Peu de gens osent aujourd’hui remettre en question la pertinence, l’influence internationale et le pouvoir économique des organisations politiques LGBT. Il est pourtant bien utile de s’intéresser par exemple au rôle de l’Association lesbienne et gay internationale (ILGA).
Ce lobby est-il influent en raison de sa représentativité sociale ou de sa force économique donnée par ses membres, affiliés et sympathisants ? La réponse est non, et son apparente force sociale est un montage artificiel dénué de toute représentativité.
D’où vient le pouvoir économique de l’homosexualisme politique ?
La réponse à cette question peut être envisagée à travers l’exemple de l’ILGA, qui regroupe environ 356 organisations LGBT en Europe, avec un budget en 2013 de 2.032.400€ selon les données du «registre de transparence» de l’ILGA-Europe, publiées par l’Union européenne.
Cependant, loin de ce qu’on pourrait attendre d’une organisation qui se prétend représentative et affirme disposer de millions de sympathisants, près des trois quarts du budget de l’organisation, à savoir 69,28%, sont couvert par des subventions publiques de l’ Union européenne mais aussi des États membres.