culture et histoire - Page 370
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Parapsychologie, l’étude des phénomènes PSI ou la magie psychique
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L’Action Française et l’Islam (III/XI)
1930 – La dernière époque coloniale
Par PHILIPPE LALLEMENT
On se rappelle la prémonitoire inquiétude qu’exprima Maurras lors de la construction de la Mosquée de Paris en 1926 : « Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. Il n’y a peut-être pas de réveil de l’Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve aussi être la plus vaine des choses. Mais s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on en puisse douter, un trophée de cette foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où enseignèrent tous les plus grands docteurs de la chrétienté anti-islamique représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir. »[1]
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La géopolitique de Staline 1/4
• Avant-propos : La question territoriale russe a été primordiale. Immédiatement après la Révolution de 1917. Néo-nationaliste russe d’aujourd’hui, Sergueï Constantinov dévoile dans son texte — qui choquera sans doute beaucoup d’Occidentistes sinon d’Occidentaux — ce que retiennent les patriotes actuels du stalinisme. Ils reprochent à Lénine et à Gorbatchev d’avoir accepté le principe de la sécession et adhèrent au principe stalinien de l’autonomie sans droit de sécession. Ces questions peuvent paraître vaines à l’observateur ouest-européen d’aujourd’hui, mais le débat entre Lénine et Staline sur les questions nationalitaires dans l’ex-empire russe ou dans l’ex-URSS constituent un débat de base sur toute organisation continentale.
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« Au Nom du Christ Roi » – Jacques Cathelineau, général vendéen (Stéphane Hiland)
Stéphane Hiland est un spécialiste de l’histoire de la Révolution française et des héros vendéens.
Avec ce livre, il s’adresse à la jeunesse pour lui faire découvrir un modèle, Jacques Cathelineau (1759-1793). Dès son plus jeune âge, Jacques Cathelineau témoignait d’une dévotion assidue au Sacré-Cœur de Jésus. Plus tard, humble père de famille nombreuse, il est devenu, à la suite de la Révolution française et de ses persécutions antichrétiennes, le premier généralissime de l’Armée catholique et royale et a été surnommé par les Vendéens « le saint de l’Anjou« .
Exemple de dévouement et de piété, Jacques Cathelineau a fait le sacrifice de sa vie au nom du Christ Roi. Son valeureux courage et sa foi inébranlable sont restés légendaires.
La jeunesse qui a soif d’idéal se régalera de ce beau récit admirablement illustré par des dessins de Daniel Lordey.
« Au Nom du Christ Roi » : Jacques Cathelineau, général vendéen, Stéphane Hiland, éditions Téqui, collection Les Sentinelles, 110 pages, 10 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
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#97 - Marcel Gauchet pour le livre "Après Jésus, L'invention du christianisme"
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Le Quotidien Présent sort son 10 000e numéro
Francis Bergeron souligne :
[…] C’est un véritable trésor, très peu exploré par les historiens, et très peu exploité à ce jour, au-delà de la seule journée de publication de chacun de ces numéros. En feuilletant la collection, on reste surpris par la qualité des papiers publiés, par la somme de talents ainsi réunie, mais aussi par la pertinence des analyses. Le journal a connu des trous d’air, quand notre famille spirituelle et nos amis politiques se divisaient (l’affaire des sacres, la scission mégrétiste, les querelles de personnes), mais ils furent toujours suivis par des rebonds, quand la pérennité du titre paraissait menacée, quand les comptes du journal annonçaient sa disparition. Car les rapports entre l’équipe de Présent et ses lecteurs ne sont pas ordinaires, et ces derniers se sont toujours mobilisés quand procès, mauvais coups ou divisions menaçaient le titre.
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Le règne de l’homme-masse, une fatalité ? (Jose Ortega y Gasset)
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Pour la plus grande gloire du roi (Véronique Meyer)
Véronique Meyer, professeur d’histoire de l’art à l’université de Poitiers, est spécialiste de l’estampe à l’époque moderne.
Sous l’Ancien Régime, les étudiants de Paris et des principales villes du royaume, issus tant des collèges de philosophie que des facultés de théologie, de médecine et de droit, avaient coutume de dédier les thèses qu’ils soutenaient à des mécènes plus ou moins prestigieux. Les plus fortunés faisaient à l’occasion imprimer une estampe qui surmontait la dédicace. Cette pratique se développa en France au début du XVIIe siècle et y atteignit son apogée. Gravées pour la plupart au burin, les thèses qui furent dédiées à Louis XIV comptent parmi les plus prestigieuses.
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Histoires navales
Long John Silver (Lauffray et Dorison)
Le célèbre pirate du roman L’Île au trésor revient dans une aventure semée de dangers à cause d’une lady au fort caractère. Des côtes anglaises jusqu’au cœur de la jungle amazonienne, le grand pirate vivra encore bien des péripéties.
Une histoire sombre pour adultes, des dessins particulièrement travaillés.
Série de 4 tomes.
Les grandes batailles navales (dir. Jacques Delitte)
Une remarquable collection parrainée par le musée national de la Marine et scénarisée par Jean-Yves Delitte, le peintre officiel de la Marine, où se relaient des dessinateurs talentueux pour nous faire revivre les grandes batailles navales qui firent l’histoire. Chaque volume ayant en plus l’avantage de se terminer par un cahier historique qui met en perspective ladite bataille.
Pour ne parler que de Lépante, les auteurs nous font revivre cette bataille décisive – qui mit fin le 7 octobre 1571 à l’expansionnisme ottoman en Europe – en utilisant deux personnages de fiction : Don Quichotte et Sancho Panza, les célèbres héros créés par Cervantes. Choix qui n’est pas dû au hasard, ce dernier ayant été lui-même engagé à l’âge de 24 ans dans la bataille où il perdit la main gauche.
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LE SIÈCLE CHRÉTIEN (1235/1239) - sainte Couronne d'épines / croisade des barons