
29/05/2025
Selon les résultats définitifs des législatives publiés mercredi 28 mai, devient officiellement le premier parti d’opposition au Portugal, un tournant dans le paysage politique du pays. (…)
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29/05/2025
Selon les résultats définitifs des législatives publiés mercredi 28 mai, devient officiellement le premier parti d’opposition au Portugal, un tournant dans le paysage politique du pays. (…)
Invité sur BFM TV ce mardi 27 mai, François Bayrou a remis sur la table le scrutin proportionnel, qu’il défend depuis de nombreuses années. « Je proposerai à l’Assemblée nationale, qui est souveraine, d’examiner cette question », a déclaré le chef du gouvernement.
On en a eu la gorge chaude jusqu’à l’angine de poitrine ces temps-ci du rapport sur les frangins muslims.
Les rieurs clament qu’il vaut mieux avoir la gorge chaude que la gorge profonde concernant nos politiciens, moi je dis que l’un n’empêche pas l’autre et que certains dont on taira les noms arrivent à être suffisamment chauds-profonds pour la sucette à l’anis-babouche qui cultivent l’en même temps comme d’autres cultivent leur cannabis sur leur balcon.
Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Le candidat de la strèmedroate à la présidentielle polonaise, Sławomir Mentzen (Confédération), arrivé troisième avec 14,8% des voix, invite les deux candidats du second tour à s’exprimer sur sa chaîne YouTube :
La triche est devenue la norme démocratique en Europe. Les mondialistes ne reculent devant rien pour gagner les élections. Un candidat souverainiste n’a plus aucune chance.
On se souvient qu’en 2020 Donald Trump avait été délesté de plusieurs millions de voix au cours de la nuit électorale la plus ahurissante de l’histoire des États-Unis.
L’élection présidentielle polonaise s’annonce serrée. Rafal Trzaskowski, le candidat libéral et pro-européen allié du Premier ministre Donald Tusk, n’a recueilli que 31,16 % des voix au premier tour.
Un pays ne peut pas défendre la démocratie en la détruisant. Il ne peut pas non plus lutter contre l’ingérence en devenant le saboteur en chef. Ce ne sont pas des paradoxes. C’est la réalité politique de la Roumanie post-électorale de 2025, où la volonté du peuple a été piétinée par une union de technocrates, une pression des services de renseignement étrangers et un fiat judiciaire. Ce n’est pas la démocratie. Il s’agit d’une imitation de la démocratie, conçue pour des raisons optiques et des résultats contrôlés.
Par Adègne Nova
Première élection présidentielle en Roumanie de fin 2024 : Călin Georgescu 22.94%, Elena Lasconi 19.18%, Marcel Ciolacu 19.15%, George Simion 13.86%, Nicolae Ciucă 8.79%, Mircea Geoană 6.32%, Hunor Kelemen 4.50%, Cristian Diaconescu 3.10%, Cristian Terheş 1.04%, Ana Birchall 0.46%, Ludovic Orban 0.22%, Sebastian Popescu 0.16%, Alexandra Păcuraru 0.16%, Silviu Predoiu 0.12%. Bon, Călin n’a pas l’heur de plaire à Ursula… critique à l’égard de l’Empire et de l’OTAN, opposé à aider l’Ukraine, ce n’est pas comme ça qu’on entre dans les p’tits papiers de la Bruxelloise.
Au programme ce soir, triste retour sur l’élection présidentielle roumaine. Le candidat mondialiste a remporté la victoire face au souverainiste de remplacement Simion. Une élection qui s’érigera en démonstration des ingérences étrangères, à commencer par celle de l’Elysée.