A propos d’une liste publiée par les services américains qui menaceraient de nouvelles sanctions plus de 100 hautes nouvelles personnalités russes de l’Industrie et du gouvernement, dont le Premier ministre Medvedev ou le ministre des Affaires étrangères Sergeï Lavrov, Vladimir Poutine a ironisé:« les chiens aboient et la caravane passe », avant de rappeler à ses interlocuteurs que la politique de la Russie se fait en Russie et non à Washington ou à Londres. Et que c’est en restant ferme sur ses objectifs que la Russie poursuivra sa progression, non en s’occupant des gesticulations des uns ou des autres.
Vers la guerre ?
Les États-unis avec leurs gros godillots font tout ce qui est en eux pour pousser le Président Poutine à céder à la colère et à rompre les relations avec l’Occident. Il semble que les barbouzes US persistent à se tromper de siècle. Nostalgie quand tu nous tiens! En effet, ce serait pain béni pour les USA que la Russie s’entoure d’un mur et s’isole d’elle-même du reste du monde comme durant l’ère soviétique. Quelle superbe épée de Damoclès ce serait alors à suspendre au-dessus des nations d’Europe pour les garder tremblantes sous le joug des Oligarques de la Haute Banque! La Russie étant la méchante et les USA les Bons, comme dans les westerns. Mais à Moscou on n’est pas à Hollywood et l’URSS est morte et bien morte avec le XXème siècle; la Russie s’est libérée de ses persécuteurs communistes et n’est plus dirigée par des gérontes qui se regardent, tremblants, en chiens de faïence, sans voir au-delà. Il serait temps que les yankees au service de l’Oligarchie se rendent compte que depuis le XXIème siècle ils ont affaire à Vladimir Poutine et à son équipe qui sont tous de fin joueurs d’échec. Et pour arriver à déstabiliser un joueur d’échec, il faut au moins quitter ses gros godillots …
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