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Voici une liste de cent responsables et coupables qui ont sur les mains le sang du petit Élias

Stéphanie, la mère d’Elias, le jour de la Fête des Mères, 4 mois après la mort de son fils de 14 ans, décrit sa douleur, mais aussi sa révolte devant l’insupportable mort de son fils, et elle pointe du doigt quelques coupables.

Le vendredi 24 janvier 2025, un peu avant 20h, comme chaque vendredi, Elias est sorti du Stade Jules-Noël dans le 14e arrondissement de Paris.

Comme chaque vendredi après son entraînement de foot, Elias marche avec ses amis avenue Maurice d’Ocagne pour aller chercher un Vélib. Comme chaque vendredi, Elias doit me téléphoner. Je ne suis pas loin de lui, je travaille à l’hôpital Saint-Joseph et nous habitons près du Parc Montsouris.

Comme chaque vendredi, nous allons discuter de sa journée et décider si Elias dîne avec nous à la maison, s’il va manger un burger avec ses potes ou s’il va rejoindre sa petite amie. Elias va bientôt avoir 15 ans, il est en 3ème au Lycée Montaigne. Elias est un adolescent gentil, vraiment gentil, joyeux, beau et fort. Aimé et aimant.

Le vendredi 24 janvier 2025, un peu avant 20h, ce n’est pas Elias qui m’a appelée, mais son meilleur ami pour me dire qu’Elias était à terre et qu’il avait été poignardé avec une machette.

Je suis arrivée en courant en moins de 10 minutes. Tout le monde était là, les pompiers, les membres du Samu, les policiers. J’ai pu m’allonger contre mon enfant. L’embrasser, lui parler, le rassurer, lui dire que son papa arrivait. Elias respirait difficilement.

Son état s’est rapidement aggravé, en raison d’une plaie thoracique transfixiante responsable d’une hémorragie interne. Malgré la prise en charge du SAMU, des équipes de chirurgie, d’anesthésie et de réanimation de l’hôpital Necker, Elias est mort le samedi 25 janvier 2025.

La grande sœur d’Elias est née le 23 janvier 2004. Son grand frère est né le 26 janvier 2001. Elias a été poignardé le 24 janvier et est mort le 25 janvier. Les chiffres de la vie se sont moqués de moi.

Mais qui s’est moqué d’Elias ?

Ces deux adolescents de 16 et 17 ans, qui en toute impunité, depuis 2021 réitèrent des vols avec violence ? Ces deux adolescents qui malgré une interdiction juridique d’entrer en contact, se retrouvent régulièrement autour du Stade Jules-Noël pour commettre des délits.

Leurs parents et l’instabilité des cellules familiales ?

Cette maire qui n’a pas jugé bon de sécuriser les abords du stade qu’elle savait mal fréquentés ?

Les médias qui n’ont pas eu l’honnêteté d’écrire les mots machette et hachette, préférant minimiser l’acte en parlant de couteau ? En écrivant qu’Elias a refusé de donner son téléphone portable ? Mais qui refuserait de donner son téléphone face à deux individus armés d’une hachette et d’une machette sortie de son étui ?

Les juges des enfants qui ordonnent à deux reprises (en 2023 et 2024) une interdiction d’entrer en contact des deux délinquants, sans vérifier leurs adresses et sans s’apercevoir qu’ils habitent dans la même résidence ?

Les différents ministres de la Santé, de l’Éducation nationale, de la Justice, de l’Intérieur qui n’ont pas pris la mesure depuis des années de la dérive d’une partie de la jeunesse, de son ensauvagement, de l’impact des réseaux sociaux et de la banalisation de la violence chez les adolescents entre eux et contre eux-mêmes ?

Qui s’est moqué d’Elias ?

Qui se moque d’un joueur de foot qui rentre d’un entraînement, comme des milliers de jeunes en France ?

Qui se moque d’un adolescent parisien de 14 ans qui est un frère, un petit-fils, un cousin, un ami, un amoureux ?

Depuis quatre mois j’attends des réponses et je ne vois rien venir.

Je m’occupe de la sépulture de mon fils et de notre famille. Je veille sur mon fils. Je tente de survivre à l’absence de mon fils Elias, à ses « coucou maman », à ses « bisous maman », à cette carte et à ce petit cadeau que je n’aurai pas pour la fête des mères.

Je patiente.

Et je saurai qui s’est moqué de nous.

Stéphanie, mère d’Elias.

Comment ne pas partager sa révolte et son indignation, mais elle n’a pas parlé des politiciens qui sont responsables de cette mort, comme de celle de plein d’autres morts de nos enfants, sur le territoire français.

Philippe de Villiers expliquait, avant qu’il ne devienne un invité régulier de CNews, au micro de Ruth Elkrief, que les politiques qui dirigeaient le pays depuis 40 ans avaient sur les mains le sang de toutes les victimes françaises de l’invasion migratoire et des attentats du 13 novembre, entre autres.

Bien sûr que le fondateur du Puy du Fou a raison, mais il y en a assez de se contenter de citer vaguement des noms, à la volée, sans en dire davantage.

Nous allons donc vous donner cent noms, et ce n’est qu’une petite partie de tous ceux qui ont sur les mains le sang du petit Elias, et qui, s’ils avaient une conscience, demanderaient pardon à Stéphanie. Certes, ils n’ont pas tué le jeune adolescent, mais par leurs décisions, leurs engagements, leur action quotidienne, ils ont contribué à sa mort.

Ils ont d’autre part insulté, calomnié, poursuivi devant les tribunaux les trop rares Français qui, depuis vingt ans, alertent sur la réalité de l’ensauvagement de la France, sur l’inévitable islamisation qui se met en place, et la mise en danger qui en découle pour notre pays, et pour ses habitants.

Ils sont donc responsables et coupables, et doivent donc rendre des comptes à la famille, mais aussi à la Nation.

Bien sûr, cette liste est incomplète, nous aurions pu mettre plein d’autres noms, mais elle se veut symbolique et significative, car tous les noms que nous citons ci-dessous ont participé, physiquement ou idéologiquement, à la politique qui a coûté la vie au petit Elias (qui ressemble étonnamment au footballeur du PSG Désiré Doué), mais à tant d’autres.

Voilà donc cette liste de 100 personnalités, issues du milieu politique de droite et souvent de gauche, du milieu associatif, du milieu syndical, du milieu féministe, et de l’ensemble de l’appareil d’Etat. Ils sont publiés en rouge, comme le sang du petit Elias qu’ils ont sur les mains. Si vous souhaitez en rajouter, faites-le dans les commentaires.

Emmanuel Macron, François Hollande, Nicolas Sarkozy, anciens présidents de la République.

François Bayrou, Michel Barnier, Gabriel Attal, Elisabeth Borne, Jean Castex, Edouard Philippe, Bernard Cazeneuve, Manuel Valls, Jean-Marc Ayrault, anciens Premiers ministres.

Gérald Darmanin, Didier Migaud, Eric Dupond-Moretti, Nicole Belloubet, Jean-Jacques Urvoas, Christian Taubira, anciens gardes des Sceaux

Jean-Luc Mélenchon, Sophia Chikirou, Alexis Corbière, Mathilde Panot, Eric Coquerel, et tous les élus et militants LFI.

Alain Juppé, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Christian Estrosi, Jean-Louis Borloo et tous les LR islamo-collabos.

Marine Tondelier, Sandrine Rousseau, Yannick Jadot, Cécile Duflot et Dominique Voynet et tous les élus et militants EELV

Fabien Roussel, Ian Brossat, Marie-George Buffet, Pierre Laurent, André Chassaigne et tous les élus et militants PC

Olivier Faure, Anne Hidalgo, Carole Delga, Boris Vallaud, Martine Aubry, Ségolène Royal et tous les élus et militants PS

Olivier Besancenot, Philippe Poutou, Nathalie Arnault, Arlette Laguiller, Marc Gauquelin et tous les militants trotskistes, qu’ils soient NPA, LO ou POI.

Edwy Plenel, Claude Askolovitch, Laurent Joffrin, Patrick Cohen, Jean-Michel Aphatie et tous les journaleux immigrationnistes

Bernard-Henri Levy, Julien Dray, Jérôme Guedj, Rony Brauman, Bernard Kouchner et tous les juifs de gauche immigrationnistes et anti-Netanyahou

Alain Jakubowicz, Mario Stasi, Sabrina Goldman, Ari Sebag, Antoine Spire et tous les dirigeants et adhérents de la Licra

Dominique Sopo, Nathalie Tehio, Arié Alimi, Jean-Pierre Dubois, Gérard Kerforn et tous les dirigeants et adhérents de SOS Racisme, la LDH et le Mrap

Najat Vallaud-Belkacem, Geneviève Jacques, François Thomas, Philippe Dupourqué, Jean-Claude Samouillé et tous les dirigeants et adhérents de France Terre d’Asile, la Cimade, SOS Méditerranée, le Gisti et Amnesty International.

Laurent Fabius, Richard Ferrand, Didier-Roland Tabuteau, Roch-Olivier Maistre, Martin Adjari et tous les membres du Conseil constitutionnel et du Conseil d’Etat, et de l’Arcom.

Françoise Martres, Clarisse Taron, Katia Dubreuil, Kim Lam Reuflet, Judith Allenbach, les cinq derniers présidents du Syndicat de la Magistrature, et tous leurs adhérents.

Caroline de Haas, Caroline Fourest, Christine Delphy, et toutes les pseudo-féministes complices de l’invasion migratoire.

Juliette Binoche, Omar Sy, Mathieu Kassovitz, Vincent Lindon, Marion Cotillard et tous les artistes immigrationnistes qui font la leçon aux Français tout au long de l’année.

Sophie Binet, Laurent Berger, Marylise Léon, Philippe Martinez, Pierre Khalfa et tous les dirigeants syndicats traîtres immigrationnistes de la CGT, de la CFDT et de Sud-Solidaires.

Stéphane Séjourné, Thierry Breton, Pierre Moscovici, les trois derniers commissaires européens français

C’est à cause d’eux et de tant d’autres si tous ceux-là sont morts…

France - les victimes de l

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