En septembre 1939, Daladier, président du Conseil, prononçait par décret la dissolution du Parti Communiste Français. Fidèle relais de la politique de Staline en France, donc parti de l’étranger, le parti de Maurice Thorez avait soutenu le pacte germano-soviétique, ce qui était considéré comme une trahison des intérêts de la France en temps de guerre.
En 1941, l’attaque de l’URSS par Hitler permettra au PCF de sortir par le haut de cet épisode peu glorieux et de rentrer dans la Résistance. À la Libération, avec 28 % des voix, il sera le premier parti français, ce qui confirme que les électeurs ont souvent la mémoire courte.
86 ans plus tard, un autre parti français est entré ouvertement dans la collaboration avec l’occupant, et surtout dans la trahison de la France face à l’envahisseur. Le PCF a été remplacé, dans ce rôle, par LFI, et l’occupant nazi par les soldats d’Allah.
Toutes les actions des Insoumis, soutenus par ailleurs par l’ensemble de la gauche qu’ils entraînent, vont dans le sens de l’envahisseur, contre la France. Encouragement de l’invasion migratoire, soumission à l’islam, refus des expulsions, hymne au Grand Remplacement, appelé créolisation ou Nouvelle France, encouragements permanents à l’émeute, comme au lendemain de la mort de la racaille Nahel Merzouk.
Mais surtout, encouragement et légitimisation des agressions contre les policiers, en les traitant ouvertement d’assassins, de racistes et de nostalgiques du colonialisme, comme viennent de le faire à deux reprises en 24 heures les députés Aurélien Taché et Aly Diouara. Ils sont soutenus, sur l’ensemble des réseaux sociaux, par toute la meute LFI, qui multiplie insultes contre la police et provocations contre Bruno Retailleau.
Or, la police, malgré ses imperfections, est le dernier rempart des Français contre la barbarie des racailles et des migrants qui envahissent le pays, avec la complicité de Macron et de toute la gauche. La justice est passée à l’ennemi, la presse appartient aux collabos, l’école est livrée au wokisme, il ne reste aux Français que les policiers pour empêcher que la loi du plus fort ne s’applique.
La politique de LFI envoie à la mort nos policiers, de plus en plus considérés comme des cibles à abattre dans les quartiers islamisés, et met en danger tous nos compatriotes et principalement les Français de confession juive. La clique à Mélenchon, c’est la haine de la France. LFI, c’est le parti de l’étranger. Cela doit se payer au prix fort.
La trahison du PCF en 1939, défendant le pacte germano-soviétique, n’est rien à côté de celle de LFI qui, méthodiquement, sape les édifices de la France et s’acharne sur la dernière structure qui, avec l’armée, tient encore debout, la police. Avec un objectif clairement affiché, le même que celui de Macron, qu’ils ont sauvé en juillet 2024 : détruire notre pays.
C’est pourquoi la dissolution de LFI pour trahison de la France au service de pays étrangers musulmans, et mise en danger des Français est non seulement légitime, mais indispensable, avec fermeture de tous les comptes bancaires et emprisonnement de tous les dirigeants, Mélenchon en tête. En taule !
Il n’y a aucun scrupule à avoir, au nom de la démocratie, car ils veulent nous éliminer, et ils sont prêts à tous les moyens pour cela. Aujourd’hui, ils veulent nous interdire de distribuer un tract, d’organiser une réunion publique, de manifester. Ils agressent nos militants, mais aussi les policiers, en toute impunité. Ils en sont même à réclamer l’interdiction de spectacles de rue ou de fêtes populaires, parce financés par Pierre-Edouard Stérin. S’ils étaient au pouvoir, ils nous tueraient sans hésitation, comme l’ont toujours fait les communistes et les totalitaires de gauche quand ils ont dirigé un pays.
Dissoudre les Insoumis et leurs complices ne serait donc en aucun cas une action « fasciste », comme ils disent, mais un acte nécessaire pour éviter à notre pays de tomber dans le chaos, l’arbitraire et la violence engendrant toujours les pires dictatures.