Le Point
C'est un lycéen strasbourgeois de 15 ans. Sa découverte lui vaut de faire la une du magazine scientifique britannique "Nature".
Avec son père astrophysicien anglais du CNRS et d'autres chercheurs, il a découvert qu'une grande partie des galaxies naines voisines de la galaxie géante Andromède effectue une rotation autour de cette dernière. Une théorie qui remet en cause "tout un pan de l'astrophysique moderne", a réagi fièrement sur RTL Rodrigo Ibata, père de Neil.
À la fin des vacances d'été, son père a voulu lui apprendre la programmation. "J'ai demandé à mon fils de programmer une modélisation des mouvements de ces galaxies naines et en un week-end, il a découvert qu'elle formait un disque qui tournait !" a expliqué Rodrigo Ibata dans le journal L'Alsace. Rodrigo Ibata et son équipe ont ensuite interprété les résultats pour en conclure que le placement des petites galaxies autour des grosses ne se fait pas de manière aléatoire.
La théorie de la gravité à revoir ?
Neil a avoué sur RTL que la tâche avait été "relativement complexe". "J'ai pu utiliser les notions de vecteur qu'on avait abordés récemment avec mon professeur de mathématiques." Selon ce lycéen en 1re scientifique, ces travaux remettent en cause la théorie de la gravité. En tout cas, "il y a quelque chose qui ne va pas, mais on ne sait pas où."
"Cela faisait plusieurs années que des astronomes prétendaient que les galaxies naines situées dans le voisinage de plus grosses structures comme Andromède ou notre Voie lactée n'étaient pas réparties de façon aléatoire", a déclaré Neil au Figaro. "La physique d'Einstein et de Newton n'est pas exactement correcte", a ajouté son père sur RTL. Neil, qui n'avait pas "bien compris sur le moment les implications que sa découverte pouvait avoir", aimerait travailler la physique théorique plus tard. Il a sans nul doute un bel avenir devant lui.
Avec son père astrophysicien anglais du CNRS et d'autres chercheurs, il a découvert qu'une grande partie des galaxies naines voisines de la galaxie géante Andromède effectue une rotation autour de cette dernière. Une théorie qui remet en cause "tout un pan de l'astrophysique moderne", a réagi fièrement sur RTL Rodrigo Ibata, père de Neil.
À la fin des vacances d'été, son père a voulu lui apprendre la programmation. "J'ai demandé à mon fils de programmer une modélisation des mouvements de ces galaxies naines et en un week-end, il a découvert qu'elle formait un disque qui tournait !" a expliqué Rodrigo Ibata dans le journal L'Alsace. Rodrigo Ibata et son équipe ont ensuite interprété les résultats pour en conclure que le placement des petites galaxies autour des grosses ne se fait pas de manière aléatoire.
La théorie de la gravité à revoir ?
Neil a avoué sur RTL que la tâche avait été "relativement complexe". "J'ai pu utiliser les notions de vecteur qu'on avait abordés récemment avec mon professeur de mathématiques." Selon ce lycéen en 1re scientifique, ces travaux remettent en cause la théorie de la gravité. En tout cas, "il y a quelque chose qui ne va pas, mais on ne sait pas où."
"Cela faisait plusieurs années que des astronomes prétendaient que les galaxies naines situées dans le voisinage de plus grosses structures comme Andromède ou notre Voie lactée n'étaient pas réparties de façon aléatoire", a déclaré Neil au Figaro. "La physique d'Einstein et de Newton n'est pas exactement correcte", a ajouté son père sur RTL. Neil, qui n'avait pas "bien compris sur le moment les implications que sa découverte pouvait avoir", aimerait travailler la physique théorique plus tard. Il a sans nul doute un bel avenir devant lui.