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La nation, voilà la survie ! par Bernard Pascaud

Qui cherche à discerner les grandes lignes d’intelligibilité des forces de la Révolution actuellement en œuvre dans le monde, en Europe et en France, peut en repérer aisément deux principales. L’une concerne la personne humaine : il s’agit de « déconstruire les stéréotypes de genre », de chosifier l’embryon, de promouvoir l’avortement et l’eugénisme, le « droit au suicide »,... 

... « l’assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité », de « créer une nouvelle civilisation », bref de nier la nature humaine dans ce qu’elle a de plus sacré à rebours de l’anthropologie la mieux établie. L’autre grand axe est d’ordre géopolitique et correspond au mondialisme, c’est-à-dire la remise en cause du droit des États à avoir leur identité, leur indépendance et leur modèle politique propre.

Au regard de ces deux grandes manouvres de déconstruction de la société humaine on mesure combien l’idée nationale qui sous-tend notre projet politique peut constituer la réponse la plus pertinente. A condition, bien sûr, d’entendre par nation non point l’amalgame indifférencié d’individus-électeurs, mais cette famille de familles qui est la reconnaissance de tous les corps sociaux où vit et s’épanouit la personne humaine. [...]

La suite sur La Faute à Rousseau

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