Des milliards pour l’Ukraine ou des portiques pour nos lycées ?
Quand une lycéenne est poignardée à mort dans un lycée privé de Nantes, quand Thomas, 16 ans, est tué à Crépol, le peuple français, qu’il soit modeste ou aisé, pleure ses enfants. Pourtant, en 2024, la France a envoyé 3 milliards d’euros à l’Ukraine pour une guerre enlisée, sans demander l’avis des citoyens. Ces milliards, tirés des impôts des ouvriers et des classes moyennes, auraient pu financer des portiques de sécurité dans nos lycées, publics comme privés, pour protéger nos jeunes. Pourquoi les élites choisissent-elles des conflits lointains plutôt que la sécurité de nos enfants ? Parce qu’elles ignorent le peuple, et une pétition militaire le rappelle : Macron agit sans l’accord du Parlement.
L’Ukraine : un puits sans fond imposé par les élites
En 2024, la France a promis 3 milliards d’euros d’armes à l’Ukraine, suivis de 2 milliards en 2025, dans un effort européen de 155 milliards de dollars depuis 2022. Mais la guerre est dans l’impasse : l’Ukraine, épuisée, voit ses conscrits fuir (650 000 déserteurs), ses obus manquer (1 pour 5 russes), et la Russie tenir 18 % du territoire. Pourquoi prolonger un conflit sans issue avec l’argent des Français ? La « menace russe » sur l’Europe, brandie par Macron, est risible : Poutine, n’a ni les moyens ni l’envie d’envahir les pays Baltes et leurs 6 millions d’habitants.
Pire, ces milliards ont été décidés sans le peuple. Une pétition circule parmi des militaires, dénonçant que Macron a signé l’accord avec l’Ukraine sans vote préalable du Parlement, violant l’esprit de la démocratie. Des débats a posteriori, non contraignants, ont eu lieu en mars 2024, mais trop tard : l’argent était déjà promis. Les contribuables, ouvriers ou parents payant des lycées privés, n’ont pas eu leur mot à dire. Pendant ce temps, les élites vivent en sécurité, loin des couteaux qui menacent nos enfants.
Nos lycées : des cibles, même pour les plus aisés
Le 24 avril 2025, un lycéen de 15 ans a tué une camarade et blessé trois autres au lycée Notre-Dame-de-Toutes-Aides, un établissement privé coûteux à Nantes. Ce drame, comme celui de Crépol, montre que l’insécurité frappe partout : lycées publics des quartiers populaires ou privés des classes moyennes. Les familles, même celles payant des frais élevés, n’achètent pas la sécurité. Nos enfants, qu’ils soient riches ou pauvres, sont vulnérables face aux couteaux.
Des portiques de détection, capables d’identifier armes et lames, coûteraient 100 à 200 millions d’euros pour équiper les 4 200 lycées publics et des centaines de lycées privés. C’est 15 à 30 fois moins que les 3 milliards pour l’Ukraine. Ces portiques, testés en Île-de-France, sauveraient des vies, comme à Nantes. Mais les élites parlent de « climat scolaire » ou de géopolitique, ignorant les parents qui tremblent pour leurs enfants, qu’ils soient ouvriers ou cadres.
Une démocratie volée
Le peuple n’a pas voté pour envoyer 3 milliards à l’Ukraine. Macron a signé l’accord seul, avant un débat parlementaire symbolique. Des militaires, via une pétition, exigent que le Parlement approuve ces dépenses, comme l’article 35 de la Constitution l’impose pour les guerres. En 2020, 55 % des Français voulaient des mesures sécuritaires fortes (Ifop). Un référendum opposerait l’Ukraine aux portiques : le peuple choisirait ses enfants, pas une guerre étrangère. Refuser ce choix, c’est entretenir une dictature déguisée, où les élites décident et les « masses » paient.
Conclusion : le peuple doit trancher
Les 3 milliards pour l’Ukraine sont une insulte au peuple, qui voit ses enfants menacés dans des lycées, même privés. Les portiques, pour 100 à 200 millions d’euros, sauveraient des vies et rendraient justice. Une pétition militaire le clame : Macron doit rendre des comptes au Parlement. Le peuple, par référendum, doit choisir : la guerre en Ukraine ou la sécurité des lycées ?