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Mairies FN: un bon premier bilan

La dette publique d’une France sous tutelle bruxelloise vient d’atteindre la somme colossale et symbolique des 2000 milliards d’euros (95,1% du Produit intérieur brut, 30 000 euros par Français). Une dérive dont les précédents gouvernements UMP sont collectivement responsables puisque cette dette a augmenté de 1000 milliards entre 2002 et 2012 (dont 600 milliards entre 2007 et 2012). Les Français  devront aussi s’en souvenir en 2017. La justice elle, a pris les devants sur le front des affaires et l’étau se resserre autour de Nicolas Sarkozy et d’une UMP éclaboussée par lescarambouilles financières. Elles traduisent au mieux un amateurisme (pour rester poli) assez consternant pour un parti qui se veut « de gouvernement ». Hier, les deux cofondateurs de la société Bygmalion, un très bon ami de Jean-François Copé, Guy Alvès, et Bastien Millot ont été mis en examen pour complicité de faux et d’usage de faux. Franck Attal, ex-patron de Event and Cie, une filiale de Bygmalion a lui aussi été mis en examen pour faux et usage de faux. Mises en examen qui sont la suite logique de l’ouverture par la justice d’une information judiciaire pour faux et usage de faux, abus de confiance ettentative d’escroquerie. Bygmalion est l’élément central de cette affaire de fausses factures présumées, dont MM. Copé et Sarkozy jurent toujours la main sur la coeur qu’ils en ignoraient tout (!),  qui auraient eu pout objectif d’imputer faussement à l’UMP des dépenses engagées pour la campagne présidentielle de 2012.
Selon son avocat, Me Patrick Maisoneuve, Guy Alvès aurait confirmé un truquage des comptes de campagne du candidat Sarkozy. Dans le cadre de cette même enquête, ce sont ce matin trois  anciens responsables de  l’UMP qui ont été interpellés à leur domicile, l’ex-directrice des affaires financières du parti Fabienne Liadze, son ex directeur de la communication Pierre Chassat, et l’ancien directeur général adjoint Éric Cesari, un proche du mari de Carla Bruni, « l’œil de Sarkozy » comme il était surnommé à l’UMP…
Loin, très loin de cette ambiance délétère, l’opposition nationale fait la preuve de son sérieux.Les maires frontistes avaient promis aux électeurs qu’ils feraient en sorte, dans une conjoncture économique et sociale très difficile, souvent accentuée par la gestion catastrophique des exécutifs UMPS en place, d’honorer leurs engagements. En l’espèce d’enrayer ou de faire baisser la pression fiscale, d’arrêter les subventions aux associations dites éducatives et/ou culturelles qui ne le méritent pas -subventions qui consistent en fait à acheter la paix civile ou des clientèles électorales-, de tâcher de rétablir la sécurité et un cadre de vie agréable par la promotion aussi de ce que l’on pourrait appeler pour faire court notre culture nationale commune.Force est de constater qu’au bout de six mois les édiles frontistes ont largement tenu leurs promesses.
Faute de pouvoir les attaquer sur le sérieux de leurs gestions, que les grands électeurs, même n’appartenant pas au FN, ont à l’évidence reconnu aux maires frontistes de Fréjus et du 7ème secteur de Marseille en les envoyant siéger au Sénat, de belles âmes se sont émues de tout et de rien dans leur quête frénétique de voir poindre le museau de la Bête.
Si les Fréjusiens ne sont pas sentis lésés par la disparition du drapeau de Bruxelles au fronton de leur mairie depuis que David Rachline y est installé, les commissaires politiques de la caste se sont indignés que le maire d’Hayange, Fabien Engelmann, fasse repeindre en tricolore des wagons de mine à l’entrée de la ville (quel scandale!). Ou encore de l’interdiction à Béziers, par arrêté municipal, de cracher par terre (mesure élémentaire d’hygiène et de savoir-vivre) ou de suspendre son linge au balcon (mesure esthétique).
Les mêmes donneurs de leçons ont crié au scandale devant la décision de Joris Hebrard, maire duPontet, de supprimer la gratuité totale de la cantine scolaire à des fins d’économie et de responsabilisation, le coût du repas le midi atteignant désormais pour les 65 familles concernées la modique somme de 1, 57 euros par enfant. La preuve du tropisme antisocial du FN ont hurlé les chiens de Pavlov de l’assistanat et/ou du  gauchisme bas de plafond.
Même déchainement de la caste face au souhait du maire de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, de rendre hommage à l’écrivain et député nationaliste Maurice Barrès en lui donnant le nom d’un parking de la ville -voir notre blogue. Les vieilles chaisières de la religion cosmopolite ont beuglé de la même manière dernièrement encore devant son refus que seul un spectacle de danse orientalesoit donné au Gala des associations début septembre. « Nous sommes en Provence.. » à  fait valoir l’élu FN. Encore faudrait-il il est vrai, que ses adversaires sachent la situer sur une carte…
Dans le cadre de la lutte contre le fascisme, d’autres indignés professionnels ont salué comme unacte de résistance (sic) , le départ des « assos » et surtout du « festival électro » de Beaucaire, subventionné en partie par la commune. Un déménagement que son maire, notre dynamique amiJulien Sanchez, a accueilli avec son humour proverbial, le détachement nécessaire… et un souci d’économie pour ses administrés qui ne l’est pas moins.
A Hénin-Beaumont comme à Mantes-la-Jolie, Steeve Briois et Cyril Nauth entendent pareillement gérer leur commune en bon père de famille et sans rien céder au chantage des lobbies communautaristes et immigrationnistes. Un autre de nos élus, le tout aussi pugnace et courageux maire de Villers-Cotterêts, Franck Briffaut, n’a pas plié lui aussi devant la meute.
Celle qui réclamait notamment qu’il fasse repentance,  nous nous en étions fait l’écho, à l’occasion de la journée de commémoration de l’esclavage dans cette ville, patrie du grand écrivain populaire d’origine antillaise  Alexandre Dumas.
Dernière épisiode en date, rapporté notamment par une dépêche de l’Afp, l’adjoint chargé du Logement dans cette commune, Robert Hiraut, aurait manifesté la preuve de son supposé racismeen reprochant à « un Antillais », Albert Baudry,  » d’être mal garé ». Une sérieuse affaire d’Etat, jugeons-en plutôt: « Selon la compagne de ce dernier, présente sur place explique l’Afp,  l’élu tient alors des propos déplacés. Il a provoqué mon mari, lui a dit des mots racistes: Tu n’est pas dans ta cambrousse ici, retourne dans ta cambrousse« , rapporte-t-elle.
Dans cette ville qui a donné son nom à  l’édit qui consacra l’utilisation de la langue française dans le royaume, gageons qu’Alexandre Dumas, qui lui connaissait le sens des mots, aurait été surpris que  le terme cambrousse puisse être aussi faussement et  malignement interprété!
C’est en tout cas le sentiment du maire FN qui « tout en reconnaissant que le ton est peut-être montéentre son adjoint et les époux Baudry », dénonce « l’exploitation politique d’une histoire clochemerlesque. Moi je disais ça quand je parlais avec un paysan : dans ta cambrousse. Parce que la personne serait martiniquaise ou antillaise, ça pourrait être présupposé, venant d’un élu du Front National, comme une atteinte à caractère raciste ? On est dans un monde délirant ! (…°). Dès qu’il y a une ville Front National, tout est bon, c’est la curée, on fouille les poubelles! ».
Certainement » bien orientés » , les époux Baudry ont déposé plainte pour injure à caractère raciste. La coquille vide communautariste du trés contesté Louis-Georges Tin, baptisée par antiphraseConseil représentatif des associations noires de France (Cran), a sauté sur l’occasion pour se faire un petit peu de pub en constituant partie civile auprès du tribunal de Soisson. En toute logique,Robert Hiraut a porté plainte pour diffamation, après des accusations de racisme, notamment sur internet a précisé Franck Briffaut.
Au-delà des calomnies, des mensonges évoqués ici, qui illustrent assez bien l’indigence des arguments de nos adversaires souligne Bruno Gollnisch, nos compatriotes peuvent être assurés que les maires frontistes comme les autres dirigeants du Front National, n’entendent pas dévier du droit chemin qu’ils se sont fixés. Comme l’écrivait Alexandre Dumas,  « Quand le cœur est pur, la main est ferme« …

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