Je reçois régulièrement des e-mails provenant d’organisations et de sites patriotes, comme pas mal d’entre vous je suppose. Et ce matin, l’un d’eux a particulièrement attiré mon attention par son contenu dévoilant la couardise homicide de l’ultragauche. J’avoue être passé à côté de cette nouvelle qui dit combien notre pays doit se débarrasser de l’ultragauche terroriste.
Ledit contenu expliquait qu’une jeune femme de dix-sept ans, Éléonore, avait été violemment agressée par un antifa, le 3 mars dernier en Région parisienne, pour la châtier de son engagement au Rassemblement national. Un peu comme un fidèle musulman châtierait une inférieure – selon sa religion – qui ne lui obéirait pas !
La jeune militante était par ailleurs traquée depuis un certain temps : « La veille de mon agression, j’ai appris que ma photo et mon nom tournaient dans les réseaux antifas sur Telegram. La photo en question a été prise à Tours », a-t-elle déclaré à La Nouvelle République, et la demeure de ses parents a été taguée.
Évidemment, les médias gauchistes – qui se livreraient à des orgies réprobatrices s’il s’était agi d’une militante ultragauchiste agressée par un patriote – ne vous parleront pas du calvaire d’Éléonore, qui a cru mourir des mains d’un petit mâle antifa bien lâche hurlant son mantra dégénéré : « Siamo tutti antifascisti ! » (Nous sommes tous antifascistes). Les seuls mots d’italien qu’il connaisse. Moi, en voyant dans quel état ces vermines plongent la France, ce sont ces vers de Dante qui me viennent spontanément à l’esprit :
« Nel mezzo del cammin di nostra vita
mi ritrovai per una selva oscura,
ché la diritta via era smarrita. »
Ce qui se traduit ainsi : « Au milieu du chemin de notre vie je me retrouvai par une forêt obscure car la voie droite était perdue. »
Face à l’agression sexiste d’Éléonore, vous n’entendrez pas non plus les pseudo-féministes, justes bonnes à ouvrir leur cerveau – et le reste – pour la diversité et les luttes stériles. Il faut dire que les cas d’agressions de femmes ne manquent pas dans les rangs antifascistes – dont sexuelles –, elles doivent donc avoir l’habitude ! Certaines d’entre elles ont même dû atteindre l’orgasme idéologique en apprenant qu’une pauvre gamine venait de se faire tabasser par un des leurs, enragées qu’elles sont dans leur fanatisme crasse.
Fort heureusement, un passant plus courageux que la moyenne a fait fuir l’agresseur – laquelle moyenne recèle des spécimens venant régulièrement me traiter de surineur ici-même pour avoir empêché un de leurs semblables de menacer la vie d’une femme de 83 ans.
Parce que les antifas et autres immondices miliciennes ultragauchiste n’ont aucun courage, je l’ai souvent vérifié dans les manifestations parisiennes quand ils détalaient comme des lapins à la moindre escarmouche sérieuse ou se planquaient derrière les Gilets jaunes. Tout comme leurs protégés des cités, ils choisissent des proies faciles. Et comme ces mêmes protégés, ils ont la justice pour eux ! Pire, le parti ennemi de la France par excellence, la LFI, appelle à la rescousse cette engeance pour sa manifestation contre le fantasme gauchiste de l’extrême droite, le 22 mars prochain. Et pour l’instant, personne ne bronche tandis qu’autrefois, les identitaires étaient cueillis à la descente du train à Paris pour les empêcher de rejoindre les Gilets jaunes !
À ce jour, la vermine qui a agressé Éléonore – et dont on ne pleurerait pas la mort si la Providence voulait bien s’en charger ! – n’a semble-t-il toujours pas été identifiée, mais les menaces contre cette jeune femme et sa famille se poursuivent. D’ici à ce qu’on apprenne que la police a été sommée de ne pas faire de zèle pour appréhender la vermine eu question, il n’y a pas loin !
En attendant, j’assure de tout mon soutien – ainsi que la rédaction de Riposte laïque – cette jeune Éléonore, qui en appelle, justement, au soutien de tous via l’ASLA et dont je vous livre le lien ci-dessous :
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/une-jeune-militante-rn-de-17-ans-agressee-par-un-male-primitif-antifa.html