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culture et histoire - Page 365

  • L’histoire assassinée : les pièges de la mémoire (Jacques Heers)

    Jacques Heers (1924-2013), agrégé d’histoire, fut professeur aux facultés des lettres et aux universités d’Aix-en-Provence, d’Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne. Il fut aussi directeur du Département d’études médiévales de Paris-Sorbonne. Il est l’auteur d’une impressionnante liste de livres qui sont autant de références en matière d’histoire du Moyen Âge.

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  • Carlistes espagnols et légitimistes français 2/5

    Despedida_de_D._Carlos_al_abandonar_el_territorio_espanol_Segunda_parte_de_la_Guerra_Civil._Anales_desde_1843_hasta_el_fallecimiento_de_don_Alfonso_XII-scaled.jpg

    Commandées par un chef de guerre tenace, les troupes carlistes contrôlent déjà les territoires ruraux des provinces basques et de la Navarre, terres de fueros, c’est-à-dire d’antiques privilèges d’administration locale, presque d’autonomie, que leurs populations craignent de voir supprimés par les nouveaux dirigeants madrilènes. En revanche, les villes leur échappent. Les bataillons du carlisme se recrutent parmi les hobereaux locaux, la petite paysannerie et, d’une façon plus générale, parmi les couches de la société en voie de marginalisation économique. La bourgeoisie industrielle et commerçante, dont le poids s’accroît, se tient prudemment à l’écart. Don Carlos s’établit à Vergara, dans la province de Guipùzcoa, et choisit un Français, Louis de Penne, comte de Villemur, pour ministre de la Guerre. Quelques centaines de légitimistes franchissent les Pyrénées afin de grossir les bataillons de volontaires.

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  • De Koutiepov à Miller : le combat des Russes blancs 1930-1940 (Nicolas Ross)

    Nicolas Ross est un spécialiste de l’histoire russe et l’auteur de plusieurs ouvrages sur les Russes blancs.

    Ce livre fait suite à son précédent ouvrage Koutiepov, le combat d’un général blanc : de la Russie à l’exil consacré à une figure centrale de l’émigration russe blanche aux côtés du général Wrangel dans les années 1920. Cette Russie blanche en exil n’était pas née d’une fuite, mais d’une résistance.

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  • Carlistes espagnols et légitimistes français 1/5

    Despedida_de_D._Carlos_al_abandonar_el_territorio_espanol_Segunda_parte_de_la_Guerra_Civil._Anales_desde_1843_hasta_el_fallecimiento_de_don_Alfonso_XII-scaled.jpg

    Par Daniel de Montplaisir

    Le nationalisme de la science historique, le plus souvent instinctif, nous prive parfois de rapprochements transfrontaliers qui, pourtant, permettraient de mieux comprendre les enjeux comme les ressorts des événements. C’est ainsi que le carlisme espagnol, dont l’histoire est enseignée aux lycéens espagnols, et qui a fait l’objet de plusieurs ouvrages savants, n’est que très rarement mis en rapport avec le légitimisme français. Or toute histoire comparée montre que, non seulement les deux mouvements furent cousins germains mais au surplus que leurs illusions et leur échec en doivent l’essentiel à ce cousinage.

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  • La Petite Histoire : La bataille de Cocherel – Les victoires inespérées

    Pour ce deuxième épisode de la thématique des victoires inespérées, retour sur une bataille méconnue qui pourtant décida du sort du royaume. En 1364, le roi de Navarre Charles II le Mauvais réunit une armée ainsi que des archers anglais pour tenter de ravir la couronne au jeune Charles V. Pour l’arrêter, ce dernier charge son fidèle Bertrand du Guesclin de se porter au-devant de l’ennemi. À Cocherel, pourtant en sous-nombre et en position désavantageuse, le Dogue de Brocéliande saura triompher avec ruse et intelligence, et ainsi sauver la couronne.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-la-bataille-de-cocherel-les-victoires-inesperees

  • La marquise du Deffand (1696-1780) : une Voltaire au féminin, par le P. Jean-François Thomas

    Sauf en ce qui regarde l’éclat, la finesse de l’intelligence et la dimension de la culture, notre époque ressemble au XVIII° siècle, alors qu’une élite intellectuelle, entretenue par la bourgeoisie montante et l’aristocratie descendante, donnait le ton aux décisions politiques ou à l’élaboration d’un nouveau type de société. Notre intelligentsia a de petits pieds par rapport au foisonnant milieu des philosophes, des hommes de lettres et de science, des parlementaires, du clergé d’une époque où tout semblait devoir basculer pour mieux durer, sous des formes différentes. Ceux qui préparèrent la Révolution n’étaient pas tous des révolutionnaires et ils engendrèrent un enfant monstrueux qui les eût conduits à l’échafaud s’ils avaient vécu jusque-là.

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  • Léon Bloy contemplateur

    Frédéric Chassagne, actuellement directeur d’un lycée dans le Bordelais, est un lecteur assidu de Léon Bloy depuis plus de trente-cinq ans.

    Il a donc entrepris de sélectionner des écrits de ce Léon Bloy (1846-1917), romancier, essayiste et pamphlétaire qui se convertit au catholicisme en 1869 sous l’influence de l’écrivain Jules Barbey d’Aurevilly.

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  • La bibliothèque littéraire du jeune Européen, 400 œuvres de fiction essentielles

    La bibliothèque littéraire du jeune Européen, 400 œuvres de fiction essentielles

    Dans un nouvel ouvrage, Alain de Benoist et Guillaume Travers présentent un véritable condensé de culture européenne à défendre. Une somme de livres que tout jeune Européen doit lire en priorité.

    Quel intérêt 400 œuvres de fiction peuvent-elles représenter dans la vie d’un jeune Européen ? Qu’apporte la lecture et l’échappée du réel dans le fictif à un jeune en quête d’enracinement dans le présent et d’action concrète ? Que devons-nous à ces 400 auteurs ayant vécu à divers moments de l’histoire de l’Europe ?

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