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Où les migrants sub-sahariens trouvent-ils l’argent pour payer les passeurs ?

(AP Photo/Emilio Morenatti)

Ils sont sur le chemin de l’exil.
Ils violent les législations sur les étrangers des États souverains.
Ils préfèrent la mort plutôt que la vie dans leurs pays d’origine.
Ils ne soucient pas de la mort sur leur chemin.
Ils sont comme des soldats dévoués à leur cause.
Une cause qui n’en est pas une en apparence.
Sont-ils des migrants en quête d’un monde meilleur ou sont-ils des assaillants ?

Souvent victimes de la barbarie, tunisienne, libyenne et algérienne.
Embarqués à 100 dans des barques de fortune.
Abandonnés en mer par les passeurs.
Des milliers d’entre eux meurent durant la traversée.
Parfois ils sont sauvés par des navires des ONG humanitaires.
Mitraillés par l’armée marocaine.
Ils fuient la misère noire de chez eux.
Ils n’ont qu’une destination en tête : l’Occident ; ni la Russie, ni l’Arabie ni la Chine.
Ils sont majoritairement musulmans et de sexe masculin.
Ils paient leurs passeurs à prix d’or.
Où trouvent-ils l’argent ?
Le prix de leur aventure périlleuse peut faire vivre des villages entiers des dizaines d’années.
Fuient-ils vraiment la misère comme je l’ai écrit ci-dessus ou y a-t-il des dessous à leurs entreprises migratoires qui ressemblent à une opération de colonisation par vagues successives ?
Ils revendiquent leurs dus comme s’ils avaient des droits.
S’installent partout où bon leur semble.
Capables de transformer les Champs, la place de l’Opéra, les jardins des Tuileries et du Palais Royal en villages africains.

Salem Benammar

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