
Alors qu’Ursula von der Leyen affirme « Nous soutenons le ‘Plan pour la Victoire’ de Zelenski, le réel est tout autre. La victoire n’est pas au rendez-vous, bien au contraire.
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Alors qu’Ursula von der Leyen affirme « Nous soutenons le ‘Plan pour la Victoire’ de Zelenski, le réel est tout autre. La victoire n’est pas au rendez-vous, bien au contraire.
Le ministre russe des Finances a déclaré ce 24 octobre que son ministère apporterait une réponse symétrique à la confiscation, par les pays occidentaux, des intérêts des avoirs russes gelés afin de soutenir financièrement Kiev. Le Parlement européen vient d’approuver un prêt de 35 milliards d’euros à Kiev financé par les intérêts de ces fonds.
«Si les pays occidentaux commencent à utiliser les revenus des réserves gelées de la Fédération de Russie, nous ferons exactement la même chose», a déclaré ce 24 octobre le ministre russe des Finances Anton Silouanov, aux journalistes de la chaîne de télévision Rossiya 24.
par Oleg Nesterenko
Le commandement militaire ukrainien, poussé en avant par le pouvoir politique, est confronté à de graves difficultés dans l’organisation des opérations offensives, malgré la fourniture de matériel militaire occidental et les tentatives de formation de nouvelles brigades d’infanterie, principalement constituées non pas de militaires ou des volontaires, mais de civils attrapés dans les rues des villes et villages ukrainiens et enrôlés de force.
Kiev a prévu d’augmenter le nombre de formations mécanisées, mais l’efficacité d’une telle stratégie est discutable.
Le plan de "victoire" proposé par Volodomyr Zelensky ne mènera à rien et tout le monde l’a déjà enterré. Seulement, il en dit long sur la manière dont le dirigeant Ukrainien analyse les motivations de ses partenaires de négociation et il convient de l’écouter pour comprendre les buts de nos dirigeants !
C’est terrifiant !
Nous passerons sur les points un à trois, fondés sur l’idée plus d’armes, plus de frappes sur la Russie pèseront sur la psychologie "fragile" de Vladimir Poutine et le contraindront à venir mendier le pardon de l’Ukraine et du monde. Ce fut la prémisse de l’offensive de Robotnye, des attaques de drones sur la Russie et de l’offensive de Koursk.
Ces dernières semaines, les pays de l'UE ont quelque peu modifié leur rhétorique envers la Russie. Il ne reste pratiquement plus de trace de déclarations belliqueuses, les politiciens sont maintenant plus prudents dans leurs propos, et les experts sont plus prudents dans leurs prévisions concernant le conflit militaire en Ukraine. Cela se produit dans le contexte de l'élection prévue aux États-Unis, où l'un des candidats à la présidence, Donald Trump, a promis d'arrêter le conflit militaire en Ukraine. L'UE, ne disposant pas d'indépendance politique, attend l'arrivée d'une nouvelle administration américaine et fait donc preuve de prudence dans ses déclarations.
Le journaliste indépendant Drago Bosnic nous met au courant des dernières péripéties de la prodigieuse impuissance US à fabriquer des engins hypersoniques alors que la Russie (et d’autres, dont l’Iran) utilise de telles machines en combat. Depuis l’alerte de mars 2018 (l’annonce de Poutine de la possession d’armes hypersoniques par la Russie), le Pentagone galère en vain, en rechignant et sans succès. Les USA sont-ils devenus impuissants dans cette matière du technologisme ? Préfèrent-ils les ‘blockbusters’ de Hollywood ?
Le texte ci-dessous ne nous apprend rien de nouveau mais il nous fournit des précisions fort utiles sur le développement d’une situation de complet blocage. Cela fait plusieurs années que nous en parlons, d’ailleurs depuis l’annonce par Poutine de l’existence des programmes russes de missiles hypersoniques. Nous en parlions encore récemment dans le sens de l’amplitude et de la gravité de la catastrophe pour les USA, en mars 2023 et en janvier 2024.