"« Ni droite, ni gauche », c’est le cri de ralliement des droitards légitimistes depuis 80 ans. Ceux qui revendiquent encore et toujours leur profession de foi réactionnaire, anti-républicaine et anti-laïque : "adhésion à la philosophie réaliste héritée d’Aristote et Saint-Thomas ; rejet du contractualisme rousseauiste, au profit d’une soumission au droit naturel ; déférence envers l’Histoire et l’héritage de nos pères ; références à la pensée contre-révolutionnaire de Maistre, Burke, Bonald". Avec Marion Maréchal-Le Pen, on est bel et bien de retour dans le salon de Maurras, bien loin de la libraire-papeterie de Poujade ou de la tombe du général à Colombey-les-deux-églises (que Philippot s’en va désormais fleurir tous les mois de novembre)."
Dans Charles, Marion Maréchal-Le Pen avoue ne pas comprendre "l’obsession de la République" et défend la France royaliste, fille ainée de l’Eglise. Une vision politiquement dangereuse ?
Voir la suite dans Challenges.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Marion-Marechal-Le-Pen-la-sombre