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Le témoignage d’une ‘top model’ colombienne victime d’un avortement

Amada Rosa Pérez déclare :

durant ces moments de grossesse j’aurais tellement aimé trouver l’aide de quelqu’un qui me dise quelque chose de beau et de positif, par exemple que devenir maman n’est pas mal.

Plus de 40 associations espagnoles se rassembleront sous la devise ‘chaque vie compte’ pour organiser une grande manifestation le 22 novembre, en faveur de la vie, de la femme et de la maternité.

ADans ce contexte est retransmis le témoignage de la top model Amada Rosa Pérez, victime d’un avortement et par conséquent du syndrome post avortement. Ce syndrome est une réalité par laquelle passent toutes les femmes ayant avorté, que ce soit de manière délibérée ou spontanée. Parmi les manifestations de ce syndrome se retrouvent le sentiment de culpabilité et de tristesse, le désespoir, un pessimisme cauchemardesque, une perte de concentration et de motivation, des sanglots permanents sans motif apparent, de la perte de forces, des nausées. Cela peut déboucher en anorexie, alcoolisme, refus de tout ce qui suppose engagement, froideur affective, et bien d’autres conséquences encore.

La top model explique qu’elle avorta parce qu’elle ne recevait de son entourage que des mots l’enjoignant à mettre en premier ses objectifs et son avancement professionnel. Elle confesse que cela lui fit peur, qu’elle ne dit rien à ses parents et décida de se séparer de son bébé.

Dans ce contexte l’organisation ‘chaque vie compte’ défendra, en plus de la vie du non né, la protection de la femme enceinte, qui a besoin d’un entourage et d’un appui social, où soit défendu le droit à la maternité avec des mesures concrètes d’aide à la femme enceinte pour l’aider à trouver des alternatives à l’avortement. 

Le Salon Beige

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