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  • Malthus contre les délires du progrès, de la science... et du métissage 1/4

    « Les fléaux de la pestilence, de la famine, des guerres, des tremblements de terre sont considérés comme une bénédiction pour les nations surpeuplées. Puisqu'ils servent à tailler dans la croissance luxuriante de la population humaine ». (Tertullien, père de l'Eglise, IIIe siècle).

    La cabale montée par l'idéologie socialiste et le culte multiracial contre l'Anglais Thomas Malthus (1766-1834) est une des grandes supercheries des temps modernes; on peut encore lire à l'article Malthus de l'International Encyclopoedia of the Social Sciences que sa théorie de la population « est un exemple parfait de métaphysique travestie en science ». Si les néo-malthusiens, depuis Francis Place au XIXe siècle, préconisèrent la contraception, l'homme d'église qu'était Malthus l'a toujours condamnée. Plus d'un sera surpris d'apprendre que dans la seconde édition de son Essai sur le Principe de Population, précisant sa pensée sur la réduction de la natalité, il invoque la « restriction morale ». Qu'il réduit à un mariage tardif accompagné par un « célibat prénuptial » qui n'est autre que « l'abstinence » en train de faire florès aux États-Unis.

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  • Emmanuelle Ménard, sur le discours de Jean Castex : « Pas un mot sur l’immigration ! »

    Voici la réaction d’Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, au discours de politique générale du nouveau Premier ministre Jean Castex. « Pas un mot sur l’immigration… ».

    Le Premier ministre Jean Castex vient de présenter son discours de politique générale à l’Assemblée nationale. Vous paraît-il positif ou inquiétant ?

    Ce discours est surprenant. Quand on arrive à lire entre les lignes, il est fréquemment contradictoire. Il annonce beaucoup de choses alléchantes et intéressantes au premier regard, mais en réalité ces choses sont en contradiction avec ce qui a été fait pendant les trois années d’Édouard Philippe.
    Si on prend l’exemple de la Justice, il dit qu’il faut créer des juges de proximité pour lutter contre les incivilités du quotidien, mais en réalité ces juges de proximité s’appelaient à l’époque les juges d’instance et la majorité les a supprimés l’année dernière. Il dit également qu’il veut lutter contre le terrorisme, mais les terroristes sont libérés. Il veut aider les étudiants et travailler sur les problèmes de formation, mais il y trois ans, on a diminué de 5 euros les APL.

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  • Pour 2022, LR et LREM ne jureront que par un seul homme, et ce ne sera pas Emmanuel Macron

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    Il y a des signes qui ne trompent pas. Et ils sont nombreux. Des cartes postales, d’abord. Mais aussi des données de fond politiques, économiques, sociales. Et toutes pointent dans une même direction, un seul homme : .

    La nomination de , l’un de ses proches, la droitisation du gouvernement, les appels soigneusement médiatisés du Président Macron à l’ancien président de la République ont fait de Nicolas Sarkozy l’éminence grise, le parrain d’un Macron incessamment bousculé, depuis trois ans, par les événements. Pour LREM et Macron, il s’agit de poursuivre la captation de l’électorat et des cadres LR. Face à ce siphonnage, le parti LR, allié à LREM, est aux abois : il a perdu Bordeaux et , a échoué à reprendre Lyon qui devait lui revenir. Et, pour , il n’a aucun candidat solide capable d’accéder au second tour. Tous – Baroin, Bertrand ou Pécresse – plafonnent à 12 %. En , le résidu LR n’aura pas d’autre solution, pour exister, que de faire appel à Nicolas Sarkozy.

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