Ce n’est pas encore très flagrant en France, si ce n’est que les murmures circulent intensément, mais en revanche un nombre non négligeable de dirigeants européens commence à développer une certaine énergie pour tenter de ne pas laisser submerger leur pays et leur population par l’envahissement migratoire ou le Grand remplacement.
♦ Certaines mesures drastiques sont déjà prises à droite et à gauche. L’équipe de la Réinformation de Radio courtoisie en a relevé quelques unes. On les trouvera ci-après.
Le Premier ministre slovaque dénonce la déferlante migratoire
« Je sens que nous commettons maintenant dans l’Union européenne un suicide rituel, tout en le contemplant ». C’est ce qu’a affirmé le premier ministre slovaque social‑démocrate. Par ces termes, Robert Fico met en accusation la politique migratoire des pays européens. Robert Fico se déclare même prêt à envoyer 300 policiers slovaques patrouiller aux frontières extérieures de l’espace Schengen.
La police allemande s’inquiète
Le patron d’un syndicat de policier allemand a dénoncé l’incurie du gouvernement allemand dans le grand quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung. Il a démenti les propos lénifiants du ministre fédéral de l’Intérieur et affirmé « personne ne connaît le nombre exact de clandestins, pas même les politiques à Berlin ».
L’opinion allemande commence à virer contre l’immigration
De nouveaux sondages d’opinion en Allemagne créditent le parti anti‑immigration – AfD – de 13 % d’intention de vote sur l’ensemble de l’Allemagne. Ce qui devrait permettre à Alternative für Deutschland/Alternative pour l’Allemagne d’entrer dans les parlements régionaux, dès les élections de mars prochain en Saxe‑Anhalt, Rhénanie‑Palatinat et Bade‑Wurtemberg.
L’Allemagne s’autorise à expulser certains envahisseurs gênants
Le Parlement allemand a voté un projet de loi visant à l’expulser des délinquants étrangers. Le gouvernement indique que : « Ce projet prévoit que les délinquants étrangers peuvent être reconduits à la frontière lorsqu’ils sont condamnés à une peine de prison indépendamment du fait qu’elle soit avec sursis ou non ». Ainsi, une personne dite réfugiée peut se voir privée de sa carte de réfugié si elle commet une faute grave, par exemple des agressions sexuelles ou des vols à répétition.
Les officiers autrichiens s’inquiètent
En Autriche des officiers de haut rang ont déclaré dans un message publicitaire : « La sécurité de notre pays et de sa population est gravement menacée ». Pour ces officiers, les dangers deviennent alarmants. Le conflit Est‑Ouest entre la Russie et l’Otan, le terrorisme et l’immigration massive sont autant de dangers qui menacent la sécurité de l’Autriche. Toujours selon eux, une véritable destruction de l’armée a été planifiée, et la « volonté de défense de la population » serait systématiquement détruite et ridiculisée.
La Suède engage la remigration
La Suède a conclu le 19 janvier 2016, un accord de remigration avec le Maroc pour faciliter le retour de mineurs marocains clandestins.
Le Danemark durcit sa politique d’asile
Le Parlement danois a voté un projet de loi pour tenter de maîtriser les flux migratoires. La mesure la plus symbolique consiste à faire participer les demandeurs d’asile qui le peuvent aux frais élevés de leur accueil, plutôt que de ne solliciter que les contribuables. D’autres mesures sont prévues, par exemple pour retarder le regroupement familial. Pour les Danois, il s’agit d’une réponse à l’afflux d’immigrés transitant notamment par l’Allemagne – ce, dans un contexte où la Suède ne souhaite plus récupérer le trop‑plein transitant par le Danemark. Une décision très consensuelle : le gouvernement libéral, minoritaire, bénéficie du soutien de la droite populiste et même des sociaux‑démocrates.
Les accords de Schengen s’acheminent vers une petite mort
A l’approche d’élections régionales partielles et face à une population exaspérée par le comportement des clandestins, l’Allemagne a rétabli le contrôle à ses frontières. Pour les autorités européennes, cette décision unilatérale expose les accords de Schengen à une « mort clinique » à l’horizon de deux mois.
Ce qui a conduit le Conseil de l’Union européenne à proposer de rétablir officiellement pour deux ans les contrôles aux frontières entre pays européens, comme le permettent les traités européens. La demande a été formulée auprès de la Commission européenne.
Pour le moment, celle‑ci tergiverse. Mais la Grèce du souverainiste gauchiste Tsipras risque de se trouver isolée : avec une frontière ouverte sur la Turquie, mais sans possibilité de déstocker ses clandestins.
PEGIDA mobilise les Européens
PEGIDA et la Ligue de défense anglaise de Tommy Robinson appellent à manifester dans quatorze pays contre l’islamisation. Ces manifestations auront lieu le 6 et le 7 février. Riposte laïque organise en France une grande réunion de protestation à Rungis le dimanche 7 février. Le thème en est « Sauvons, notre pays, sauvons notre culture, sauvons notre futur ». Plus d’informations sur la page Facebook de Riposte laïque.
Nous vient d’Autriche
Réseaux sociaux – Le sportif de l’extrême autrichien Felix Baumgartner est au cœur d’une polémique autour de la politique migratoire de l’Europe. L’homme qui a osé sauter en parachute depuis la stratosphère en 2012 a publié lundi sur sa page Facebook une critique virulente, où il traite les dirigeants européens d’idiots. La polémique enfle en Autriche, en Allemagne et en Suisse alémanique, où il est officiellement domicilié.
Selon lui, « Un pays où quelqu’un qui pêche sans permis reçoit une amende, et où les gens peuvent passer les frontières sans passeport ne peut être dirigé que par des idiots !» Dixit l’Autrichien Felix Baumgartner, champion du monde de saut en parachute en 2012 — record battu depuis. (http://www.lacote.ch/)