Cet ouvrage est, sous l’apparence d’un roman d’anticipation, le premier tome d’une impressionnante étude des mécanismes conduisant à un nouvel ordre mondial.
L’auteur montre comment un cartel occulte s’emploie à pervertir la société en ne laissant rien au hasard. En usant de leur réseau d’influence et de corruption, en incitant à la recherche avide de l’argent roi, les membres de lobbies malveillants ont monté les gens les uns contre les autres. Leurs sociétés secrètes ont fomenté les plans de plusieurs révolutions, des guerres, la dégradation des écosystèmes, la ruine sociale, la destruction des valeurs sociétales.
Mais en même temps, les gouvernants élaborent, pour notre bien, disent-ils, de nouvelles lois « protectrices » (qui nécessitent de restreindre nos libertés), et réclament un gouvernement mondial qu’ils affirment indispensable pour régler les problèmes les plus urgents.
Quelle est la véritable gouvernance mondiale ? Quel est le rapport insoupçonné entre les sociétés secrètes, l’élite des nations, la haute finance et les guerres ? De quelles façons préparent-ils mentalement les peuples, les gouvernements nationaux, les religions, à l’instauration de ce nouvel ordre mondial ? Comment l’actuel système monétaire a-t-il été élaboré pour servir le projet mondialiste ? Comment les banques transfèrent-elles les dettes privées en dettes publiques ? Comment les Etats ont-ils été privés des moyens indispensables à leur souveraineté ? Comment les cercles mondialistes envisagent-ils le processus vers la monnaie mondiale unique ?
L’auteur dévoile le rôle des principaux instruments financiers de la domination mondialiste (FMI, Banque Mondiale, OMC, OCDE, FED, Fondation Bertelsmann,…) et de leurs équivalents politiques (Bilderberg, CFR, Trilatérale, ONU, OTAN, OMS,…).
Cet ouvrage très documenté est une lecture à conseiller à toute personne désireuse de comprendre les événements que nous vivons.
L’Emprise du Mondialisme, Crise économique majeure, origine et aboutissement, Christian Rouas, éditions Omnia Veritas, 533 pages, 25 euros
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