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L’état de droit, un déni de démocratie ?

L’état de droit, un déni de démocratie ?

Vu surLeSalonBeige

Voici le texte de l’intervention prononcée mercredi par le député RN Jérôme Rivière dans l’hémicycle du Parlement européen :

Le Parlement européen votait cette semaine en séance plénière un texte voulant condamner les lois de protection de l’enfance votées démocratiquement par le gouvernement hongrois.

Les politiques en matière familiale, sociétale et en matière d’éducation appartiennent au seul domaine discrétionnaire des Nations, comme le stipule d’ailleurs les traités, et même le texte voté à Strasbourg. En essayant de condamner la Hongrie de Victor Orban, l’Union européenne veut condamner le choix souverain de ce peuple, qui a élu et réélu ses représentants, largement, avec des scores qui font évidemment pâlir de jalousie les technocrates des institutions.

Cette condamnation s’inscrit dans un agenda idéologique soi-disant progressiste.

Les députés européens affirment vouloir défendre les droits de l’homme, mais ils veulent surtout soumettre les populations des Nations européennes à un communautarisme agressif, poussés par des lobbys mercantiles, encourageant la destruction de toutes les structures traditionnelles, de tous les murs porteurs ayant fait la civilisation européenne.

Leur logique, partout où elle s’impose, détruit les rapports sociaux et favorise l’exclusion, parce qu’elle se fonde sur des revendications minoritaires, au service du marché, qu’ils ont l’audace de baptiser droits de l’homme.

Oui, la Hongrie a le droit de promouvoir le modèle de la famille traditionnelle. Oui, la Hongrie a le droit de protéger les enfants de sujets qui ne sont pas de leur âge !

N’en déplaise aux progressistes de tout poil, l’état de droit dont ils se gargarisent, ce devrait être avant tout le respect de la liberté du choix des peuples.

Jérôme Rivière dénonce aussi la soumission à des intérêts privés, notamment ceux de l’Open Society de Soros :

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