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Nicolas Sarkozy : un projet qui ne dit pas son nom ?

Le peuple de France n’a tout simplement pas l’oreille de l’ancien Président, qui fit ratifier par voie parlementaire le traité simplifié de Lisbonne de la Constitution européenne (refusé trois ans auparavant par les Français par référendum)...

 

De retour au premier plan de l’actualité politique par la (re)prise en main de l’UMP et des sorties médiatiques maîtrisées (FNPS pour contrer le traditionnel UMPS), Nicolas Sarkozy met en place une tactique de parti politique sans regard à long terme pour les intérêts d’un pays dont il fut aux manettes durant plus de dix ans. Une liste de décisions phares de sa politique (ministre de l’Intérieur à deux reprises, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie puis président de la République) nous montre son action néfaste entre 2002 et 2012.

Soutenu par les médias anglo-saxons lors de la campagne présidentielle 2007, il avait été grimé en Napoléon (!) par The Economist d’avril de ladite année, titré « France’s Chance ». Quelle chance ! Même si le magazine britannique, en 2010, avait retourné sa ligne éditoriale en « The Incredible Shrinking President » (« L’incroyable président qui rétrécit »), Nicolas Sarkozy semble rester un obligé des intérêts supranationaux qui régissent de plus en plus le monde. Il s’apparente davantage à Jean Monnet, agent américain, qu’à un personnage public patriote. Une allégeance difficile à digérer pour la France.

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