Il fut un temps où quiconque osait s’opposer à l’idéologie des pédophiles était considéré comme un ringard, un petit-bourgeois réactionnaire qui ne s’était pas émancipé de sa culture judéo-chrétienne, voire un dangereux fasciste hostile aux libertés.
Les propos de Dany Cohn-Bendit, sur un plateau de télévision, faisant l’apologie de la pédophilie, sont demeurés célèbres, même s’ils n’ont pas empêché ce nuisible de faire la carrière qu’on connaît. Personne n’a oublié la courageuse réaction de la regrettée canadienne Denise Bombardier, face à l’arrogant Gabriel Matzneff, qui se vantait de ses prouesses sexuelles avec des mineurs des deux sexes.
Personne n’a oublié les chroniques de Libération où on voulait apprendre aux enfants à faire l’amour, ni les pétitions gauchistes de 1977, signées notamment par Jack Lang et bien d’autres, qui étaient des hymnes à la pédophilie.
Aujourd’hui, suite au scandale des poupées sexuelles en vente en ligne du groupe chinois Shein, on pourrait, dans un premier temps, se réjouir que le ministre des Finances hausse le ton et paraisse menacer la Chine. On pourrait se montrer perplexe quand la Haute Commissaire à l’Enfance, la LGBT Sarah El Hairy, qui n’a pas un mot sur la sexualisation des programmes scolaires, demande carrément l’identité de ceux qui ont commandé en ligne ces objets de scandale. Elle est bien plus discrète par ailleurs sur le dossier Epstein, et ses ramifications en France, dans les plus hautes sphères.
Donc, cinquante ans après les années folles post-soixante-huit, tout le monde en France paraît contre la pédophilie, ou du moins plus grand monde n’ose s’en réclamer. Et pourtant, et le sommet de l’hypocrisie de la société française est là, il y a sur notre sol plus de dix millions de musulmans qui, s’ils sont de bons disciples d’Allah, doivent considérer que le Coran est un livre sacré qu’on ne peut modifier, ni amender, et que tout bon croyant doit imiter celui qu’on appelle le beau modèle, Mahomet.
Or, il suffit de lire ci-dessous cinq articles de Riposte Laïque, signés Julien Martel, Hamdane Ammar, Bernard Dick, Salem Benammar et Zohra Nedaa Amal, pour avoir la preuve que Mahomet a épousé Aïcha quand il avait 51 ans et elle 6 ans, et que le mariage fut consommé quand Aïcha avait neuf ans. On y lit surtout que l’islam est inséparable de la pédophilie, depuis 14 siècles.
Est-ce un hasard si l’Unicef elle-même parle aujourd’hui de mariages forcés dans le monde qui menacent des millions de jeunes filles, même si, bien sûr, ils ne précisent pas que presque tous sont le fait de musulmans ?
Plus précise, l’adjointe à la mairie de Paris, Hélène Bidard, même si, en bonne dhimmi elle n’évoque pas la religion des victimes, évoque 200 000 jeunes femmes menacées en France.
Chacun a entendu parler de cette jeune Yéménite de dix ans, Nojoud Ali, qui a obtenu un divorce historique, au prix d’un combat exemplaire de ses proches. Bien sûr, tous les musulmans ne sont pas des pédophiles, Messieurs les antiracistes, mais leur livre invite à imiter un prophète pédophile, c’est incontestable.
Il suffit de lire les cinq articles ci-dessous pour comprendre que même au XXIe siècle, l’islam et la pédophilie sont bien inséparables. Alors, tant que nous entendrons des hypocrites, la bouche en cul-de-poule, faire semblant de lutter contre la pédophilie, mais tolérer la sexualisation de l’école, nous les prendrons pour des imposteurs.
Mais tant que nous entendrons d’autres hypocrites nous dire que l’islam est compatible avec la République, la démocratie ou la France, avec un prophète pédophile donné en exemple à plusieurs millions de musulmans présents sur notre sol, nous les qualifierons au mieux d’ignorants, au pire de faux culs.