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Réchauffement climatique : les nouveaux charlatans (2015) 1/3

Un collectif de scientifiques nous a transmis son analyse de la théorie en vogue chez les khmers verts et autres Lyssenko nouveaux : Le réchauffement climatique !!! Désolé pour Nicolas Hulot mais nous n’avons pas pu transférer le texte en format album à colorier..

Depuis plus de trente ans, l’opinion occidentale a été manipulée, pilonnée sans répit, jour après jour, par tous les énormes moyens médiatiques et de pouvoir que permet la technologie moderne, pour la détourner de ce qui a fait naguère sa force : la science en général et les sciences exactes en particulier.

Les radios d’Etat, la presse écrite, les voix ”autorisées”, la pression sur l’enseignement, tout a été mis en œuvre simultanément, sans relâche, jusqu’à l’obsession, jusqu’à la nausée. L’expression publique, qui n’a jamais été aussi sévèrement contrôlée, est accaparée par les ennemis de la science, qui instillent par la méthode du goutte à goutte, dans tous les rouages de la société, le relativisme, le cynisme, le scepticisme intériorisé, la défiance envers tout progrès érigée en système, le repli sur soi et l’abandon de tout sentiment de solidarité humaine dans le face à face avec la Nature.

Un symptôme révélateur est la montée en puissance des astrologues, devins, voyants et voyantes, gourous, marabouts, religieux de toute sorte, cartomanciens-ennes, marchands de thèmes astraux, chamans, magnétiseurs et autres charlatans, sectes variées, contre lesquels toutes les lois existantes sont inactivées de fait depuis des lustres : la presse, en toute impudence, est remplie de leurs annonces publicitaires qui s’étalent au grand jour. Si nous finissons par sortir de cette nuit intellectuelle et morale, les historiens du futur en resteront abasourdis !

Tout se passe comme si le trésor du savoir, de la vraie science et des vrais savoir-faire, sous l’effet d’une implacable volonté occulte, avait été brusquement accaparé au niveau mondial par une élite invisible et muette qui organise la société de manière à le garder pour elle seule et à en priver les masses, exactement comme ces dictatures du XX ème siècle qui interdisaient à certaines classes sociales d’apprendre à lire. L’interdiction brutale et maladroite étant remplacée par le dénigrement universel servi par les larbins qui ne manquent jamais pour ces tâches.

L’un des leviers de cet obscurantisme organisé est le mouvement dit écologiste. Dans nos pays occidentaux, les ”Verts”, au lieu de défendre honnêtement l’environnement, se sont faits le bras armé de cette spoliation des masses.

En effet, la défense de l’environnement est en soi une juste et noble cause ; le simple bon sens consisterait à prendre à bras-le-corps ce problème et à consacrer une part raisonnable et efficace des bénéfices du progrès des sciences à la préservation et la sauvegarde de notre environnement, un peu comme on consacre à l’entretien d’une machine une part des bénéfices qu’elle procure. Le progrès bien compris commande cette préservation et cette sauvegarde, nul besoin de ”nouvelle philosophie” ni de ”changer la vie” pour de pareilles évidences !

Mieux : le saccage et la destruction de l’environnement, loin d’être engendrés par la science, sont des conséquences lamentables de l’ignorance publique, de la pauvreté et de l’abaissement intellectuel et moral des masses.

Songeons à ce que pouvait être l’environnement au début du XIX ème siècle, non pas dans les bucoliques ou romantiques tableaux de Nicolas Poussin ou de David, mais dans la vie quotidienne : par exemple l’environnement d’un hôpital civil, quand des pauvres hères d’employés faméliques allaient vider en pleine nature, n’importe où, des charrettes entières de détritus et immondices hospitaliers infects; ou bien, quand les latrines publiques n’existaient pas encore et que la population des bas quartiers déféquait et copulait n’importe ou` presque en même temps et aux mêmes endroits (il en allait ainsi jusque dans les jardins du Palais de Versailles !). Quand les ordures ménagères, autrement polluantes que de nos jours, au lieu d’être ramassées, servaient de répugnante bectance aux animaux domestiques qui circulaient partout, même dans les RDC des maisons... animaux qui étaient ensuite consommés sur place sans aucune hygiène... quand les bourgeois se faisaient apporter l’eau ”potable” tirée de la Seine et vidaient leurs pots de chambre depuis leurs fenêtres en pleine rue... quand dans les campagnes, le lot commun était la vie de toute une famille entassée dans une unique pièce chauffée à la cheminée fumante, avec juste quelques rideaux noircis pour isoler le lit conjugal... sans salle de bains, sans eau potable, directement des sabots à peine ôtés jusque dans les draps... quand le linge était lavé à la main et au battoir, à genoux, dans l’eau glacée de quelque cours d’eau... quand la peste, la variole, la typhoïde, la tuberculose, les famines récurrentes et plus tard la syphilis étaient la rançon obligée de ces pitoyables conditions de vie... quand la forêt disparaissait inexorablement pour chauffer les foyers et alimenter les forges (deux fois moins de forêts en France sous Bonaparte qu’en 2000).

Eh bien, toutes ces évidences ont été confisquées par une nouvelle espèce de religion au comportement de secte, avec sa grille de lecture codifiée, ses rites, ses textes sacrés, son idéologie obligatoire, ses excommunications, ses fatwas, son intolérance, ses prêtres, ses prélats, ses papes : la religion écologiste. La vulgate de cette religion est très simple : la science est mauvaise en soi, d’essence diabolique. Elle est responsable des malheurs de l’humanité qui ont tant frappé les esprits au XXème siècle, notamment les deux guerres mondiales. Elle est responsable de la destruction de l’environnement, son effet final est que les humains rongent notre planète comme un cancer. Elle a engendré le mal absolu : l’arme atomique. Il faut arrêter de toute urgence le développement scientifique, sinon notre environnement sera bientôt détruit comme il est montré dans Soleil Vert ou dans les films de Schwartzenegger. Il faut revenir aux énergies douces” et trouver un ”autre” ”mode de développement”, le développement durable, qui sera fondé sur l’exploitation d’énergies renouvelables. Il faut arrêter de toute urgence toute recherche et toute industrie liées à la physique atomique, car cette dernière est d’essence satanique, elle est une manifestation du mal absolu. Il faut en finir avec la rationalité, ”respecter” les croyances et superstitions de tout un chacun, car toutes les vérités se valent, il n’y a pas de vérités universelles, tout est ramené à l’humain conçu à la seule échelle individuelle, de la naissance à la mort.

Bien sûr, cette vulgate ne peut agir que sur une population ignorante, à l’esprit critique anesthésié, la plus déscientisée possible, la plus passive possible, donc la plus divisée et la plus individualisée possible. L’intériorisation de toutes les frustrations étant la meilleure garantie du pouvoir des ”sachants”, i.e. de ceux qui ont accès au savoir scientifique.

C’est ainsi que la secte écologiste a investi nos sociétés et s’est imposée au plus haut niveau dans nombre d’états occidentaux, de façon à influer lourdement sur leurs politiques économiques et sociales. Après quelques balbutiements de départ, elle a trouvé un fabuleux thème porteur avec les prétendus changements climatiques et l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère. Il faut savoir qu’il n’y a presque pas de vrais savants, au sens noble du terme, parmi les innombrables coteries qui nous martèlent inlassablement ce thème, apeurant les foules avec l’histoire du cataclysme climatique qui, paraît-il, menacerait l’humanité (voir des précisions dans http://www.pensee-unique.fr/).

LES VARIATIONS CLIMATIQUES

Le climat n’est pas stable. Il subit depuis la nuit des temps des variations lourdes plus ou moins cycliques. Des travaux authentiquement scientifiques ont permis de reconstituer à grands traits le climat depuis quelques centaines de milliers d’années en arrière jusqu’aujourd’hui. On distingue des variations majeures à l’échelle préhistorique, avec des périodes approximatives qui se comptent en milliers ou dizaines de milliers d’années, et des variations mineures à l’échelle historique, avec des périodes approximatives qui se comptent en siècles.

Le climat terrestre est un moteur thermique complexe dont le carburant principal est l’énergie reçue de la Terre par le rayonnement solaire (il existe une énergie endogène à la Terre, produite par la chaleur interne du globe terrestre, mais elle est secondaire au regard de l’énergie reçue du soleil).

Le mécanisme de ce moteur peut être schématisé comme suit :

1) les grands courants de convection marins : celui de l’Atlantique Nord, dont le principal est non pas le Gulf Stream, mais le courant géant de convection allant en profondeur de l’équateur vers le pôle nord et en surface, en retour, des régions arctiques vers les tropiques), et ceux du Pacifique Sud.

2) les grands courants atmosphériques produits par la rotation propre de la Terre : alizés des régions tropicales (de sud-est en nord-ouest au nord de l’équateur et de nord-est en sud- ouest au sud de l’équateur), alternance de cyclones et d’anticyclones dans les hémisphères tempérés nord et sud (se déplaçant tous d’ouest en est), vents tournant autour des pôles au bas des vortex polaires (soufflant d’est en ouest).

3) le courant atmosphérique particulier de l’Océan Indien, allant de Madagascar vers l’Asie du sud et du sud-est chaque année de mai à octobre, et qui produit les moussons.

4) le courant atmosphérique local provoqué au large du Chili par les anomalies de températures océaniques ”El Niño”, sur le Pacifique au large du Pérou, dont les fluctuations agissent jusque sur le climat d’Europe, et même sur l’intensité des moussons.

5) Les vortex polaires, tourbillons perpétuels géants qui stagnent au-dessus des deux pôles, couvrant en projection horizontale, centrées sur chaque pôle, deux étendues de plusieurs millions de km2 chacune. Ces vortex, si on les colorait, ressembleraient à des bouteilles de gaz butane la tête en bas et dont la base monte en haute stratosphère. Ils ont une importante influence sur la température des zones polaires (i.e. intérieures aux cercles polaires), car leur température est très basse, bien au-dessous de zéro.

À suivre

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