Légende photo : Agnė Bilotaitė, la ministre lituanienne de l’Intérieur, dit "stop" à l'invasion migratoire et aux délires des juges de la Cour de Justice de l’Union européenne.
Un physique de Viking, un discours de combattante, Agnė Bilotaitė, la ministre lituanienne de l’Intérieur, indique ce jour que "son pays ne laissera pas entrer un seul migrant".
Pour préserver la population nordique de ce petit pays balte. Dans ce combat de civilisation engagé depuis plusieurs années par son pays, elle réaffirme ce 13 juillet 2022 "Que la Lituanie ignorera les injonctions de l’UE et continuera à refouler tous les migrants, à leur refuser l’asile, ainsi qu’à les détenir s’ils franchissent la frontière....". Le discours est clair, net, précis, car Agnė Bilotaitė, à la différence de ses homologues des autres pays européens, entend gagner la bataille contre l'invasion migratoire.
Son intervention musclée fait suite à un nouveau dérapage de l'union européenne, et à une décision de la Cour de Justice de l’Union européenne qui vient de condamner la Lituanie. La juridiction "fustige" la législation de la Lituanie et conclu "que la loi lituanienne, qui permet de refuser à une personne demandant une protection internationale le droit d’asile et de la placer en détention automatique au seul motif qu’elle a franchi illégalement la frontière, n’est pas compatible avec la législation de l’UE".
Par la voix de sa ministre de l'intérieur Agnė Bilotaitė le gouvernement lituanien insiste sur le fait que la Lituanie ne changera pas sa politique d’immigration malgré les divergences avec le droit européen.
"La Lituanie doit se défendre et ne reviendra pas sur ses politiques concernant les migrants et les demandeurs d’asile" ajoute la ministre de l’Intérieur du pays Agnė Bilotaitė, à la suite du dernier arrêt rendu de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), considéré comme une provocation par Vilnius.
Agnė Bilotaitė est ferme et catégorique : “La Lituanie a pris toutes les décisions et mesures importantes pour protéger sa sécurité nationale et la frontière extérieure de l’Union européenne, et à l’heure actuelle, nous ne voyons pas la situation changer de manière significative au point de pouvoir revenir sur nos décisions. La Lituanie se défendra certainement si de telles menaces persistent”.
La Lituanie a connu une crise migratoire l’été dernier lorsque plusieurs milliers de migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et d’Afrique, ont traversé illégalement le pays depuis la Biélorussie.
Un peuple nordique avide de liberté, soucieux de préserver sa culture et son identité
Peu d'européens se souviennent que la Lituanie, annexée par l'URSS en 1940, fut la première république soviétique à déclarer son indépendance, le 11 mars 19906, deux années avant la disparition de l'URSS. Le 20 avril 1990, les Soviétiques ont imposé en représailles un blocus économique en cessant de livrer des matières premières (principalement du pétrole) à la Lituanie.
Progressivement, les relations économiques ont ensuite été rétablies. Cependant, les relations se sont dégradées à nouveau en janvier 1991. Des tentatives de coup d'État sont menées par les forces armées soviétiques, et le KGB. Le pouvoir russe pensait que la situation économique dégradée du pays constituait un contexte favorable au succès de ces tentatives et qu'elles obtiendrait un réel soutien populaire.
Des habitants issus de toute la Lituanie ont alors afflué vers Vilnius pour défendre le Conseil suprême de la République de Lituanie et l'indépendance.
Autant dire qu'un peuple, qui s'est opposé à la puissante armée rouge et au KGB, n'a pas l'intention de se laisser "emmerder" par quelques milliers de migrants et une poignée de juges européens à la solde du grand remplacement. Agnė Bilotaitė est là pour le rappeller à une europe décadente et suicidaire.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
Par la voix de sa ministre de l'intérieur Agnė Bilotaitė le gouvernement lituanien insiste sur le fait que la Lituanie ne changera pas sa politique d’immigration malgré les divergences avec le droit européen.
"La Lituanie doit se défendre et ne reviendra pas sur ses politiques concernant les migrants et les demandeurs d’asile" ajoute la ministre de l’Intérieur du pays Agnė Bilotaitė, à la suite du dernier arrêt rendu de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), considéré comme une provocation par Vilnius.
Agnė Bilotaitė est ferme et catégorique : “La Lituanie a pris toutes les décisions et mesures importantes pour protéger sa sécurité nationale et la frontière extérieure de l’Union européenne, et à l’heure actuelle, nous ne voyons pas la situation changer de manière significative au point de pouvoir revenir sur nos décisions. La Lituanie se défendra certainement si de telles menaces persistent”.
La Lituanie a connu une crise migratoire l’été dernier lorsque plusieurs milliers de migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et d’Afrique, ont traversé illégalement le pays depuis la Biélorussie.
Un peuple nordique avide de liberté, soucieux de préserver sa culture et son identité
Peu d'européens se souviennent que la Lituanie, annexée par l'URSS en 1940, fut la première république soviétique à déclarer son indépendance, le 11 mars 19906, deux années avant la disparition de l'URSS. Le 20 avril 1990, les Soviétiques ont imposé en représailles un blocus économique en cessant de livrer des matières premières (principalement du pétrole) à la Lituanie.
Progressivement, les relations économiques ont ensuite été rétablies. Cependant, les relations se sont dégradées à nouveau en janvier 1991. Des tentatives de coup d'État sont menées par les forces armées soviétiques, et le KGB. Le pouvoir russe pensait que la situation économique dégradée du pays constituait un contexte favorable au succès de ces tentatives et qu'elles obtiendrait un réel soutien populaire.
Des habitants issus de toute la Lituanie ont alors afflué vers Vilnius pour défendre le Conseil suprême de la République de Lituanie et l'indépendance.
Autant dire qu'un peuple, qui s'est opposé à la puissante armée rouge et au KGB, n'a pas l'intention de se laisser "emmerder" par quelques milliers de migrants et une poignée de juges européens à la solde du grand remplacement. Agnė Bilotaitė est là pour le rappeller à une europe décadente et suicidaire.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411