Depuis des années les différents gouvernements, enfourchant le cheval de bataille de la gauche immigrationniste, ont toujours minimisé, voire nié, le lien immigration/délinquance pour ne pas « marcher sur les plates-bandes du RN ».
Ce n’est pas un hasard si en France les statistiques ethniques sont interdites. Cela évite tout débat qui pourrait stigmatiser certaines minorités et enflammer le discours identitaire.
Jusqu’à très récemment, dénoncer le lien immigration/criminalité relevait du racisme le plus abject et vous classait automatiquement dans le camp des immondes fachos.
Mais les langues se délient car vient un moment où nier l’évidence devient impossible. Le discours victimaire exonérant les coupables en culpabilisant la société et le racisme ambiant, en dénonçant les contrôles d’identité au faciès et en traquant la bavure policière à la moindre interpellation un peu musclée d’un individu récalcitrant, tout cela ne prend plus.
Avec 3000 agressions gratuites par jour dont seulement 1000 déclarées, les Français ont ouvert les yeux. Ils ne se sentent plus en sécurité nulle part, même chez eux.
Dans le JDD du jour, Charlotte d’Ornellas nous livre un article très bien documenté sur ce sujet qui dérange. Des chiffres incontestables provenant des ministères de l’Intérieur et de la Justice, ainsi que des études de l’analyste Marc Vanguard, démographe spécialiste de la criminalité et de l’immigration. J’ai repris certains de ses tableaux sur son site.
En 2024, les étrangers représentent 8 % de la population française, mais ils sont responsables de 13 % des violences sexuelles, 18 % des homicides, 27 % des vols violents et 38 % des cambriolages.
Les grandes villes sont en première ligne.
« 48 % des individus interpellés pour des actes de délinquance à Paris, 55 % à Marseille et 39 % à Lyon sont des étrangers. Or, ils ne représentent respectivement que 14%, 11% et 10% de la population de ces villes ».
En Île-de-France, 91 % des mis en cause pour vol, 61 % pour violences sexuelles et 45 % pour agressions dans les transports, sont étrangers.
Ceux-ci représentent 8 % de la population et occupent 25 % des places de prison.
Ils sont 20 000 sur une population carcérale de 82 000 détenus.
Ajoutons que les descendants d’immigrés sont également surreprésentés dans les statistiques de la criminalité, preuve de l’échec de l’intégration.
Au hit parade de la criminalité ce sont les étrangers issus du continent africain qui détiennent le pompon.
Tout cela n’augure rien de bon car le mal est profond. Quarante années de laxisme judiciaire et de multiculturalisme débridé ont fait de la France le pays le plus dangereux d’Europe.
Ce qui n’empêche pas nos dirigeants d’accueillir au bas mot 500 000 nouveaux immigrés par an, les moins diplômés et les plus pauvres de la planète.
À l’heure de l’Intelligence artificielle, c’est le top !
Jacques Guillemain
https://ripostelaique.com/lincontestable-lien-immigration-delinquance-les-vrais-chiffres.html