
Des détonations ont été entendues ce jeudi 10 juillet vers 22 heures dans le quartier Mas de Mingue, non loin de la mosquée.
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Des détonations ont été entendues ce jeudi 10 juillet vers 22 heures dans le quartier Mas de Mingue, non loin de la mosquée.
L’affaire des piscines est symptomatique et cette ville suisse qui fait l’actualité en interdisant désormais l’entrée de sa piscine aux Français est une affaire en trompe l’oeil. Il ne faut pas s’y tromper, si vous allez dans cette piscine avec votre épouse et vos deux enfants, rassurez vous, on ne vous demandera même pas votre carte d’identité. Les Suisses n’ont pas peur de nommer les choses et il s’agit bien entendu de bandes de racailles exotiques qui n’en sont pas à leur premier fait d’arme en Suisse, ce pays encore trop cool avec ce qu’on nomme avec pudeur « l’enrichissement culturel » et qui n’a pas pris la mesure des attaques, parce qu’il n’est pas encore totalement envahi. Du reste, les années précédentes, nous avions eu le même type de phénomène avec les « jeunes » des cités de Strasbourg qui allaient faire la même chose dans les piscines allemandes frontalières.
Dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, un équipage de la police nationale a terminé sa patrouille quand il a été avisé d’une rixe. Les policiers se sont rendus en renfort de leurs collègues confrontés à une quinzaine d’individus, sur le parvis du Kursaal, à proximité d’un chapiteau du Festival de la Bonne Aventure.
C’est une décision de justice qui soulève l’incompréhension, l’indignation, et désormais une colère froide. Le parquet de Lorient a annoncé le classement sans suite de l’affaire du passage à tabac d’un tatoueur d’Auray, roué de coups par plusieurs individus, en marge du match Lorient-Caen, le 26 avril dernier. Une affaire pourtant documentée, avec preuves, témoignages et même des gardes à vue assorties d’aveux partiels. Rien n’y a fait.
Il arrive que la vérité se retire du monde, comme une mer en reflux. À l’origine de ce reflux, il y a parfois une intention. La proposition de loi déposée par des députés de gauche et écologistes, dont Sandrine Rousseau et Clémentine Autain, visant à « réfléchir » à la place des faits divers dans les médias publics, n’a rien d’anodin. Il signe le retour d’une vieille tentation totalitaire : contrôler non seulement ce que l’on pense, mais ce que l’on a le droit de savoir.
Entre le 1er janvier et le 11 mai dernier, pas moins de 1849 personnes ont été interpellées sur l’ensemble du territoire. Les fous du guidon sont désormais rejoints par des chauffards venus de toute l’Europe. Matérialiser le cumul de ces preuves vire souvent au casse-tête, d’autant que les parquets demandent la plupart du temps que leur soit apportée la preuve par l’image. Depuis des années, les autorités redoutent que la France s’enfonce par endroits dans un scénario digne d’Orange mécanique, mais c’est aussi Mad Max qui s’y rejoue ad nauseam.
Le suicide de Marleix, qui y croit ? Personne. Il se trouve que le député en était à finaliser un livre dans lequel il évoquait l’affaire Alstom et le financement de la campagne présidentielle de 2017. Avant lui, s’étaient suicidés un médecin et une journaliste, qui allaient peut-être faire des révélations sur Brigitte. Il y eut aussi un général, des agents de la DGSE, à ce point que ça commence à faire beaucoup. Mais c’est le hasard évidemment.
Voici un exemple très concret de ce qu’implique la petite délinquance.
Ici pas d’enlèvement crapuleux pour une rançons en Bitcoin.
Ici, pas de prise d’otage spectaculaire.
C’est nettement plus modeste.
C’est une histoire de racaille (dont on se fiche bien de la palette de couleur ou d’origine) et de sales gosses mal dégrossis qui descendent dans une base nautique et cassent tout, détruisent tout, frappent tout le monde à commencer par le personnel. Là où on pouvait avoir des « activités » il n’y a que des entreprises qui ferment et font faillite.
MàJ 08/07/2025
Azzédine Taïbi annonce ce mardi matin sur son compte Facebook avoir déposé plainte après « des insultes, intimidations et menaces ».
Les LR et les RN veulent faire passer une loi qui sanctionnerait les propos anti-républicains. Avant de tenter de comprendre les motivations, il faut déjà analyser le fond de ce texte. La première chose qui frappe l’esprit, c’est que la définition même du sacrilège n’est pas définie. Ce sera donc l’arbitraire, le vecteur qui conduira à qualifier les dires d’un individu comme contraire à la république. Cette loi fleure bon le totalitarisme ! Ah, nous les entendons d’ici les défenseurs de ce projet de loi, comment peut-on juger totalitaire un texte qui vise à protéger la République ? Justement parce qu’on ne peut pas garantir une liberté en faisant de l’objet à défendre un sanctuaire, sauf à verser dans le mystique et à transformer la république en une nouvelle théocratie où Dieu serait remplacé par les députés, les juges et le pouvoir en général. La république n’est qu’un régime parmi d’autres, on ne peut pas le sacraliser à ce point, aller jusqu’à prétendre qu’il détient un universalisme qui ne saurait être remis en question sur des fondements purement subjectifs, plus proches d’une idéologie théologique du pouvoir qu’animés par un souci de représentation démocratique.