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Un nouvel outil de dissolution nationale : le clandestin et ses droits

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Bernard Plouvier

Autrefois, les choses étaient simples et, somme toute, fort logiques. La clandestinité avait une double connotation : celle du secret et de l’illégalité. Le clandestin était reconduit à la frontière de son choix ou de son origine.

Mais ça, c’était avant la dictature des droits liés au simple fait d’être né, avant la création des lois par et pour le pouvoir économique.

Dès l’Antiquité, en Mésopotamie comme en chine, en Grèce ou à Rome, la notion de droits individuels était corrélée à celle des devoirs : enrichir la collectivité par sa force de travail ou dans la défense du Bien commun & ne pas nuire à autrui par des actions criminelles ou délictueuses.

Ces vieilles lunes se sont effacées devant le nouveau soleil censé éclairer l’humanité : le culte des droits dévolus à n’importe qui ayant l’apparence d’un humain. Du seul fait qu’il existe, l’être humain a le droit de parasiter celles des sociétés où l’on est devenu tellement « libéral » qu’on y oublie l’origine même du Droit : la protection des personnes et des biens de ceux qui enrichissent la collectivité par une honnête activité et de ceux qui l’ont enrichie.

Seuls les niais gobent cet immense bobard qu’est le culte des Droits de tout homme. Sa finalité réelle est de stimuler la consommation, selon le principe bien connu des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Tout est bon, dans nos sociétés décadentes, pour détourner le produit des taxes et des impôts, soit l’argent public, vers la consommation privée.

L’immigré clandestin est bien plus utile à l’économie mondiale s’il peut consommer plus, étant parasite d’une société riche, qu’en restant travailler de façon très peu productive dans son pays d’origine, où il gagne très peu et consomme misérablement.

Veut-on un exemple ? Prenons celui du clandestin en France.

Certes, le clandestin ne peut en principe travailler… mais il jouit des mêmes droits que le travailleur français en matière d’indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles, et il a de même droit à une retraite !

Certes, le clandestin est exclu du bénéfice de la Sécurité sociale, mais, sans avoir cotisé à la SS ni à une mutuelle, il jouit de l’entière gratuité des soins, via l’AME. Idem, il a droit à un hébergement provisoire gratuit… si on lui trouve une place et s’il hurle assez fort pour qu’on n’ose contester « ses droits ».

Bien entendu, il a droit aux allocations familiales et ses concubines éventuelles, en sus de son épouse reconnue par « la loi » (la loi s’applique donc aux clandestins, comme c’est bizarre !), ont droit à l’allocation de « parent isolé ».

L’État et les collectivités locales lui viennent en aide, probablement pour le remercier d’avoir, de façon illégitime, posé les pieds sur le sol français. L’Allocation Temporaire d’Attente était initialement de 150 euros/mois : avec les majorations pour charge de famille, le clandestin pouvait atteindre 450 euros mensuels ; depuis 2012, l’aumône de la Ripoublique est passée à 467 euros mensuels pour le clandestin isolé, 700 pour un couple, avec 140 euros supplémentaires par enfant à charge.

On comprend aisément que les clandestins, estimés à 400 000 en 2012, soit en afflux permanent et pour trois raisons :

  • La loi du 31 décembre 2012 a supprimé le « délit de séjour irrégulier » : le clandestin n’est plus « illégal »… on ne sait plus très bien ce qu’il est !
  • On en régularise environ 20 000 chaque année
  • Bien que clandestin, l’immigré entré par fraude jouit d’un pouvoir d’achat : il ne s’agit plus seulement de tolérer son entrée irrégulière, mais de lui fournir de l’argent, ce qui lui permet, entre autres choses, de rembourser ses passeurs !

L’argent public alimente le trafic d’humains autant que le parasitisme social, sans que ne soit jamais posée la bonne question. La Nation française (et le raisonnement est identique pour l’ensemble des Nations européennes) a-t-elle besoin d’analphabètes africains alors que notre « Éducation nationale » en fabrique déjà beaucoup, de mahométans à la mentalité médiévale, de jeunes mâles exotiques à la mentalité de conquérants primitifs ?

Seule une réponse affirmative donnée par une majorité de citoyens français, consultés par voie référendaire, permettrait de justifier l’arsenal législatif qui a transformé les clandestins de l’état de délinquants à celui de consommateurs parasitaires, avalisés par l’État.

On le sait depuis longtemps, mais il est utile de répéter les évidences jusqu’à ce que le dernier des abrutis comprenne : les élus trahissent les intérêts de la Nation… et les Français de souche européenne qui tolèrent bovinement cet état de fait sont potentiellement des criminels contre l’humanité : par leur passivité et leur lâcheté, ils préparent l’élimination ou l’esclavage de leurs descendants.  

http://synthesenationale.hautetfort.com/

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