Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 362

  • L’Action Française et l’Islam (V/XI)

    islam-et-af.jpg

    1990 – L’immigration

    Nous décalons cet article prévu habituellement dans le cadre d’une série sur le thème de « L’Action Française et l’Islam » le mercredi, exceptionnellement à jeudi car l’actualité exige de réagir parfois au plus près des évènements. Mais dès la semaine prochaine nous reviendrons à l’ordre de parution hebdomadaire normal, soit chaque mercredi. Que les lecteurs assidus de cette passionnante étude veuillent bien nous pardonner. (AF)

    L’acte principal de la décolonisation « à la française » fut, au début de la décennie 1960, l’indépendance algérienne. Elle était censée nous libérer du poids des efforts considérables faits pour arracher la population musulmane d’Algérie au sous-développement. Trente ans plus tard, en 1990, l’immigration est devenue un poids pour la France. Encore 30 ans, et en 2021, l’islamo-gauchisme menace l’existence même du pays. A chaque étape, les maurrassiens ont voulu définir une issue politique fondée sur la raison.

    Lire la suite

  • Ungern-Sternberg le “baron sanguinaire”

    Qaq6qtlNo_U7oHD7WA9ETSXLBQc.jpg

    Le livre de Ferdinand Ossendowski, Bêtes, Hommes et Dieux (1) dont la traduction italienne va d’ailleurs être rééditée, connut une très large diffusion lorsqu’il parut en 1924. Ceux qui ont lu cet ouvrage ont été généralement sensibles au récit des péripéties du voyage mouvementé que fit Ossendowski en 1921-1922, à travers l’Asie centrale, pour fuir les Bolcheviks, mais aussi à ce qu’il rapporte au sujet d’un personnage d’exception qu’il rencontra, le baron von Ungern-Sternberg, sans oublier ce qui lui fut dit à propos du “Roi du Monde”. Nous désirons revenir ici sur ces deux derniers points.

    Lire la suite

  • Les danses traditionnelles, ou l’identité joyeuse

    Les danses traditionnelles, ou l’identité joyeuse

    Il ne s’agit pas là de vulgaire folklore, encore moins d’un spectacle pour exhiber d’anciennes coutumes oubliées devant un public à l’œil nostalgique. Non, la danse traditionnelle et la musique qui l’accompagne constituent l’expression la plus totale, la plus physique et la plus spirituelle d’un peuple, d’une région tout entière.

    Comme le sang qui coule dans nos veines et tambourine à nos tempes, ces danses rythment nos vies au même tempo que celle de nos ancêtres. Les musiciens traditionnels actuels l’ont bien compris, car ils réactualisent de vieux airs et de nouvelles danses voient le jour, toujours dans un esprit de tradition. Ces danses créent une harmonie, une osmose telle que l’on a la réelle et palpable sensation de faire partie d’un « grand tout », indivisible et unique.

    Lire la suite

  • Le siècle de Louis XIV

    Sous la direction de Jean-Christian Petitfils, ils sont une vingtaine d’historiens à avoir participé à la rédaction de cet ouvrage qui dresse un vaste panorama du siècle de Louis XIV.

    Avec le troisième centenaire de la mort de Louis XIV, le temps de la synthèse est venu. Plusieurs chapitres se concentrent sur la personnalité du roi.

    Lire la suite

  • Quand le lys affrontait les aigles

    montplaisir.jpg

    Lu dans les 4 Vérités:

    Daniel de Montplaisir est un historien rigoureux, doublé d’un talentueux conteur. Après un passionnant « Quand le lys terrassait la rose » sur les relations franco-anglaises depuis sept siècles, il vient de publier un non moins passionnant récit sur mille ans de relations franco-allemandes. Il est assez remarquable que le récit s’arrête à la veille de la guerre de 1870 et de cette longue guerre entrecoupée de fragiles armistices qui finira (momentanément ?) en 1945. C’est que l’auteur est plus admiratif de la tranquille affirmation de soi par la nation capétienne que du nationalisme cocardier qui naquit à la Révolution, jeta le chaos en Europe avec Bonaparte, et multiplia les erreurs (souvent doublées d’héroïsme) sous la IIIe République.

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-le-lys-affrontait-les-aigles/

  • Dans son nouvel album, le groupe de rock patriote FRACTION scande “Jamais un genou à terre !”

    Fraction "Réveille-toi !"

    14/12/2021 – FRANCE (NOVOpress)
    Après son retour marquant au mois de janvier 2021 avec la chanson “Dictature sanitaire”, le groupe de rock Fraction revient avec un album intitulé “Réveille-toi !”.

    FRACTION a également décidé d’innover en proposant – en avant-première – son album en version Clé USB dans un boitier personnalisé.
    Pourquoi un tel choix ?
    L’album sera également disponible en streaming (uniquement 2 titres dans un premier temps) et dans un beau format Digipack (dans quelques jours), mais le groupe considère que la clé USB est un moyen supplémentaire de distribution permettant de toucher le plus de fans de musique, de part la présence de ports USB sur la majorité des appareils multimédias. Il est ainsi plus facile d’écouter l’album en branchant la clé USB dans sa voiture, sur son ordinateur, une TV ou une enceinte.

    Lire la suite

  • La légende d'Ungern, le dernier général Blanc 2/2

    UtNUviBtOdZsLhy_Wgz33p0GIn4.jpg

    Wrangel (célèbre général de l'armée blanche, commandant en chef des armées du Sud), qui l'eut sous ses ordres durant la Guerre mondiale, a dit de lui : « Les hommes de sa trempe sont inappréciables en temps de guerre et impossibles en temps de paix ». Pour le baron Ungern, c'est toujours la guerre. Cadet du tsar, mercenaire en Mongolie, officier de cosaques en compagnie du futur ataman (chef des cosaques) Séménov en 1914, petit, malingre, il possède une santé de fer et une énergie farouche, mais son style n'est pas celui d'un officier traditionnel. « Débraillé, sale — dit Wrangel —, il dort sur le plancher parmi les cosaques, mange à la gamelle. Des contrastes singuliers se rencontraient en lui : un esprit original, perspicace, et, en même temps, un manque étonnant de culture, un horizon borné à l'extrême, une timidité sauvage, une furie sans frein, une prodigalité sans bornes et un manque de besoins exceptionnel ».

    Le gouvernement de Pékin et celui de l'amiral Koltchak (chef suprême des armées blanches de novembre 1918 à sa mort en 1920, qui instaura un gouvernement militaire en Sibérie) sont hostiles à cette initiative et font pression sur le bogd (prince royal) d'Ourga qui finit par se récuser.

    Lire la suite

  • L’Islam est-il notre avenir ? de Jean-Louis Harouel

    L’Islam est-il notre avenir ? de Jean-Louis Harouel

    « L’islam est-il notre avenir ? ». Les esprits chagrins avanceraient que le simple fait de poser la question donne déjà la réponse. Pour Jean-Louis Harouel, il ne semble pas y avoir de fatalisme même à l’heure terrible que nous vivons. Son essai est au contraire l’occasion d’interroger avec force les rapports que notre civilisation a entretenus avec l’islam depuis son avènement, comme pour faire sortir nos contemporains de leur heureuse léthargie.

    Lire la suite

  • Les Zouaves Pontificaux (Alain Pichon)

    Alain Pichon, passionné d’histoire militaire et d’uniformologie, s’est intéressé durant de longues années aux Zouaves Pontificaux au sujet desquels il avait rassemblé une documentation considérable.

    Il en est né ce livre très riche en témoignages et informations sur cette épopée extraordinaire. On y trouve des photographies d’époque, les détails de l’organisation militaire des Zouaves Pontificaux, la description de leurs uniformes et de leur armement, de leurs médailles et décorations, fanions, drapeau et bannière, ainsi qu’un impressionnant ensemble de documents, facs-similés de lettres, et jusqu’au chant des Zouaves avec sa partition.

    Lire la suite

  • Fondements du nationalisme russe

    La Russie, dans son histoire, a toujours été étrangère aux dynamiques euro­péennes. Son nationalisme, son idéologie nationale, sont marquées par un double jeu d’attraction et de répulsion envers l’Europe en particulier et l’Occident en général. Le célèbre slaviste italien Aldo Ferrari nous le rappel­le : du Xe au XIIIe siècles, la Russie de Kiev est bien inserée dans le sys­tème économique médiéval. L’invasion tatare l’arrache à l’Occident, puis la Principauté de Moscou, en se réorganisant et en combattant les résidus de l’Empire Tatar, se veut une nouvelle Byzance orthodoxe, différente de l’Oc­cident romain ou protestant. La victoire de Moscou amorce l’élan de la Rus­sie vers les immensités sibériennes. De l’avènement de Pierre le Grand au règne de Catherine II et au XIXe siècle, s’opère un timide rapprochement avec l’Ouest. Pour bon nombre d’observateurs, la révolution communiste inaugure une nouvelle phase de fermeture autarcique, de désoccidentalisation, en dépit de l’origine ouest-européenne de son idéologie, le marxisme.

    Lire la suite