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Les crimes contre les Blancs sud-africains dévoilés par Trump aux yeux du monde entier

Président Sud-Africain avec Trump

C’est à partir du Bureau ovale de la Maison-Blanche, en présence du président Cyril Ramaphosa, que Trump a révélé au monde entier les crimes commis par le régime sud-africain contre les habitants et les fermiers blancs du pays.

Le président Trump a, en direct, ouvertement accusé le Ramaphosa de « génocide ».

C’était le 21 mai dernier.

Il y a un peu moins d’un an et demi, le 29 décembre 2023, c’est le Ramaphosa qui déposait plainte contre Israël pour génocide, devant la CIJ, le tribunal des Nations Unies chargé de régler les différends entre les États.

Puis, le 29 octobre 2024, l’Afrique du Sud annonçait avoir déposé devant le tribunal international ses preuves du génocide commis par Israël.

Mais en ce jour de grâce du 21 mai 2025, c’est le Ramaphosa qui comparaissait devant le tribunal universel des peuples représenté par Trump.

Le président Trump a fait de même devant le Ramaphosa. Il lui a présenté les preuves du génocide sud-africain contre les Blancs.

Ce qui est extraordinaire avec Trump, c’est qu’il tient ses rencontres avec ses hôtes étrangers devant caméras. En toute transparence. Combien on voudrait voir le Macron faire de même. On aurait bien voulu voir ce qui a été dit avec le « président » syrien. Et ce qui se dit avec les racines tarées de Starmer, de Merz et du nabot ukrainien.

Trump a présenté à son hôte les preuves du génocide de l’Afrique du Sud contre les Blancs : articles de presse avec photos relatant le meurtre de Blancs et vidéo où l’on appelle au meurtre des fermiers blancs, avec le silence, la complaisance et la complicité du régime.

Preuves du génocide de l'Afrique du Sud

C’est extraordinaire comment la presse officielle française a commencé à hurler après cette accusation portée contre l’Afrique du Sud. Des propos « absurdes », selon Le Figaro, des « mensonges » selon Le Monde, du « n’importe quoi » pour Libération…

Pourtant, aucun de ces médias n’avait douté des preuves présentées par l’Afrique du Sud pour accuser Israël de génocide.

Mais au-delà de ces preuves présentées par Trump, ce qui accable particulièrement le régime du Ramaphosa est le fait que nombre de Blancs sud-africains, craignant pour leur vie, ont dû fuir leur pays et se réfugier aux États-Unis.

Réfugiés Sud-Africains aux USA

Pour rappel, la CIJ, saisie de la plainte de l’Afrique du Sud, semble avoir transmis le dossier à la CPI qui s’est montrée sensible aux preuves sud-africaines. La CIJ juge les États, tandis que la CPI juge les individus.

Le procureur de la CPI, l’ordure islamique d’origine pakistanaise teintée à la britannique, Karim Khan, avait donc émis un mandat d’arrêt international contre Nétanyahou, son ministre de la Défense, Yoav Gallant, et de dirigeants du Hamas tous déjà liquidés.

Mais la crapule Khan n’était intéressée que par Nétanyahou.

L’ordure islamique accusée de harcèlement sexuel contre une membre de son bureau a décidé, le 16 mai dernier, de se défaire temporairement de ses fonctions en attendant la fin de l’enquête sur son cas.

Mais qu’aurait-il fait s’il avait été saisi d’une plainte pour génocide contre le Ramaphosa ?

Et que pensent les 15 pays qui voulaient se joindre (ou se sont joints) à l’Afrique du Sud pour appuyer sa plainte contre le génocide de Nétanyahou ?

Citons-les pour l’Histoire (liste par ordre chronologique de ralliement à l’Afrique du Sud) : Nicaragua, Belgique, Irlande, Colombie, Libye, Égypte, Cuba, Mexique, Palestine, Espagne, Turquie, Chili, Maldives, Bolivie et Belize.

Qui de ces pays pourrait, aujourd’hui, se tenir aux côtés de Trump pour dénoncer le génocide avéré des Blancs en Afrique du Sud ?

Messin’Issa

https://ripostelaique.com/les-crimes-contre-les-blancs-sud-africains-devoiles-par-trump-aux-yeux-du-monde-entier.html

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