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Les femmes blanches doivent-elles craindre les moeurs exotiques?

Les agressions sexuelles de Cologne et des autres villes ont eu le mérite de rappeler aux Européennes que bien peu de peuples laissent vivre et s’épanouir les femmes comme c’est le cas sur notre continent. Si j’emploie le mot « rappeler », c’est pour bien souligner que nous n’avons pas eu besoin du récent déferlement de « migrants » sur notre sol pour comprendre qu’un grand nombre d’extra-Européens étaient peu enclins à respecter les femmes et qu’ils constituaient pour elles une menace à prendre très au sérieux. J’ajoute que les femmes blanches ne sont pas les seules à en souffrir mais nous sommes ici en Europe et c’est leur sort à elles qui m’importe plus particulièrement (ce qui ne signifie pas que je minimise ce qui peut arriver aux autres).

L’actualité récente a permis aux langues de se délier sur le sujet et il ne se passe plus un jour sans que les journaux ne parlent d’agressions sexuelles de Blanches (qui, à Cologne, l'ont bien cherché nous dit l'imam local)... On ne va pas s’en plaindre mais c’est essayer de nous faire croire en la nouveauté d’icelles. Ce qui est archi-faux. Ces agressions ont toujours été fort nombreuses et existent depuis que l’Europe subit les conséquences de l’immigration sauvage. La situation est devenue encore pire avec l’arrivée des pseudo-migrants mais existait déjà avant.

Le système, pour garder la face et continuer à faire croire en la fable duvivrensemble, a toujours tout fait pour cacher aux Européens la nature de ce problème, l’un des principaux posés par la présence de dizaines de millions d’étrangers inassimilables car non-blancs. On l’a encore vu à Cologne -où police, médias et politiciens ont tenté d’étouffer l’affaire avant que celle-ci n’explose de par son ampleur- ou en Suède. Ce pauvre pays scandinave, havre de paix il y a quelques décennies, est aujourd’hui le second pays du monde pour le nombre de viols par habitant ! Juste derrière l’Afrique du Sud ! Rien que dans la première moitié de l’année 2013 (avant l’arrivée des « migrants » donc) plus de 1.000 femmes (dont 300 de moins de 15 ans…) ont été violées par des immigrés musulmans à Stockholm ! Les autorités elles-mêmes reconnaissaient que ce n’était que la partie visible de l’iceberg et que le nombre de viols était supérieur, en réalité, de 400 à 900% aux chiffres connus ! Parlons-en de Stockholm : c’est encore là qu’a eu lieu une vague d’agressions sexuelles dans un festival pour adolescents. Sont concernés une centaine d’hommes, « principalement des étrangers » et demandeurs d’asile mineurs. La police, qui n’en a condamné aucun, a reconnu avoir caché cette information au public, ce qui a permis au pouvoir suédois de feindre l’étonnement devant les médias alors que c’est lui qui a transformé son pays en Etat du tiers-monde et a certainement ordonné la dissimulation de cette information.

Ailleurs en Europe (occidentale du moins), c’est du pareil au même. Certes, tous les viols commis en Europe (ou en Amérique du Nord) ne sont pas le fait de non-blancs mais l’immense majorité si. Quant aux violences non sexuelles, je prendrais comme support cette carte (voir ci-dessous) des violences conjugales qui, étrangement, montre que celles-ci sont très élevées dans les départements particulièrement touchés par l’immigration. D’ailleurs, à ce qu’on sait, les excisions, les mariages forcés, lapidations et autres joyeusetés du genre ne sont pas vraiment courantes dans la culture européenne... Ni le «taharrush gamea» (harcèlement sexuel des femmes dans les foules, comme à Cologne) d’ailleurs qui est une « forme de violence inédite qui n'entre pas dans un registre connu dans les pays européens, mais qui est en revanche fréquent dans les pays arabes où la police locale, connaissant ce phénomène, intervient immédiatement à coup de lanières ou de matraques. »

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Selon le même article, la vie n’est vraiment pas rose pour les femmes là-bas. On s’en doutait bien mais ça va mieux en le lisant :

« Selon un rapport des Nations unies réalisé en avril, 99,3 % des femmes et jeunes filles égyptiennes ont été victimes de harcèlement sexuel, un phénomène qualifié d'endémique. Une situation identique au Yémen et qui devient monnaie courante en Irak ou en Syrie où l'effondrement des structures d'Etat laisse libre cours à la violence à l'égard des femmes. »

Des hommes venus de ces pays ne sont-ils donc pas, à priori, extrêmement dangereux pour nos femmes ? Surtout quand on sait le sentiment de frustration sexuelle qui sévit chez eux et qu’ils ramènent -pour le plus grand bonheur de ces dames- quand ils s’installent chez nous. La menace envers les femmes blanches est totale ; pourquoi certains pays européens vont-ils donner des cours de « respect de la femme » à tous ces clandestins venus des pays arabes ou d’Afrique ?

Quant aux femmes qui trouvent que l’exotisme est « sexy » et qui suivent stupidement l’idéologie droit-de-l’-hommiste, elles risquent fort de découvrir à leurs dépens qu’il n’en est rien et que cet étranger fantasmé est finalement bien loin du prince charmant imaginé au départ… L’un des derniers exemples en date s’est déroulé à Florence où une artiste américaine de 35 ans (voir photo) a été tuée par un Sénégalais, Cheikh Tidiane Diaw, avec qui elle venait de tromper son mari (italien). Notre Roméo d’ébène, dealer de surcroît, a étranglé la femme adultère avec un câble et l’a frappée si bien que « son crâne a été fracturé en deux endroits ». Il a été confondu par son ADN trouvé sur le corps de celle-ci. Le profil de la victime était du genre bourgeoise « hype », travaillant dans l’événementiel, l’art, tout ça, tout ça… Elle trouvait certainement que les différences nous enrichissent. Elle a voulu tester le prétendu pouvoir sexuel africain. Elle en est morte.

Je vais terminer ce papier sur une note qui pourrait paraître étrange mais ne l’est pas tant que ça même s’il y a une pincée de Cannibal Holocaust dans cette histoire. Une américaine (encore !) qui faisait de la randonnée en Papouasie-Nouvelle Guinée « a été plusieurs fois violée avant que trois de ses doigts ne soient sectionnés ». Son mari était pendant ce temps-là attaché à un arbre… Les coupables ? Deux hommes armés de couteaux. Pas des cas isolés, pensez… Dans cette charmante région, c’est monnaie fréquente : « La semaine précédente, un Australien de 62 ans avait été abattu à Mount Hagen (centre). Une femme qui l'accompagnait, originaire des Philippines, avait été violée par dix hommes armés. Et en avril 2013, une universitaire américaine de 32 ans avait été victime d'un viol collectif. »

Là encore, je me contente de citer le même article qui dégouline de préjugés haineux sur les sympathiques mâles de ce doux endroit : « Les violences faites aux femmes sont très répandues en Papouasie-Nouvelle-Guinée, où 80% des hommes interrogés reconnaissaient avoir déjà agressé leur partenaire, dans une enquête publiée en 2013 par l'ONU. »

Je vous laisse désormais répondre à la question qui donne son titre au présent article. Surtout vous Mesdames.

Rüdiger / C.N.C.

http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

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