Pieter Kerstens
Il n’est un secret pour personne de dire que depuis des siècles, la désinformation, la propagande et le mensonge sont abondamment utilisés pour diriger les peuples.
Et ce qui est affligeant, c’est de constater que la grande majorité des journalistes et des analystes politiques ou économiques acceptent d’être les complices de pouvoirs qui usent de procédés malsains pour manipuler des citoyens naïfs ou crédules.
Ainsi en est-il de la multitude d’informations que nous avons reçu ces derniers temps et concernant la pandémie du Coronavirus-19, découvert en Chine dès novembre 2019.
Bien plus tôt, le 11 septembre 2000, des vidéos, des images, des comptes-rendus, des conférences de presse et des éditoriaux à propos des attaques contre les tours du WTC à New York ont désigné Al-Qaïda et Oussama Ben Laden comme étant les concepteurs et les auteurs de ces attentats terroristes.
Et durant cet été les médias et les « experts » du climat ont tous attribué les inondations catastrophiques, les incendies dévastateurs ou la montée des océans au réchauffement climatique, seule conséquence de l’activité humaine et de sa pollution atmosphérique.
Le Covid-19 est-il vraiment plus mortel que la grippe ?
Début 2020, en France le gouvernement affirmait haut et fort qu’il n’était pas nécessaire de porter un masque, à l’image des pays asiatiques, et que l’épidémie n’atteindrait pas l’Europe. Pas question non plus de mettre en branle une campagne de dépistage systématique des gens contaminés, ni de les placer en quarantaine. Plus tard, le docteur Micron et son équipe de branquignoles déclarait que « nous sommes en guerre » et que tout le monde était assigné à résidence avec interdiction de circuler librement hors de son domicile, sauf à signer soi-même une « attestation » pour aller acheter son pain !
Les économies et une grande partie de l’activité industrielle étaient mises à genoux et depuis, les effets néfastes se sont fait sentir, malgré l’obligation d’un « passe sanitaire » imposé dans certains lieux, mais non dans les endroits clos où les gens sont serrés comme des sardines, dans le métro, les bus ou les trams…
De plus, des dizaines de millions d’Européens ont été vaccinés mais avec des substances qui, selon les déclarations des chefs d’Etats et de l’OMS, n’excluent pas la contamination, ni la propagation ou l’immunisation contre cette maladie. La finalité d’un vaccin n’est-elle pas d’immuniser les êtres vivants (hommes et animaux) contre une épidémie, comme la tuberculose, la variole, le choléra ou la fièvre jaune ? On peut donc être sceptique à propos de la réelle protection de ces « thérapies géniques » innovantes mais non concluantes pour se protéger du Covid-19.
La propagande quotidienne dont nous submerge les médias a surtout plongé les Européens dans une atmosphère de frousse bleue et instauré un climat de suspicion entre les citoyens vaccinés ou non.
Quant à la mortalité effective attribuée à ce virus, les statistiques démontrent qu’elle n’est pas plus importante que pour une grippe « asiatique » ou de « Hong-Kong » !
Attentats des WTC 1 et 2. Mais comment le WTC 7 s’est-il effondré ?
Maintenant nous avons droit à des séances de recueillement, de pleurs et de lamentations pour le XXe anniversaire de cette tragédie.
Selon la nouvelle administration américaine et les souhaits de Joe Biden, de nombreux documents et déclarations de responsables de la NSA pourraient être rendus publics et déclassifiés « secrets d’Etat » par la CIA prochainement.
Ainsi, on aura sans doute l’explication sur l’effondrement de la tour WTC 7, située à 500 mètres des WTC 1 et 2, édifice qui n’a jamais été percuté par un avion.
De plus, on aurait peut-être aussi des détails sur l’explosion du Pentagone à Washington, car pour ma part, je n’ai jamais vu trace d’un moindre fauteuil d’avion, ni de fragments de fuselage ou de train d’atterrissage d’un aéronef, comme absents de toutes les vidéos ou photos publiées à l’époque.
Sans rejoindre la thèse d’un complot, on se pose quand même certaines interrogations sur ces attentats que G.W Bush avait attribués aux terroristes d’Al Qaïda et à leur chef Oussama Ben Laden, cachés dans leurs grottes de Tora Bora en Afghanistan, sans satellites, sans logistique, ni Intelligence Artificielle.
En représailles et sans résolution de l’ONU, les Etats-Unis commencent les bombardements de l’Afghanistan en octobre 2001, rejoints par les alliés de l’OTAN.
Notre devoir de mémoire nous dicte, contrairement à ce qui se raconte aujourd’hui, que les USA agissent en toute impunité en Afghanistan depuis 42 ans et non 20 ans. C’est Jimmy Carter qui signe le 3 juillet 1979 la 1ère directive, pour aider les moudjahidine islamistes qui s’opposent au président afghan Taraki et son successeur Amin depuis le 27 avril 1978, date à laquelle le Parti Démocratique Populaire d’Afghanistan arrive au pouvoir.
Le régime communiste afghan appelle l’URSS à l’aide et le 25 décembre 1979 l’armée communiste envoie 55.000 hommes pour l’opération Chtorm-333. Au printemps 1980 les effectifs soviétiques passent à 100.000 soldats, puis 120.000 sont engagés en 1983 et 150.000 fin 1985.
Il est à noter que de 1984 à 1989, les soviétiques ont adopté la stratégie de contre-guérilla, avec de nombreux succès. Mais en 1986, les moudjahidine reçoivent des missiles américains sol-air FIM 92 Stringer, ce qui fait perdre aux Russes la maîtrise du ciel et bouleverse l’équilibre des forces. Les soviétiques doivent changer de stratégie et en février 1988 Gorbatchev décide du retrait des troupes, qui sera effectif le 15 février 1989.
La guerre civile fait suite à la lutte contre l’URSS, entre 7 mouvements de résistance afghane d’obédience sunnite et 2 autres de résistance chiite.
Rappelons-nous que ce sont aussi les USA, avec les intermédiaires de l’Arabie Saoudite et du Pakistan qui ont armé, entrainé et financé Ben Laden dès 1979 et que celui-ci en recrutant des centaines de djihadistes étrangers a instauré sa « guerre sainte » personnelle contre les soviétiques, en s’alliant avec les moudjahidine. La créature Oussama a par la suite échappé à son créateur Frankenstein/USA dès 1990 et explique en partie que les Américains ont fait recruter dans les madrasas pakistanaises -via les services secrets- des étudiants religieux devenus « taliban » salafistes, pour s’opposer à la puissance des mouvements afghans « historiques ».
Grâce aux multiples aides étrangères, ces « taliban » ont pris le pouvoir à Kaboul en 1996 avec le mollah Omar pour imposer un islamisme radical jusqu’à la fin de 2001. C’est en décembre 2001 que le président fantoche Hamid Karzaï va diriger le pays jusqu’en septembre 2014, période de troubles graves, de présence militaire de l’Otan et d’insurrections armées dans la plupart des provinces du
pays, pour aboutir ce 15 août 2021 à la défaite des Etats-Unis qui ont légué - dans leurs bases abandonnées en catastrophe - des montagnes de matériels militaires allant des avions de chasse au simple pistolet et des missiles sol-air aux millions de munitions en tous genres sans oublier les drones et les systèmes de surveillance…LAMENTABLE !
En tous les cas, aucun Européen n’est responsable des conneries américaines, et il n’est pas question d’accorder le moindre asile ou encore d’envoyer le moindre euro pour venir en aide à l’Afghanistan.
Nos paysans avant les Afghans !
Le réchauffement climatique va tous nous carboniser !
A écouter les « spécialistes » et à lire les rapports des « experts » ou des chroniqueurs de la presse audiovisuelle, la température de la terre pourrait augmenter de 3% ces 30 prochaines années. Et alors ? Depuis des millénaires, la terre a subi de nombreuses périodes de réchauffement et aussi plusieurs périodes glaciaires, changements climatiques que nos ancêtres néandertaliens qui peuplaient l’Europe ont connu 30.000 ans avant Jésus-Christ.
Dame Nature n’a que faire des jérémiades et des piailleries des socialauds-écolos-gauchistes qui monopolisent les médias occidentaux par leurs mensonges permanents.
Nous n’avons aucune leçon à recevoir de Greta Thunberg -affreux troll scandinave- qui ignore tout de l’évolution et des changements climatiques de notre Planète ces 20 derniers siècles, en rendant les humains coupables et responsables des pollutions, des inondations, des incendies ou peut-être aussi des éruptions volcaniques et des tremblements de terre ?
Nous devons faire preuve de réalisme, ne pas confondre météo et climat, savoir que l’Histoire ne commence pas en 1945 en Europe, que nos ancêtres (Gaulois et Celtes) n’étaient pas les seuls dans le monde, que d’autres civilisations existaient et ont disparu, que nous ne sommes pas immortels et qu’il est indispensable de combattre les ukases de la mafia écologiste.
Il est bon de rappeler qu’au Moyen-Age, selon les archives de la ville de Chamonix, les glaciers d’altitude avaient disparu et étaient remplacés par des pâturages où les éleveurs envoyaient leurs troupeaux.
Plus tard, au XVIIe siècle, on se gelait dans les palais de Louis XIV et dans nos campagnes.
Quant aux incendies qui ont ravagé plusieurs pays ces dernières semaines, ils seraient les plus importants connus à ce jour.
FAUX ! Totalement faux : en 1915, 14 millions d’hectares avaient brûlé en Sibérie.
En juillet 1916, ce sont 1,3 million d’hectares détruits en Ontario au Canada. Et le 19 août 1949, 82 personnes avaient trouvé la mort lors des incendies de 140.000 hectares dans les Landes. En 1988, ce sont 300.000 hectares qui brûlent dans le parc de Yellowstone aux Etats-Unis. En novembre 1997,
5 millions d’hectares partent en fumée en Indonésie ; 570.000 hectares près de Sydney en Australie en février 2001. En août 2007, les incendies dans le Péloponnèse détruisent 280.000 hectares et en août 2019, 6 millions d’hectares brûlent dans l’Est australien.
Ces destructions sont essentiellement la conséquence de la sécheresse et d’orages secs et non pas des activités humaines, comme on essaye de nous le faire croire.