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La division, maladie infantile du souverainisme français

Une large union des patriotes français, de tous horizons, de droite et de gauche. Beaucoup y croyaient.   

Beaucoup y croyaient. Une large union des patriotes français, de tous horizons, de droite et de gauche. Une grande synthèse des jaurésiens et des maurrassiens, des capétiens et des gaullistes. Bref, l’union sacrée sur la France, celle capable de vibrer uniment « au souvenir de Reims » et au « récit de la fête de la Fédération », selon les mots fameux de l’historien Marc Bloch.

Le micro-parti SIEL (Souveraineté, indépendance et libertés), fondé en 2012 par l’ancien député européen Paul-Marie Coûteaux, portait cette promesse, tandis que son alliance avec le FN de Marine Le Pen, au sein du Rassemblement Bleu Marine (RBM), en constituait la plus sûre des garanties.

Las ! Après une accumulation malheureuse de maladresses et d’erreurs successives par l’intéressé, tant au détriment du SIEL lui-même qu’au préjudice d’image du RBM, Marine Le Pen, exaspérée, a fini par le répudier. La crise couvait depuis plusieurs mois. Elle a même fini par arborer un double visage, Karim Ouchikh (président exécutif du SIEL) peinant à faire respecter les termes du partenariat. Un congrès devrait se tenir le 21 juin prochain à Paris.

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