Cette campagne présidentielle qui a commencé depuis quelques semaines (quelques mois ?) déjà suscite à la fois de l’agacement et des craintes et de l’enthousiasme et des espoirs : en fait, en ces temps d’incertitude globalisée, chacun cherche des certitudes dans les discours et les promesses des uns et des autres, et le « dégagisme » de la précédente campagne de 2017 n’est jamais très loin, même s’il est fortement contrebalancé par le désir de continuité, désir aujourd’hui incarné par M. Macron, mieux encore que par ses prédécesseurs en leurs temps respectifs : le vieil inconscient monarchique français joue, pour l’heure, au bénéfice du président sortant, dans une sorte de double réflexe, à la fois légitimiste et dynastique, mais, pour le royaliste que je suis, la légitimité et la dynastie en moins, évidemment !
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Jordan Bardella : « Ce que subit la Pologne s’appelle une invasion. Il y a parmi ces migrants l’insécurité et le terrorisme de demain sur le sol européen »
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Sanglots post-apartheid en Afrique du Sud
La chronique de Philippe Randa
L’apartheid a été officiellement aboli en Afrique du sud en février 1991 par le président (blanc) Frederik De Klerk. Nelson Mandela prenait alors les rênes du pays à la tête de son parti l’ANC (Congrès national africain)… et on allait voir ce qu’on allait voir, n’est-ce pas !
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Sophie de Habsbourg (Jean-Paul Bled)
Jean-Paul Bled, professeur à l’université de Paris IV-Sorbonne, est un spécialiste de l’histoire de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie. Il est l’auteur de plusieurs biographies de référence.
Il nous offre ici le portrait d’une grande dame méconnue qui inspirera pourtant sa marque à un demi-siècle d’histoire de l’Autriche.
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[EXTRAIT] "La pensée du Grand Remplacement est largement antisociale" Le Grand Entretien Partie II
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Les assassins : “Nous savions que dans le flux de réfugiés, il y avait des terroristes”
François Hollande a témoigné au procès des attentats du 13 novembre. Il devrait se retrouver sur le banc des accusés. Il a avoué que la politique d’immigration est criminelle :
« Je sais que la lutte contre le terrorisme peut toujours être améliorée. Rien ne pourra convenir aux parties civiles, j’en conviens. Mais sachez bien que tous les services ont fait tout ce qu’ils pouvaient ».
« Nous savions qu’il y avait des opérations qui se préparaient, que dans le flux de réfugiés, il y avait des terroristes ». « La veille ou l’avant-veille, nous avions connaissance des individus, mais nous ne pouvions imaginer qu’ils allaient agir ».
Et il a ajouté cette stupidité :
« Les plus grandes victimes du terrorisme islamiste sont les musulmans ».