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culture et histoire - Page 361

  • Louis XVII (Hélène Becquet)

    Hélène Becquet, ancienne élève de l’Ecole nationale des chartes, est agrégée d’histoire et docteur en histoire.

    Né en 1785, mort en 1795, le fils de Louis XVI n’a eu qu’une existence éphémère sur laquelle il n’a guère eu de prise. Ce livre raconte l’histoire d’un prince devenu roi trop tôt, auquel la Couronne aura finalement coûté la vie, mais offert la postérité.

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  • Martin Luther, la face cachée d’un révolutionnaire (Angela Pellicciari)

    Angela Pellicciari est une historienne et une spécialiste des rapports entre la papauté et la franc-maçonnerie.

    Si les catholiques ont de tout temps subi les calomnies et les persécutions, à partir de 1517, la persécution contre l’Eglise se renforce parce que, à la suite de Luther, de nombreuses nations devenues protestantes voient leur haine contre Rome justifiée par la prédication de cet ex-moine augustinien devenu le « Moïse allemand ».

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  • Le réveil de la Revanche

    Marthe- film sur la guerre de 14

    La Revanche aurait été la vraie souveraine de la France durant la troisième République jusqu’à la Grande Guerre ?

    L’idée n’est pas neuve pour Maurras quand il la reprend dans son article du 11 août 1914. Il l’a déjà utilisée, dans Kiel et Tanger en particulier. Qu’est-ce à dire ?

    Le roi de France pourrait être remplacé par une idée ? faute de souverain, on accepterait une sorte de royauté abstraite, celle du pays, du peuple sur le territoire, bref l’idée de la nation remplacerait le roi, ou du moins lui servirait de succédané dans des temps sombres ou pour faire face au péril ?

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  • Lire ses classiques : La Civilisation de la Renaissance en Italie

    Raphael

    Œuvre foisonnante, la Civilisation de la Renaissance en Italie de Jacob Burckhardt (1860) s'attache à décrire l'émergence de l'individu moderne.

    La thèse

    La Civilisation de la Renaissance en Italie est moins une histoire qu'un portrait : celui de la mentalité d'un peuple (Volkgeist) et de l'esprit d'un temps (Zeitgeist), l'une et l'autre indissociablement liés dans une civilisation que l'on ne peut appréhender que par l'histoire culturelle (Kulturgeschichte).

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  • André Gandillon: « La science n’aurait jamais existé sans le christianisme » – Origine, grandeur et décadence de la civilisation européenne

    M. André Gandillon, rédacteur en chef de la revue « Militant » expose les origines, la grandeur et la décadence des peuples indo-européens qui occupent tout le Nord de la planète.

    « La science a pu naître grâce à la civilisation chrétienne, au cadre moral et métaphysique du christianisme. Mais aujourd’hui, étant donné qu’on a retiré ce cadre qui permettait à la science de se tenir, (…) eh bien aujourd’hui la science tend à devenir folle, car elle est sortie du cadre qui l’avait fait naître et qui lui permettait d’être féconde. » « La grande rupture se situe de façon factuelle à la Révolution de 1789, mais en raison du renversement de rationalité qui s’est produit à partir de la fin du XVIIème siècle et au long du XVIIIème, – la période des Lumières – qui a fait basculer l’homme qui était soumis à des lois universelles dans le rationalisme, c’est-à-dire des notions uniquement fondées sur la raison humaine, fondement et origine de toute chose… » « Si l’homme s’affranchit des règles universelles qui lui permettent d’avoir une vie équilibrée, on arrive à un monde subverti qui fait qu’on va trouver tout-à-fait normal demain de marcher sur les mains plutôt que sur les pieds. » « C’est ce qui arrive quand l’homme se fait Dieu lui-même. »

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  • Jakob Burckhardt : un regard sur l'histoire mondiale

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    Historien suisse d'expression allemande, Jacob Burckhardt est né en 1818 à Bâle (Suisse). Fils d'un pasteur calviniste, il se destine à la théologie, avant d'entamer des études historiques à Berlin, en 1839. Il y subit l'influence de Leopold von Ranke (1795-1886), qui tente de mettre l'histoire au service du nationalisme prussien : sa première étude, consacrée en 1840 à Charles Martel, se ressent de cette philosophie de l'histoire. À partir de 1848, il cherche à concilier histoire politique et histoire de l'art. Des voyages en Italie (qui lui inspireront la rédaction d'un guide touristique, le Cicerone, en 1855) et son expérience de l'enseignement de l'histoire de l'art à Bâle à partir de 1858 — il est l'un des premiers à utiliser des documents photographiques — le décident à se consacrer à l'histoire italienne. La Civilisation de la Renaissance en Italie, publié en 1860, lui vaut une célébrité immédiate. La parution de ses notes de cours sur la civilisation grecque en 1898, l'année de sa mort, impressionna et influença grandement Nietzsche.

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