Ça y est, le premier tour est passé et la France s'est réveillée avec la gueule de bois et la perspective d’un avenir peu radieux. Le pire scénario s’est en effet produit : le candidat du parti de la finance apatride, Emmanuel Macron, est arrivé en tête. Le lot de consolation, c’est qu’il est talonné par Marine Le Pen, la candidate du Front national.
Les résultats n’étaient pas encore définitifs que le champion de la pseudo droite, François Fillon, annonçait pitoyablement qu’il se désistait en faveur de Macron, ressuscitant ainsi le spectre du « Front républicain » avec les résidus du Parti socialistes, l’autre grand perdant de la soirée. En se conduisant ainsi, Fillon est fidèle à la tradition gaulliste qui consiste à toujours pactiser avec le parti de l’étranger, quel qu’il soit, plutôt que se rallier au mouvement national.
Même si ses résultats sont en dessous de ceux qu’espéraient, compte tenu de la situation actuelle, beaucoup de patriotes, Marine Le Pen est qualifiée pour le second tour. Elle devra donc, dans quinze jours, rassembler l’ensemble des forces nationales et identitaires pour battre le prétendant mondialiste soutenu par le CAQ 40 et tous les thuriféraires de la bien-pensance institutionnalisée.
Synthèse nationale