Depuis que les musulmans tuent au nom d’Allah, les autorités, dans un rituel bien huilé, cachent d’abord son identité, puis, une fois qu’on sait qu’il ne s’appelle pas Mattéo ou Kevin, ils nous disent que c’est un déséquilibré, qui n’est pas en état de subir un interrogatoire, et qu’il faut l’interner en psychiatrie. Puis, avec la complicité des psys, c’est le début d’un long parcours où on finira par vous expliquer que le malheureux assassin a eu une absence de discernement quand il a crié « Allah akbar » et porté des dizaines de coups de couteau à sa victime.
C’est avec ce genre de mécanique que l’assassin musulman de Sarah Halimi, Kabili Traoré, bien qu’il ait insulté sa victime à cause de ses origines, a été déclaré en irresponsabilité pénale, empêchant la famille de faire qu’aurait permis un procès. Et combien d’autres exemples ?
https://www.liberation.fr/societe/2007/08/28/l-assassin-de-pau-ne-sera-pas-juge_10142/
Mais on fera remarquer que dans les dossiers sensibles, comme à Bayonne, en 2019, quand Claude Sinké, âgé de 84 ans, tirera en plein après-midi sur deux musulmans, qui seront blessés, à la sortie de la mosquée, et que cela paraissait vraiment être un déséquilibré, on le jettera en prison pour calmer les disciples de l’Allah et qu’on le laissera y mourir à 85 ans. Les psychiatres nous ont alors expliqué que le vieux monsieur n’avait pas toute sa tête, mais qu’il savait ce qu’il faisait. Grandiose !
Dans le cas de Nantes, l’assassin, âgé de 16 ans, Justin Adar Polat, d’origine turque, a certes tué comme un musulman (le procureur annoncera 57 coups de couteau sur la principale victime, égorgée), mais apparemment il n’a pas tué au nom de l’islam, mais de la planète menacée. Il a ensuite attaqué trois autres élèves, dont l’un est entre la vie et la mort.
Le procureur de la République Antoine Leroy évoquera la fascination de l’assassin pour Hitler et son côté suicidaire, rêvant qu’on le tue en lui tranchant la gorge, comme les musulmans le font à leurs victimes. Chose ahurissante, le procureur n’évoque presque pas le message de 13 pages sur l’écocide et l’avenir de la planète, innocentant le discours mortifère et anxiogène des écologistes gauchistes.
Et bien évidemment, il s’est trouvé le psychiatre de service pour expliquer que son état de santé ne permettait pas de poursuivre sa garde à vue, et qu’il fallait l’interner en psychiatrie. Toutes les conditions sont réunies pour qu’il ne soit jamais jugé, et encore moins emprisonné. Comment ne pas rêver d’un pays où la police aurait le droit de le traiter à la hauteur du mal qu’il a fait, où les gifles, et même davantage, feraient partie des méthodes d’interrogatoire qui lui permettraient rapidement d’être en état d’être interrogé ?
Pendant ce temps-là, comme d’habitude, la gauche et ses complices les journalistes font tout pour noyer le poisson, et dissimuler la réalité écologique du Manifeste de 13 pages envoyé à l’ensemble des élèves, quelques minutes avec les coups de couteau. Avec un parfait ensemble, Insoumis et Syndicats enseignants réclament plus de moyens pour l’école, et multiplient les contre-feux pour cacher la vérité aux Français.
La vérité est pourtant transparente. Quand nos enfants ne sont pas tués ou poignardés, à l’école ou dans la rue, par des musulmans, ils risquent à tout moment d’être agressés, parfois mortellement, par de jeunes abrutis demeurés nourris par les écologistes gauchistes dans la haine de l’humain, coupable de tuer la planète. Et quand on cumule les deux, ce qui apparemment est la cas de l’assassin de Nantes, le pire est inévitable.
Tout le monde parle du malaise de la jeunesse, mais les principaux responsables en sont les politicards de gauche et macronistes, qui n’ont rien d’autre à proposer à nos jeunes qu’un discours, par ailleurs faux, négatif sur leur pays, et alarmiste pour la planète.
Il faudra, pour que nos jeunes aillent mieux, les débarrasser des agresseurs disciples d’Allah et du discours wokiste et climatiste, forcément angoissant et traumatisant pour les esprits faibles.
Première urgence : remettre le patriotisme au cœur de l’école, mais pour cela il faut virer l’incompétente Borne et ses cours d’éducation sexuelle pour les petits.
Deuxième urgence, en finir avec la culture de l’excuse de la gauche et le coup de l’absence de discernement au moment du crime. On s’en fout de toutes ces excuses, l’assassin a tué, il a retiré des vies, il doit être mis hors de la société, et exécuté pour protéger la collectivité et faire un exemple.