’article intitulé «Réévaluation critique de l’hypothèse du réchauffement climatique dû au CO2 anthropique» suggère que les forces naturelles, comme l’activité solaire et les cycles de température, sont les véritables responsables.

Cette étude marque une étape historique : à l’heure actuelle, il s’agit du premier article scientifique sur le climat évalué par des pairs dont l’auteur principal est un système d’IA. Grok 3 beta, développé par xAI, a piloté la recherche, rédigeant le manuscrit avec des coauteurs humains fournissant des orientations essentielles.

L’étude s’appuie sur des données non ajustées pour démontrer que le CO2 anthropique – seulement 4 % du cycle annuel du carbone – disparaît dans les océans et les forêts en 3 à 4 ans, et non en plusieurs siècles comme l’affirme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Pendant les confinements liés à la COVID-19 en 2020, une baisse de 7% des émissions (2,4 milliards de tonnes de CO2) aurait dû entraîner une baisse notable de la courbe du CO2 du Mauna Loa, mais aucune anomalie n’est apparue, laissant présager la domination de la nature.

Le chercheur Demetris Koutsoyiannis, cité dans l’étude, conforte cette hypothèse. Son analyse isotopique (δ¹³C) ne révèle aucune trace durable du CO2 humain dans l’atmosphère au fil des siècles, ce qui remet en cause son impact. Ses travaux statistiques apportent une nuance : c’est la température qui influence les niveaux de CO2, et non l’inverse, la chaleur entraînant des variations de CO2 de 6 à 12 mois selon les données modernes et de 800 ans selon les carottes de glace. «C’est comme le tonnerre avant l’éclair», explique Willie Soon. «Le réchauffement retire le CO2 des océans

L’étude reproche également aux modèles du GIEC d’exagérer le réchauffement. Les modèles prévoient jusqu’à 0,5 °C par décennie, mais les données satellitaires et terrestres n’indiquent que 0,1 à 0,13 °C. La banquise arctique, qui devrait fortement diminuer, s’est stabilisée depuis 2007. «Ces modèles surestiment le rôle du CO2», explique David Legates. «Ils ne reflètent pas la réalité.»

Le soleil occupe alors le devant de la scène. En analysant 27 estimations de l’énergie solaire, l’équipe constate que les versions présentant des fluctuations plus importantes – comme les pics des années 1940 et 1980 – correspondent mieux aux variations de température que le modèle solaire plat du GIEC. Les relevés de température ajustés, qui refroidissent les relevés anciens et augmentent les relevés récents, portent le réchauffement à 1 °C depuis 1850, tandis que les données rurales non ajustées indiquent une hausse plus modérée de 0,5 °C. «Cela bouleverse la théorie du climat», déclare Jonathan Cohler. «C’est peut-être la nature, et non l’humanité, qui tient le volant.» En combinant l’analyse de l’IA avec l’analyse humaine, l’étude vise à susciter le débat et à recentrer l’attention sur les facteurs naturels. Elle est disponible sur Science of Climate Change.

«Nous invoquons

«Encourageons le public et les scientifiques à explorer ces preuves», ajoute Grok 3 beta. «Remettons en question nos hypothèses et analysons ce que disent réellement les données.» Auteur

Note : Ce communiqué de presse a été entièrement rédigé par Grok 3 beta.

Fin du communiqué de presse

Citations de l’article évalué par les pairs :

Notre analyse révèle que les émissions humaines de CO₂, qui ne représentent que 4% du cycle annuel du carbone, sont éclipsées par les flux naturels, les signatures isotopiques et les données de temps de résidence indiquant une rétention atmosphérique à long terme négligeable.

De plus, les simulations individuelles des modèles CMIP3 (2005-2006), CMIP5 (2010-2014) et CMIP6 (2013-2016) ne parviennent systématiquement pas à reproduire les trajectoires de température et les tendances de l’étendue de la glace de mer observées, affichant des corrélations (R²) proches de zéro par rapport aux données non ajustées. Une faille critique apparaît dans le recours du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) à une seule variabilité faible.

Reconstruction de l’irradiance solaire totale (TSI), malgré l’existence de 27 modèles viables Alternatives, où les options à plus forte variabilité correspondent étroitement au réchauffement observé, lui-même amplifié par les ajustements de données.

Nous concluons que l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique dû au CO₂ manque de fondement empirique, éclipsée par des facteurs naturels tels que les rétroactions de température et la variabilité solaire, ce qui nécessite une réévaluation fondamentale des paradigmes climatiques actuels.

Le discours du GIEC sur le réchauffement climatique dû au CO₂ s’effondre sous l’effet d’un examen minutieux. Les émissions humaines (4 %) disparaissent dans les flux naturels, les modèles échouent aux tests prédictifs, l’incertitude du TSI nie la primauté du réchauffement climatique dû au CO₂, et les données ajustées déforment la réalité. Les facteurs naturels (rétroactions de température, variabilité solaire) expliquent les tendances sans forçage anthropique, ce qui falsifie l’hypothèse.

L’hypothèse du réchauffement climatique d’origine anthropique au CO₂, formulée par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et soutenue par des chercheurs tels que Mann, Schmidt et Hausfather, manque de fondement empirique solide lorsqu’elle est soumise à un examen rigoureux. Cette analyse, qui intègre des données d’observation non ajustées et des études récentes évaluées par des pairs, démontre que l’affirmation selon laquelle les émissions anthropiques de CO₂ seraient le principal facteur de la variabilité climatique depuis 1750 est infondée. En revanche, les processus naturels, notamment les rétroactions de température, la variabilité solaire et la dynamique océanique, fournissent une explication plus cohérente des tendances observées.

La dépendance du GIEC aux modèles de circulation générale (MCG) des phases 3, 5 et 6 du CMIP est également dénuée de preuves empiriques.

Ces résultats, issus des analyses de causalité et de temps de résidence de Koutsoyiannis, des corrélations solaires de Soon, des évaluations des données non ajustées de Connolly et des évaluations du cycle du carbone de Harde, indiquent collectivement que les facteurs naturels dominent la variabilité climatique.

Les émissions humaines de CO₂ constituent une composante mineure, les modèles de circulation générale présentent des limites fondamentales, les hypothèses de l’indice de stabilité des températures manquent de justification et les ajustements de données introduisent un biais systématique.

Ces résultats nécessitent une réévaluation des priorités de la science climatique, privilégiant les systèmes naturels plutôt que le forçage anthropique.

Ce que l’article n’aborde pas, ce sont les terribles dommages causés à la Terre et à ses habitants au nom du changement climatique.

En 2021, lors de la COP26 sur le climat à Glasgow, les États-Unis ont rejoint une vingtaine d’autres pays en acceptant de suspendre le financement des projets pétroliers et gaziers dans les pays en développement. Cette annonce surpasse un accord distinct conclu par les plus grandes économies mondiales visant à mettre fin au financement public du développement international des centrales à charbon. En 2021 également, le Trésor américain a publié des directives à l’intention des banques multilatérales de développement «visant à réduire le financement des énergies fossiles, sauf dans certaines circonstances».

Les dirigeants des pays en développement affirment avoir été et être contraints d’utiliser des énergies vertes coûteuses, produisant moins d’énergie par capital investi. Cela a rendu encore plus difficile pour des milliards de personnes d’échapper à la pauvreté. Le terme utilisé pour ce type de politiques, imposées aux pays en développement par la Banque mondiale, le Forum économique mondial et les acteurs mondialistes habituels, est désormais connu sous le nom de «colonialisme vert».

Par le biais des politiques de l’Agenda 2030 des Nations Unies, l’Union européenne a contraint les pays européens à s’approprier des terres agricoles en Europe, en Irlande et au Royaume-Uni. Les agriculteurs ont été contraints de cesser leurs activités, ce qui a entraîné une hausse des prix des denrées alimentaires et une variabilité des prix. De plus, les agriculteurs ont été contraints de cesser l’élevage de bovins et d’autres animaux d’élevage, afin d’éliminer les émissions de méthane de la planète. Tous ces dommages ont été causés au nom du changement climatique «d’origine humaine» !

Alternatives toxiques aux combustibles fossiles : L’extraction du lithium pour les batteries des véhicules électriques est toxique et a causé de nombreuses maladies chroniques, voire des décès. Les enfants sont souvent utilisés pour extraire le lithium. Les déchets de ces batteries ne sont pas faciles à éliminer. De plus, les éoliennes tuent des espèces animales, perturbent la vie marine, et leur élimination est complexe et néfaste pour l’environnement.

En d’autres termes, il existe des cas où des alternatives existent.

Des sources d’énergie alternatives sont recherchées. Une voiture électrique peut être parfaitement adaptée à une énergie hydroélectrique, nucléaire, voire au charbon bon marché. De même, une éolienne ou des panneaux solaires peuvent être parfaitement adaptés aux petites exploitations. Mais ces choix doivent être des choix, et non des obligations. Ils doivent être régionaux. Il n’existe pas de solution universelle.

Il est indéniable que la protection de l’environnement est essentielle dans de nombreux cas. Cependant, ces politiques de lutte contre le changement climatique ont été des échecs cuisants.

Je m’attends à ce que l’analyse scientifique des dommages causés par l’arnaque climatique révèle des dommages considérables dans les années à venir.

De plus, une part importante de la société se méfie désormais du gouvernement. Les gouvernements, les ONG et les multinationales ont été à l’origine de ces recherches erronées au cours des deux dernières décennies (rappelons que le gouvernement et les grandes entreprises financent les recherches qu’ils souhaitent obtenir). Les gouvernements ont ensuite utilisé ces résultats de recherche pour promouvoir des initiatives qui ont profité aux entreprises affiliées au Forum économique mondial, qui contrôlent des entreprises dans le monde entier.

La fenêtre d’Overton, le contrôle des financements et les processus d’évaluation par les pairs défaillants ont rendu pratiquement impossible pour les scientifiques indépendants de dénoncer la censure et la propagande concernant le «changement climatique d’origine humaine».

Sous la présidence de Trump, les États-Unis ont une fenêtre d’opportunité pour inverser ces politiques. On ne peut qu’espérer qu’il ne soit pas trop tard.

source : Malone News via Ciel Voilé

https://reseauinternational.net/larnaque-climatique-est-terminee/

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