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RENNES. LOI IMMIGRATION : UNE FOIS DE PLUS, LES GAUCHISTES ONT TOUT CASSÉ… [VIDÉO]

Une fois de plus, Rennes a renoué avec sa vieille tradition consistant à voir l’extrême gauche locale s’adonner à une « manifestation sauvage » dans le centre-ville. Au détriment des commerçants, des habitants… et des contribuables.

Cette déambulation de groupes violents dans les rues rennaises est monnaie courante depuis de nombreuses années. À tel point qu’il devient difficile de recenser l’ensemble de ces « manifs sauvages », le dernier épisode en date remontant à la contestation du printemps 2023 face à la réforme des retraites.

À l’époque, nous relevions déjà que les groupes « antifas » composés de quelques centaines de radicaux s’étaient attaqué à des commerces, à des voitures ou encore à des hôtels sans jamais être réellement inquiétés par les forces de l’ordre.

Suite à ce rappel, il apparaissait donc comme évident que de nouvelles violences auraient lieu à Rennes suite à l’adoption du projet de loi immigration, bien que cette dernière ait été largement censurée par le Conseil constitutionnel le 25 janvier.

Mais la suppression de nombreuses mesures de fermeté vis-à-vis d’une immigration désormais majoritairement critiquée par les Français n’a pas suffi à calmer l’extrême gauche rennaise.

À Rennes, les « antifas » de nouveau à l’œuvre

C’est ainsi que ce même jeudi 25 janvier au soir, la mouvance autoproclamée « antifasciste » de Rennes avait appelé à un rassemblement dans le centre-ville à partir de 20 h. Appel auquel ont répondu environ 500 individus, le cortège s’élançant de la place Sainte-Anne, lieu faisant partie du « panthéon antifa » breton…

Comme à l’accoutumée, les quelques centaines de nervis d’extrême gauche étaient en grande majorité vêtus de noir et le visage dissimulé, voire encagoulés. Avec en tête de cortège une banderole « Loi raciste, riposte antifasciste ».

Aussi, faut-il vraiment s’étonner lorsqu’à peine quelques temps plus tard, la manifestation non déclarée a occasionné sur son passage la casse de plusieurs vitrines du centre-ville rennais. Et ce, malgré la présence des forces de l’ordre !

L’extrême gauche s’en prend à la voiture d’un handicapé

Rue Châteaurenault, ces partisans du laxisme en matière d’immigration ont même commencé à ériger des barricades. Place du Parlement de Bretagne, ce sont cette fois plusieurs conteneurs à ordures qui ont été brûlés tandis qu’un magasin de vêtements situé rue d’Antrain a vu ses vitrines cassées avant que les « antifascistes » ne se livrent à un pillage en règle de la boutique.
 
À l’instar des épisodes de violence précédents, le maire socialiste de Rennes Nathalie Appéré y est allé de sa complainte sur le réseau social X, faisant part de sa « tristesse » et de son « incompréhension ». L’édile avait tenu des propos similaires suite aux « manifestations sauvages » passées, sans toutefois que ces paroles ne soient suivies d’actes.
 
Si ce n’est la récente mise en place d’une « Brigade anti-incivilités » dont on perçoit assez mal l’utilité face à pareilles scènes d’émeutes…

Par ailleurs, les individus violents d’extrême-gauche ont également renversé des voitures jeudi soir et ont même saccagé plusieurs distributeurs de billets. Sans compter le grand nombre de tags peints ici et là sur les murs de Rennes. À noter que l’un des véhicules retournés et délabrés appartenait à une personne handicapée.

Crédit photo : capture YouTube (photo d’illustration)
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