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La Révolution bolchévique – XXIIème partie

Tout ce que nous avons lu nous fait penser à l’absurdité et à un monde d’êtres extraterrestres: dans cette Russie ténébreuse créée par des banquiers et fils de satan, les Tsars Romanov qui avaient toujours régné en tenant compte du facteur humain deviennent très précieux, disons clairement et ce ne sera jamais assez; ils avaient gouverné d’une manière exemplaire contrairement à beaucoup d’autres rois et présidents qui ont été loués par l’histoire parce qu’ils avaient immédiatement vendu leurs banque centrales …

Dans le livre de Cherep Spiridovitch nous trouvons une description honnête des Romanov, ses écrits ont révélé tant de vérités sur les intrigues louches et dangereuses des «fils de Satan» pour gouverner le monde.

Cependant, la diffamation des satanistes est très forte, leur campagne médiatique brutale domine encore et décrit les Tsars russes comme oppresseurs, incapables et assoiffés de pouvoir, tandis que la bonté des Romanov, leur humilité et leurs efforts pour le bien-être social sont des caractéristiques très peu connues.

La Russie était une Terre bénie de Dieu, et les Romanov étaient uniques et précieux, choisis et inspirés par notre Seigneur, cette Terre, qui appartenait à Dieu, donnait un énorme désagrément aux satanistes, qui détruisirent son identité et les “Fair Angels”: les Romanov, en détruisant leur travail et leur réputation … pour toujours … non, pas pour toujours, les fils de Satan ne savent pas que le Bien sortira victorieux de cette terrible lutte.

Cherep-Spiridovich
Cherep-Spiridovich

Cherep Spiridovich écrit ainsi à propos d’Alexandre II et de l’éducation que son père, Nicolas Ier, avait choisie pour lui:

”The famous poet Jukovsky wrote a recommendation to the Czar on how to educate his son Alexander:

-Respect the law. Live and promote culture. Respect public opinion. Love liberty and justice. Rule by order, not by might. Be true to thy word.

Respect thy people. Love thy people. Have faith in virtue. That faith is the faith in God.

–  This so pleased the Czar, that Jukovsky was appointed tutor of the Grand Duke. Alexander studied various trades and crafts, visited factories and workshops. He built a cottage with bricks which he laid himself, and made all the furniture for it. He was taught the use of pencil and brush and studied music.

The Czar became interested in the fate of the Jews. He opened schools for them and opened for them the doors of the universities and exempted them from paying the taxes, encouraged them to occupy themselves with the agriculture, manual working art and sciences. He appointed to the very honorific posts those of them who knew the Russian, Polish or German languages.

(P. Mignot, “Le Probleme Juif ” p. 50)

 Alexander II tried to grant to the Jews all the concessions. Every Jew, who was working on the agriculture  or served in the army or achieved some school received all the rights of the best citizens of the Empire.

But the Jews joined all the conspiracies and tried joining the anarchists to undermine the bases of the State. Their plot, the assassination of the Czar liberator, has produced a violent wave of anti-semitism.”

(P. Mignot, ” Le Probleme Juif ” p. 51)

 Le célèbre poète Jukovsky a écrit une recommandation au Tsar sur la façon d’éduquer son fils Alexandre:

Respecter la loi. Vivre et promouvoir la culture. Respecter l’opinion publique. Aimer la liberté et la justice. Règle par ordre, pas par puissance. Sois fidèle à ta parole. Respecte ton peuple. Aime ton peuple. Aies foi en la vertu. Cette foi est la foi en Dieu.

Cela a tellement plu au tsar, que Jukovsky a été nommé précepteur du Grand-Duc. Alexandre a étudié divers métiers et l’artisanat, a visité des usines et des ateliers. Il a construit un cottage avec des briques qu’il a posé lui-même, et a fait tout le mobilier pour lui. Il a appris l’utilisation du crayon et du pinceau et étudié la musique.

Le Tsar s’intéressa au sort des Juifs. Il a ouvert des écoles pour eux et leur ouvrit les portes des universités et les exempta de payer les impôts, les encouragea à s’occuper de l’agriculture, des arts manuels et des sciences. Il nomma aux postes très honorifiques ceux d’entre eux qui connaissaient les langues russe, polonaise ou allemande.

(P. Mignot,”Le Probleme Juif” p. 50)

 Alexandre II essaya d’accorder aux Juifs toutes les concessions. Chaque Juif, qui travaillait dans l’agriculture, servait dans l’armée ou avait fait des études, a reçu tous les droits des meilleurs citoyens de l’Empire.

Mais les Juifs se joignirent à toutes les conspirations et essayèrent de se joindre aux anarchistes pour saper les bases de l’Etat. Leur complot, l’assassinat du libérateur Tsar, a produit une violente vague d’antisémitisme.”

(P. Mignot,” Le Probleme Juif ” p. 51)

***

On ne peut pas ne pas penser que Alexandre II était un homme qui gouvernait humainement, tandis que les dirigeants bolcheviques, manoeuvrés par les serviteurs du Mal, détruisaient l’identité des personnes: Landowsky, Rakovsky et des millions d’autres êtres humains.

La grandeur de la Russie, la Terre de la bonne gouvernance, un Pays où la spiritualité profonde a toujours donné dignité, intelligence et une identité précise au peuple russe et à ses dirigeants, cette grandeur émerge dans un document lié à une conférence de Alain Besançon, qui a eu lieu le 30 mai 2005 à l’Académie des Sciences Morales et Politiques à Paris, nous citons quelques paragraphes:

“Le régime tsariste dans la tradition pétrovienne, est modernisateur et ‘développeur’, par les voies ordinaires de la bureaucratie rationnelle. Mais en même temps qu’il pousse la Russie vers l’Europe, l’Etat met l’accent sur la différence radicale entre la Russie et l’Europe, qui est devenue depuis la révolution française, la source de toutes les infections. Dans son célèbre rapport au Tsar, Ouvarov, un homme cultivé, athée, et qui parle mieux le français que le russe, écrit en 1832:*

En présence de la décadence religieuse et civile de l’Europe (…) Il faut découvrir des principes appartenant à la Russie, des principes formant ses caractéristiques particulières, recueillir les restes sacrés de sa nationalité et en faire l’ancre de notre salut (…) Un Russe dévoué à sa patrie ne consentira jamais à l’abandon d’un seul dogme de notre orthodoxie, ni à la perte d’une seule perle du diadème du Monomaque. L’autocratie est la condition primordiale de l’existence politique de la Russie et le géant russe s’y appuie comme sur la pierre angulaire de sa grandeur.- En dehors de ces deux principes nationaux, il y en a un troisième non moins important: celui du NarodnostNarodnost c’est le Volsgeist des allemands, l’esprit national, la Russité. Des historiens comme Pogodin empruntaient à Guizot son schéma de l’histoire de l’Europe, mais le présentaient comme une succession de désastres et de tragédies. En face de ces horreurs, courait le fleuve pacifique et patriarcal de l’histoire russe. Dans le même temps où la Russie s’efforçait de rattraper l’Occident, le passé russe était présenté comme l’avenir de l’Europe.”

Le mot «autocratie» ne doit pas être interprété avec la mentalité occidentale, mais avec la mentalité orthodoxe et le cœur orthodoxe. Dans le contexte russe ce mot n’indique pas une forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est détenu par une seule personne, mais une forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est confié à notre Seigneur, le Tsar n’est que son humble représentant sur cette terre. Ces caractéristiques russes particulières étaient très bien connues par les représentants de satan, qui déclenchèrent la révolution, les Tsars et leur bon gouvernement devaient être éliminés parce qu’ils étaient trop attachés à ce Dieu qu’ils ont toujours détesté et qu’ils détesteront toujours. Le bon gouvernement tsariste devait être présenté au monde comme un mauvais gouvernement, les satanistes suscitèrent et suscitent encore la méfiance  et l’incompréhension contre la Russie, tous les peuples auraient dû la haïr …

Alain Besançon a la capacité de comprendre partiellement l’identité de la Russie, mais ses racines ne sont pas russes, son coeur n’est pas russe comme celui de Cherep Spiridovitch; donc si on lit le documet lié à la conférence en entier, on trouvera des contradictions et des incohérences, mais l’auteur, peut-être même inconsciemment, sans le vouloir vraiment, nous révèle la pureté de la Russie en contraste avec la décadence européenne.

Souvenons-nous que Alain Besançon, historien français et membre du parti communiste français de 1951 à 1956, fut choqué en apprenant les crimes commis par Staline, dénoncés par Nikita Khrouchtchev. Ayant vu la face grotesque de la révolution russe, Besançon décida d’analyser avec beaucoup d’application l’histoire de la Russie et de l’URSS pour comprendre ce qui s’est réellement passé.

Il déclara lui-même: “Tout ce temps que j’ai passé sur l’histoire russe et le communisme soviétique, à l’étudier et à l’analyser, j’espère qu’il me sera compté à pénitence.”

Des paroles très fortes. Besançon retourna au catholicisme. La tradition théologique soutiendra sa recherche historique et sa réflexion philosophique.

Nous voulons croire que Besançon ait compris à quel point la Russie était spéciale et précieuse avant la révolution qui l’a bouleversée, et qu’il ait compris surtout l’originalité et l’intelligence ingénieuse du gouvernement Romanov.

Nous pourrions comparer la précieuse Russie avec sa spiritualité profonde au Tibet. Le Tibet aussi a son identité dans la spiritualité, mais après le règne et le premier empire tibétain avec la dynastie Yarlung ( N. A. R. le sources fiables  remontent à 579 apr J.C, quand Tagbu Nyasig régnait ), de nombreuses invasions jusqu’au “longa manus” de l’Occident au dix-huitième siècle, exactement comme cela s’est  passé en Russie …

***

Et si ce que nous avons écrit sur Nicolas II n’est toujours pas suffisant pour convaincre ceux qui veulent croire aux nombreuses calomnies des médias journalistiques et télévisuels, nous rapportons également ce qui a été dit en juin 2008 par l’archevêque Vikentij d’Ekaterinbourg et Verkhoturje, extrait du site ” Ekaterinburskaja Initiativa “.

Votre Eminence, que pouvez-vous dire de Nicolas II en tant que politicien chrétien?

L’empereur Nicolas II était un modèle pour les politiciens de son temps, et, à mon avis, peut servir de modèle pour les politiciens contemporains. Il avait le désir d’influencer le monde de manière à avoir la paix et l’harmonie sur Terre, afin de réduire les armes à un niveau raisonnable … Élevé au sein de la foi orthodoxe, son âme incarnait des valeurs morales telles que la conscience, l’amour pour le prochain, et une tendance à l’accord. Il espérait être capable d’influencer les autres pour réaliser les idéaux d’unité, de fraternité et de respect mutuel, y compris le respect entre les politiciens, entre les hommes d’Etat, entre les peuples, et entre les Etats et ainsi de suite. Quand nous étudions son activité en tant que souverain, nous le voyons comme un homme qui a fondé son gouvernement sur les valeurs chrétiennes que ses parents lui avaient enseignées. Il a essayé de répandre ces valeurs parmi tous les chefs d’Etat avec lesquels il a eu à faire.

Son intention d’organiser la Cour internationale de Justice de La Haye était d’éviter les conflits entre les États et les peuples, et cela est devenu un héritage lumineux de son esprit. Il aurait voulu empêcher les gens d’en venir aux mains, mais plutôt qu’ils règlent pacifiquement leurs différends et leurs problèmes. De nombreux pays du monde suivent maintenant ses sages conseils et, dans les années qui ont suivi, de nombreuses autres institutions internationales, comme les Nations Unies, sont apparues sur la base de ses idées. Il est évident que l’empereur Nicolas II était une figure politique de grande valeur à travers le monde, notamment dans son rôle de théoricien de la paix mondiale.

Pendant de nombreuses années, certains ont défini la Russie pré-révolutionnaire comme ” la prison des nations ”… A cette époque là, quelle était la politique de la Russie à l’égard des résidents étrangers et des hétérodoxes?

Concernant les relations avec d’autres confessions religieuses, l’empereur Nicolas II les traitait avec beaucoup de respect. Lorsqu’il se rendait dans certaines parties de son empire à prédominance musulmane, il se rendait à la mosquée pour montrer son respect pour leur foi, il lisait des livres sur l’ Islam pour en savoir plus et il saluait les musulmans russes pendant leurs fêtes religieuses. Dans l’ensemble, son interaction avec eux était très bonne et les musulmans russes le récompensaient avec amour, respect, estime et honneur. C’est un exemple de l’atmosphère de fraternité et de bonnes relations qui existait entre les confessions religieuses en Russie. Il n’y avait pas de conflits religieux dans notre pays.

Voilà quelques paragraphes du précieux travail de Landowsky qui nous fait comprendre combien la révolution, bolchevique organisée par des riches banquiers et des sectes ésotériques , était “belle”, “en faveur du peuple” et surtout  “dispensatrice de liberté et de dignité pour l’être humain”  …  elle devrait être renommée ” le massacre bolchevique planifié “.

***

Nous citerons ci-dessous quelques questions et réponses relatives à l’interrogatoire de Rakovsky, le bolchevique qui ne plaisait pas aux banquiers et aux sectes:

“ D. Is the Soviet Union not socialist?

For me only in name. … “

“D. Continue, Rakovsky, I beg of you.

The understanding of how the financial International has gradually, right up to our epoch, become the master of money, this magical talisman, which has become for people that which God and the nation had been formerly, is something which exceeds in scientific interest even the art of revolutionary strategy, since this is also an art and also a revolution. I shall explain it to you.

Historiographers and the masses, blinded by the shouts and the pomp of the French revolution, the people, intoxicated by the fact that it had succeeded in taking all power from the King and the privileged classes, did not notice how a small group of mysterious, careful and insignificant people had taken possession of the real Royal power, the magical power, almost divine, which it obtained almost without knowing it. The masses did not notice that the power had been seized by others and that soon they had subjected them to a slavery more cruel than the King, since the latter, in view of his religious and moral prejudices, was incapable of taking advantage of such a power. So it came about that the supreme Royal power was taken over by persons, whose moral, intellectual and cosmopolitan qualities did allow them to use it. It is clear that this were people who had never been Christians, but cosmopolitans.”

“… Imagine to yourself, if you can, a small number of people, having unlimited power through the possession of real wealth, and you will see that they are the absolute dictators of the stock-exchange; and as a result of this also the dictators of production and distribution and also of work and consumption. If you have enough imagination then multiply this, by the global factor and you will see its anarchical, moral and social influence, i.e. a revolutionary one… . Do you now understand?

No, not yet.

Obviously it is very difficult to understand miracles.

Miracle?

Yes, miracle. Is it not a miracle that a wooden bench has been transformed into a temple? And yet such a miracle has been seen by people a thousand times, and they did not bat an eyelid, during a whole century. Since this was an extraordinary miracle that the benches on which sat the greasy usurers to trade in their moneys, have now been converted into temples, which stand magnificently at every corner of contemporary big towns with their heathen colonnades, and crowds go there with a faith which they are already not given by heavenly gods, in order to bring assiduously their deposits of all their possessions to the god of money, who, they imagine, lives in the steel safes of the bankers, and who is preordained, thanks to his divine mission to increase the wealth to a metaphysical infinity.

This is the new religion of the decayed bourgeoisie?

Religion, yes, the religion of power. “

***

Les empereurs, fils de Satan, remplacèrent les Romanov en Russie et la religion impitoyable du pouvoir de l’argent était la nouvelle «spiritualité» pour la Russie envahie.

Daniela  Asaro

Merci au Professeur Saber Othmani pour sa collaboration dans la traduction.

revu par Martha pour Réseau International

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https://reseauinternational.net/la-revolution-bolchevique-xxiieme-partie/

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