Passivité criminelle ou manque de moyens financiers des structures policières ?
Je viens de passer deux heures à surfer sur quelques comptes Twitter, l’un entraînant l’autre. Ce que j’ai vu et lu est effrayant, et ne laisse augurer rien de bon de notre futur immédiat, tant il y a déchaînement de haine dans les tweets visibles de tous, y compris des plus fragiles.
Je veux parler essentiellement de cette actualité qui préoccupe non seulement les Français mais tous ceux qui vivent dans un pays où être chrétien, juif ou agnostique n’est pas un crime : les actes commis par des islamistes arabes et occidentaux.
Sur Twitter, et par extension sur Facebook et autres réseaux sociaux, tout peut être diffusé. L’amour comme la haine. Les insultes comme les compliments. Ces réseaux dits sociaux mais souvent asociaux, permettent de déverser ses sentiments, ses ressentiments, plus librement encore que dans un cabinet de psychiatrie ou dans un confessionnal.