« De l’argent, il y en a, dans les caisses du patronat ! » Voilà ce qu’on entend dans les manifs. Ce slogan bien connu vise évidemment les grands patrons et les actionnaires. Les ministres répondent qu’on ne peut pas imposer davantage les marchés financiers qui sont les moteurs de l’économie, qu’on ne peut pas augmenter les taxes des entreprises déjà écrasées par les charges fiscales. Qui a raison ?
social
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Les assistés d’en haut
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Le bal des professionnels de la grève
Thomas Joly, président du Parti de La France
Après la mascarade du 10 septembre, dominée par les nervis de l’extrême-gauche la plus putride, voici qu'ont défilé, ce jeudi 18 septembre, les vieux chevaux de retour de l’appareil syndical. Les « professionnels de la grève », toujours les mêmes, ressassent leurs refrains éculés : plus d’État, plus de subventions, plus de fonctionnaires, plus de privilèges payés… par qui ? Par le contribuable, par le travailleur français, par celui qui n’a pas le loisir de bloquer les rues en pleine semaine.
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Pourquoi l’Europe paie son gaz cinq fois plus cher que les États-Unis
La différence de coût des ressources énergétiques entre les États-Unis et l'UE est colossale. Le gaz naturel liquéfié (GNL) coûte en Europe 60 à 90% plus cher qu'aux États-Unis, comme l'a fait remarquer l'ancien Premier ministre italien et ex-président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi. En tenant compte de toutes les dépenses, la différence est en réalité beaucoup plus importante. La situation est similaire pour l'électricité. C'est un gros problème pour l'UE, car les États-Unis ne se contenteront pas de lui vendre leurs ressources énergétiques à prix fort, mais détruiront également l'économie européenne.
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Manifs : les résistants anglais du 13 septembre et les collabos français du 18…
Il est curieux de faire le parallèle entre des manifestations de pays voisins, la Grande-Bretagne et la France, à quelques jours d’intervalle.
À Londres, derrière Tommy Robinson, les médias ont annoncé 110.000 manifestants, alors que nous avons assisté à la plus grande manifestation anglaise de tous les temps et que le chiffre de 1 million, donné par les organisateurs, ne paraît absolument pas exagéré. Et cela dans une seule ville, suite à une montée nationale.
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Łukasz Warzecha : « Les Polonais en ont assez de financer l’aide sociale aux Ukrainiens » [Interview]
Fin août, le président polonais Karol Nawrocki a opposé son veto à un projet de loi visant à prolonger les prestations sociales existantes pour les citoyens ukrainiens résidant en Pologne, arguant que les finances publiques et « les émotions politiques et sociales ont changé » depuis l’introduction de cette mesure il y a plus de trois ans.
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L’omelette ukrainienne
Par Jean Charpentier
Il y a quelques semaines, des agriculteurs, membres de la Coordination rurale, ont repéré des boîtes d’œufs en provenance d’Ukraine et commercialisés dans un magasin Carrefour d’Amiens. Depuis lors, des consommateurs ont déniché également des œufs ukrainiens dans des magasins Leclerc et ailleurs. Dans un article paru dans Boulevard Voltaire, Étienne Lombard avait cru bon de signaler cette découverte, tant pour poser la question sanitaire que celle de la concurrence déloyale faite à nos éleveurs. Il a bien fait. Mais deux questions se posent. Pourquoi ces œufs pondus sur les bords du Dniepr font-ils leur apparition sur la Somme et, d’autre part, ont-t-il véritablement une nationalité ?
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Après le 10 septembre... Pays réel versus pays légal ?
J’avais quelques espérances lorsque fut évoquée au mitan de l’été la journée de contestation du 10 septembre, et j’y ai alors prêtée une attention bienveillante mais de plus en plus mâtinée de méfiance (voire de défiance) au fil du temps, particulièrement lorsque la Gauche jacobine, ne voulant pas d’une contestation indépendante, a récupéré (pour mieux le tuer ?) le mouvement, en en changeant aussi bien le sens que les formes initiales.
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Népal : L’armée impose des mesures restrictives après la chute du gouvernement sous la pression des manifestants
par Berk Kutay Gokmen
L’armée népalaise a pris le contrôle mardi soir après deux jours de manifestations meurtrières ayant fait 20 morts et entraîné la chute du gouvernement du Premier ministre KP Sharma Oli.
L’armée népalaise a imposé des «ordres de restriction» alors qu’un calme précaire régnait dans le pays mercredi, au lendemain des vastes manifestations qui ont renversé le gouvernement du Premier ministre KP Sharma Oli.
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Une chienlit française. C’est LFI qui casse et c’est Nicolas qui paye !
Vous avez le narcotrafic qui gangrène nos villes avec un développement rapide des enlèvements crapuleux et désormais des « mafias » qui comme à Toulouse demandent aux commerçants de payer la « taxe » pour ne pas être violenté, tabassé, ou tué ou son commerce détruit, nous vivons une chienlit française qui se terminera très mal et dans un bain de sang que personne ne veut voir ni traiter en amont justement pour l’éviter, ce qui est d’une tristesse insondable.
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Peut-on empêcher la gauche de saboter la contestation sociale ?
L’automne risque d’être chaud, nous dit le ronron médiatique. La météo sociale et politique est effectivement très dégradée dans notre pays. Pour autant, le moment de la révolte populaire est-il venu ? La France reste marquée par l’intensité spontanée du mouvement des Gilets jaunes et le feu de paille qu’il a finalement été.
Fragilisé par un manque de pensées directrices et de structures organisationnelles, le mouvement a été vite écrasé par les forces combinées du pouvoir. Il a cependant laissé dans les esprits comme un désir de deuxième acte qui peine à trouver sa voie.